Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation

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Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
Recht/Droit

Promotion en vue du règlement
extrajudiciaire des litiges de consommation
Le programme du nouveau Gouver-
nement a bien relevé qu’il fallait trans-
poser d’ici à juillet 2015 une directive
européenne1) qui permettra inalement
d’introduire une base solide pour le
règlement extrajudiciaire des litiges
(REL) entre un professionnel luxem-
bourgeois ou d’un autre Etat membre
et un consommateur résidant dans
notre pays.

En décembre le Ministère de l’Eco-
nomie avait organisé une conférence
internationale pour permettre à la fu-
ture loi luxembourgeoise de bénéicier
des expériences étrangères. Nous
avons eu l’occasion d’y présenter nos
attentes dont nous reproduisons les
plus importantes.

L’ULC a permis la mise en place de
trois organes collégiaux : Médiateur
en assurances ; Commission luxem-
bourgeoise des litiges de voyages
(CLLV) ; Commission luxembourgeoise
des litiges de nettoyage à sec et du
textile (CLLNT)2).                           prestations de voyage assistées3) et           professionnelles signataires. Or, la di-
                                             opportun d’établir une coopération             rective impose aux autorités nationales
                                             pratique (qui fait défaut aujourd’hui)         de faire en sorte que tous « les litiges
Ces instances fonctionnent selon le
                                             avec les administrations chargées de           impliquant un professionnel établi sur
même modèle : composition pari-
                                             l’application des Règlements com-              leur territoire puissent être soumis à
taire, absence de valeur minimale ou
                                             munautaires relatifs aux droits des            une entité de REL… ».
maximale pour engager la procédure,
                                             passagers aériens, ferroviaires, luviaux
tentative de conciliation des parties,
                                             et maritimes.                                  Autre mesure à envisager par notre
en cas d’échec rédaction d’un avis
                                                                                            législateur : « rendre la participation
motivé qui ne lie pas les parties, les       Concernant la CLLNT, elle peut être            des professionnels à ces procédures
avis ne sont pas rendus publics mais         saisie de « tout traitement estimé in-         obligatoire ou la soumettre à des incita-
peuvent servir de pièces devant les          correct des articles confiés ou de leur        tions ou à des sanctions ». La directive
tribunaux.                                   perte » mais ne peut se prononcer              laisse le soin aux Etats membres de
                                             sur les contestations de prix. Quant           « déterminer si les entités doivent avoir
Il sera indispensable d’envisager une        au Médiateur en assurances, seules             le pouvoir d’imposer une solution ».
extension des matières couvertes par         des personnes physiques résidant au
nos trois REL collégiaux. Concernant         Luxembourg peuvent introduire des              Aucun des REL luxembourgeois
la CLLV qui n’est actuellement com-          litiges relatifs à la branche vie, mais        n’impose une solution aux parties
pétente que pour les voyages à for-          non des personnes établies en de-              qui restent libres d’accepter ou de
fait, il sera nécessaire d’y inclure les     hors du Grand-duché. Aujourd’hui nos           refuser l’avis rédigé en cas d’échec
                                             instances collégiales ne sont ouvertes         de la conciliation. Nous nous limitons
                                             qu’aux membres des associations                donc à la médiation et il n’est guère
1) Directive 2013/11/UE du 21 mai 2013                                                      envisageable que notre ordre juridique
   (Journal Oficiel L 165 du 18.6.2013 –                                                    accepte des solutions juridiquement
   eurlex.europa.eu)                         3) cf. proposition de directive relative aux   contraignantes. Nos instances collé-
2) Pour plus de détails, voir sur www.ulc.      voyages à forfait et aux prestations de     giales se prononcent en droit et en
   lu                                           voyage assistées                            équité.

6 I février 2014 I N°01
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
de Konsument
                                                                                                                UNION LUXEMBOURGEOISE DES CONSOMMATEURS

Nous demandons à notre législateur
que la loi de transposition stipule qu’en
aucun cas le consommateur ne peut
être privé de la protection des dispo-
sitions impératives découlant du Code
de la consommation. L’équité doit signi-
ier un plus et non le risque d’une non
application de règles impératives sinon
le droit de la consommation risquera
à terme d’être vidé de sa substance
surtout si les REL prennent le pas sur
les tribunaux. L’équité doit permettre
d’appliquer de manière plus souple
certaines règles de procédure comme
les délais ou la charge de la preuve.
Presque tous nos REL sont gratuits
pour les consommateurs qu’ils soient
membres ou non de l’ULC. Il en va
autrement du Centre de Médiation
Civile et Commerciale (CMCC)4) qui
n’est pas gratuit, loin s’en faut. Nous
doutons que ce dernier soit l’enceinte
adéquate pour héberger le REL résiduel
qu’il faudra mettre en place pour tous les
secteurs non régis par leur propre REL.
En Belgique, il est question d’établir un
service fédéral de médiation pour les
consommateurs inancé par l’Etat mais
aussi par les secteurs qui ne disposent
pas d’un REL sectoriel. N’est-ce pas
une idée à creuser pour notre pays ?
En conclusion, nous citons le pro-
fesseur Elise Poillot (Université du
Luxembourg) : « Il faut espérer que
les ambitions placées dans la di-
rective, notamment celle de pro-
mouvoir ce type de règlement des
litiges, seront à la hauteur des
espérances. Les Etats membres
devront affronter diverses diffi-
cultés dont, pêle-mêle, celle de
choisir de conserver les structures
de mode alternatif de règlement
des litiges existant ou de s’orienter
vers une structure unique, d’opter
ou non pour la gratuité des REL
et, dans le dernier cas, de fixer le
seuil du coût ‘modique’. Il faudra
par ailleurs résoudre l’épineux pro-
blème des modes de financement                                                   Hall 2
des entités de REL….5) ».

                                              Bitte besuchen Sie uns auf dem 31. „FESTIVAL DES MIGRATIONS,
                                              DES CULTURES ET DE LA CITOYENNETÉ“ am 15. und 16. März 2014
4) ww.centre-mediation.lu                     auf der Luxexpo in Kirchberg. Hall 2.

5) cf. article « Droit de la consommation »   Venez-nous rendre visite au 31e FESTIVAL DES MIGRATIONS, DES CULTURES
                                              ET DE LA CITOYENNETÉ le 15 et 16 mars 2014 à la Luxexpo à Kirchberg. Hall 2.
   dans Journal de droit européen, janvier
   2014, n° 205

                                                                                                            février 2014 I N°01 I 7
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
Haushalt/Ménage

Kleinkinderlebensmittel kritisch betrachtet
Marktentwicklung und Expertenmeinungen
Ernährungsexperten sind sich einig:      rung andere Interessen. Um die Um-
gesunde Kleinkinder benötigen keine      sätze zu halten bzw. zu steigern,
Speziallebensmittel für ein gesundes     ist ihnen an einer Verlängerung der
Aufwachsen. Doch Hersteller von          Fütterungsdauer gelegen. Deshalb
Babynahrung sehen dies oftmals           haben sie das Angebot an Produkten
anders. In Zeiten sinkender Gebur-       für Kleinkinder systematisch aus-
tenraten wollen sie sich neue Märkte     gebaut. Es umfasst unter anderem
erschließen und so ihre Umsätze          Kindermilch, Joghurt- und Frucht-
behaupten.                               Minis, aber auch Komplettmahlzeiten
                                         wie Mini-Rigatoni mit Sauce Bolog-
Ernährungsexperten sind sich einig:
                                         nese, Fruchtpürree im Quetschbeu-
gesunde Kleinkinder benötigen keine
                                         tel, Smoothies und Früchteriegel
Speziallebensmittel. Säuglinge be-
                                         und dazu Produktverpackungen in
kommen die ersten vier bis sechs                                                  Im Frühjahr 2012 hat der Umwelt-
                                         Bärchen- oder Herzform und Frucht-
Monate Muttermilch (oder Säuglings-                                               ausschuss des Europäischen Par-
                                         schorle mit Sport-Cap-Verschluss.
anfangsnahrung bzw. Folgemilch).                                                  laments die Europäische Lebensmit-
                                         Lebensmittel für 1-3-Jährige tragen
Anschließend ersetzen nach und                                                    telsicherheitsbehörde aufgefordert,
                                         bereits bis zu einem Viertel des Um-
nach Breie die Milchmahlzeiten. So                                                die Eignung von Kleinkindermilch zu
                                         satzes der Marktführer für Baby-
werden Babys allmählich abgestillt.                                               überprüfen. In Deutschland führt das
                                         nahrung bei.
Beißen und Kauen trainieren sie mit                                               Bundesamt für Verbraucherschutz
Gemüse- und Obst- oder Brotstück-        Kleinkinderprodukte werden häuig         und Lebensmittelsicherheit (BVL)
chen. Mit anderthalb Jahren etwa hat     als besonders gesund beworben.           entsprechende Untersuchungen
sich der Nachwuchs an die normale        Die Vermarktung als diätetische          durch. Im Juni 2012 verschickte es
Familienkost gewöhnt und benötigt        Lebensmittel mit Altersangabe soll       die ersten beiden Unterlassungs-
im Regelfall keine „Extra-Würste“        den Eindruck erwecken, dass Spe-         bescheide an Hersteller. Darin be-
mehr.                                    ziallebensmittel für das Aufwachsen      anstandete das BVL, dass die Zu-
                                         gesunder Kinder notwendig seien.         sammensetzung der Produkte nicht
Deshalb waren klassische Diätpro-
                                         Dem steht nicht nur die zitierte Diät-   an die Ernährungsbedürfnisse von
dukte für Kleinkinder (Beikost) wie
                                         verordnung entgegen. Im Sommer           Kleinkindern angepasst und unge-
Komplettmahlzeiten oder Getreide-
                                         2011 veröffentlichte das Bundesin-       eignet zur besonderen Ernährung
brei ursprünglich lediglich zwischen
                                         stitut für Risikobewertung eine Stel-    dieser Personengruppe sei.
dem 10. bis etwa 14. Lebensmonat
                                         lungnahmen zu Kindermilch, in der
für die Umstellung auf normale Kost                                               Beobachtungen und Marktchecks
                                         es zu dem Ergebnis kam, dass diese
vorgesehen. Ihren Niederschlag fand                                               der Verbraucherzentralen bestätigen
                                         Getränke gegenüber fettreduzierter
diese Erkenntnis u.a. in der Diätver-                                             zwar, dass fast alle Produkte den
                                         Kuhmilch eben keinerlei ernährungs-
ordnung, der zufolge Beikost lediglich                                            rechtlichen Regelungen entsprechen.
                                         physiologische Vorteile haben und
„Lebensmittel außer Milch (umfasst),                                              Sie zeigen aber auch, dass Produkte
                                         in einer ausgewogenen Kleinkinde-
die den besonderen Ernährungsan-                                                  für Kleinkinder zum einen häuig mit
                                         rernährung überlüssig sind. Parallel
forderungen gesunder Säuglinge und                                                Vitaminen- und/oder Mineralstoffen
                                         dazu stellten die Verbraucherzentra-
Kleinkinder entsprechen und die zur                                               angereichert und zum anderen fast
                                         len in einem Marktcheck fest, dass
Ernährung von Säuglingen während                                                  alle mit Aussagen zur Gesundheit
                                         Kindermilchgetränke bis zu viermal
der Entwöhnungsperiode und die                                                    beworben werden, beispielsweise
                                         teurer sind als Kuhmilch. Bezogen
zur Ernährung von Säuglingen und
                                         auf die seinerzeitigen Preis mussten
Kleinkindern während der allmähli-                                                  „mit Vitamin C- wichtig für die Ab-
                                         Verbraucher für die vom Hersteller
chen Umstellung auf normale Kost                                                    wehrkräfte und zur Unterstützung
                                         empfohlene Verzehrmenge pro Jahr
bestimmt sind.“                                                                     der Eisenaufnahme“ oder
                                         bis zu 273 Euro mehr zahlen als für
In Zeiten sinkender Geburtenraten        die gleiche Menge Trinkmilch einer         „mit Omega-3-Fettsäuren- wichtig
verfolgen Hersteller von Babynah-        preiswerten Handelsmarke.                  für Gehirn- und Nervenzellen“.

8 I février 2014 I N°01
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
de Konsument
                                                                                                    UNION LUXEMBOURGEOISE DES CONSOMMATEURS

Damit wird suggeriert, dass sie        mahlzeiten, Trinkbreie, Milchspeisen     Bei der teuersten Kindermilch (2,10
für die Ernährung besser geeignet      und verzehrfertige Müslis,Smoothies      Euro/l) empiehlt der Hersteller eine
sind als herkömmliche Lebensmittel.    und Fruchtpüree sowie Früchte- und       tägliche Verzehrsmenge von 480 ml.
Tatsächlich sind Nutzen und Not-       Getreideriegel.                          Eltern müssen also mit Ausgaben in
wendigkeit der Anreicherung aber                                                Höhe von 368 Euro pro Jahr rechnen.
umstritten.                            Kindermilch                              Trinkmilch verursacht bei gleicher
                                       Kindermilch ist ein Kuhmilchersatz-      Verzehrsmenge und einem Literpreis
Forderungen                            getränk für Kinder ab dem zwölf-         von 0,54 Euro (Handelsmarke) bezie-
der Verbraucher-                       ten Lebensmonat bzw. dem ersten          hungsweise 0,98 Euro (Markenmilch)
schutzorganisationen                   Lebensjahr. Die Lebensmittelindust-      nur Ausgaben in Höhe von 95 bis 177
Deshalb fordern die Verbraucher-       rie bewirbt „Kindermilch“ als beson-     Euro im Jahr. Damit zahlen Verbrau-
schutzorganisationen, dass die         ders geeignet für Kleinkinder, obwohl    cher pro Jahr bis zu 273 Euro mehr
Produkte, ihre Eignung für Klein-      deren tatsächlicher Mehrwert im          für die vom Hersteller empfohlene
kinder und eine generelle Zulassung    Vergleich zu Kuhmilch bisher nicht       Verzehrsmenge „Kindermilch“ als
besonders geprüft werden. Dabei        nachgewiesen ist. Der Eiweißgehalt       für die gleiche Menge Trinkmilch
müssen die Anforderungen an die        der Kindermilch wurde reduziert,         einer preiswerten Handelsmarke.
Zusammensetzung mit den Ernäh-         ebenso ist der Calciumgehalt im          Dabei ist ein direkter Preisvergleich
rungsempfehlungen der Fachge-          Vergleich zu Kuhmilch geringer,          oftmals gar nicht möglich, da sich
sellschaften übereinstimmen. Für       zugesetzt werden unter anderem           der Grundpreis bei der meistens in
Beikost ist die Verwendung von         Eisen und Vitamin D. Die beson-          Pulverform angebotenen Ersatzmilch
Aromen grundsätzlich zu unter-         dere Eignung für Kleinkinder ist         in der Regel auf das Gewicht und
sagen und eine Anreicherung mit        jedoch nicht nachgewiesen, wie           nicht auf die verzehrsfertige Menge
Vitaminen und Mineralstoffen eng       der Vergleich „Kindermilch… gesün-       bezieht.
zu begrenzen. Zudem sind die Be-       der als Kuhmilch?“ (siehe Abbildung)
                                       zeigt.                                   Unsere Bewertung:
stimmungen der Diät- und die bereits
geltenden Regelungen der Health-       Die Verbraucherzentralen haben           Gesunde Kleinkinder können ab dem
Claims Verordnung (Verordnung über     bundesweit auch den Preis von 23         10. Lebensmonat an die normale
nährwert- und gesundheitsbezogene      Kindermilchprodukten von insgesamt       Familienkost herangeführt werden
Angaben bei Lebensmitteln) einzu-      sechs Herstellern untersucht – bis auf   und damit auch herkömmliche Milch-
halten und strenger zu überwachen.     eine Ausnahme war die Ersatzmilch        und Milchprodukte zu sich nehmen
Die Verbraucherzentralen fordern       in allen Fällen bis zu viermal teurer    – bei einer ausgewogenen Ernährung
außerdem, dass die (rechtliche) De-    als normale Kuhmilch (Trinkmilch         werden keine besonderen Lebens-
inition für Kleinkinder der tatsäch-   1,5% Fett).                              mittel wie Kindermilch oder ähnliche
lichen Übergangszeit auf normale                                                Produkte benötigt.
Kost entsprechen, also auf 12-18
Monate herabgesetzt werden sollte.                                              Menüs
                                                                                Die Verbraucherzentralen haben im
Kleinkinder-                                                                    Zeitraum 2011/2012 die Angaben auf
                                                                                18 Komplettmenüs (Gläschenkost)
lebensmittel kritisch                                                           mit der Altersempfehlung „ab 10. Mo-
betrachtet                                                                      nat“, „ab 12. Monat“ und „ab 15. Mo-
                                                                                nat“ geprüft. Immer häuiger werben
Einschätzung und Be-                                                            Hersteller mit Angaben, die sich auf
wertung einzelner Pro-                                                          Nährwert und Gesundheit beziehen.
duktgruppen                                                                     Beispiele für solche nährwert- und
Die Verbraucherzentralen haben in                                               gesundheitsbezogenen Angaben
mehreren Marktchecks eine Reihe                                                 sind: „mit Omega- 3- Fettsäuren aus
von Kleinkinderlebensmitteln unter                                              Rapsöl“, „kindgerechter Salzgehalt“,
die Lupe genommen. Im Folgenden                                                 „zur besseren Jodversorgung – wich-
inden Sie Einschätzungen und Be-                                                tig für die Schilddrüsenfunktion“. Die
wertungen einzelner Produktgruppen                                              Hersteller bewerben damit eine spe-
wie Kindermilch, Menüs/ Komplett-                                               zielle, an die scheinbar besonderen

                                                                                                février 2014 I N°01 I 9
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
Haushalt/Ménage

Bedürfnisse der Kleinen angepasste       Unsere Bewertung:                        jedoch nur klein gedruckt auf der
Zusammensetzung, und versuchen                                                    Rückseite.
                                         Leider ist die Health Claims Verord-
ihr Produkt von einer Vielzahl ver-
                                         nung noch lange nicht vollständig        Häuig schließt sich der Hinweis di-
gleichbarer Produkte abzugrenzen.
                                         umgesetzt. Gerade für gesundheits-       rekt an die Zutatenliste an, bei man-
                                         bezogene Angaben gibt es erst we-        chen Riegeln wird er sogar durch
                                         nige abschließende Regelungen.           die Verpackungslasche verdeckt.
                                         Daher können die Hersteller derzeit      Nur der Blick auf die Nährwertan-
                                         noch gesundheitliche Vorteile be-        gabe zeigt den tatsächlichen Zu-
                                         werben, auch wenn die Slogans            ckergehalt der Riegel. Dieser kann,
                                         noch nicht abschließend zugelassen       obwohl „von Natur aus“, bis zu 50
                                         sind. Dies erschwert Eltern einen        Prozent betragen und damit die drei-
                                         verlässlichen Produktvergleich im        bis vierfache Menge Zucker und fast
                                         Supermarkt.                              siebenmal mehr Kalorien als frisches
                                         Beikostprodukte wie Komplettmenüs        Obst liefern. Die ausgelobten Früchte
                                         können als zeitsparende Alternative      entpuppen sich als Bananenlocken
                                         zu selbst hergestellten Menüs sinnvoll   und Saftkonzentrate. Rund die Hälfte
                                         sein. Allerdings nur während der         der Riegel werben zusätzlich mit
                                         Umstellung auf normale Familienkost,     Vitamin E-, Folsäure- und Calciumzu-
                                         also etwa zwischen dem 10. und           sätzen oder dem Ballaststoffgehalt.
                                         18. Lebensmonat. Aus ernährungs-
                                                                                  Unsere Bewertung:
                                         physiologischer und toxikologischer
                                         Sicht brauchen Kleinkinder über die-     Spezielle Früchte- und Getreiderie-
Die EU-Verordnung über nährwert-         ses Alter hinaus keine speziellen        gel für Kleinkinder sind überlüssig
und gesundheitsbezogene Angaben          Produkte.                                und als Zwischenmahlzeit wegen
bei Lebensmitteln (Health-Claims-                                                 des meist hohen Energiegehaltes
Verordnung) regelt die Zulassung         Früchte- und                             ungeeignet. Verzicht auf Zuckerzu-
und Verwendung solcher Werbe-            Getreideriegel                           sätze, Farb- und Konservierungs-
aussagen. Bei den nährwertbe-                                                     stoffe sowie die Anreicherung mit
                                         Als „Früchtefreund rote Früchte mit
zogenen Angaben unterscheiden                                                     Vitaminen und Mineralstoffen können
                                         Eisen“, „Bio-Getreideriegel“ oder
sich die Anforderungen der Health                                                 darüber nicht hinwegtäuschen. Mit
                                         „Müslifreund“ liegen die einzeln ab-
Claims Verordnung an Lebensmit-                                                   durchschnittlich elf Gramm Zucker
                                         gepackten Kleinkindriegel neben
tel für Kinder nicht von denen für                                                beziehungsweise 4 Stück Würfelzu-
                                         Kindermilch, Gläschenkost und Brei-
Erwachsene. Angaben, die sich auf                                                 cker pro 25 g Riegel, sind sie eine
                                         packungen im Supermarktregal. Sie
die Entwicklung und Gesundheit                                                    Süßigkeit – nicht mehr und nicht
                                         sollen „ideal für den kleinen Hunger
von Kindern beziehen, werden je-                                                  weniger. Die klebrige Konsistenz der
                                         zwischendurch“, „köstlich, fruchtig
doch strenger gehandhabt. Jeder                                                   Riegel fördert zudem die Kariesent-
                                         und gesund“ sein oder „den Lieb-
so genannte „Kinder Claim“ muss                                                   stehung. Geeignete Zwischenmahl-
                                         ling mit dem Besten aus Apfel und
beantragt und zugelassen werden.                                                  zeiten für Kleinkinder sind nach wie
                                         Banane“ versorgen.
Derzeit sind elf solcher Kinder-Claims                                            vor frisches Obst und Gemüse oder
zugelassen (Stand: 09.08.2012). Für      Die Verbraucherzentralen haben 14        ein Müsli ohne Zuckerzusatz. Damit
alle gesundheitsbezogenen Anga-          Produkte von fünf Herstellern geprüft.   wird zahnschonend das Beißen und
ben gilt jedoch generell, dass ein       Nahezu alle Anbieter werben auf der      Kauen trainiert.
Verzehrsmuster anzugeben ist. Es         Frontseite der Verpackung mit dem
erklärt, wie viel von dem beworbe-       Verzicht auf Zuckerzusatz. Der ver-      Trinkbreie und
nen Lebensmittel gegessen werden             plichtende und wichtige Hinweis      Milchspeisen
muss, damit die versprochene Wir-                     „enthält von Natur aus      Mahlzeiten in Form von Trinkbreien,
kung eintritt. Tatsächlich fanden die                          Zucker“ indet      Milchdesserts, Puddings, verzehrs-
Verbraucherzentralen aber auf keiner                                    sich      fertigen Müslis oder gar Kaiser-
der untersuchten Mahlzeiten mit ge-                                               schmarrn in Apfelmus erobern das
sundheitsbezogenen Werbeaussa-                                                    Baby- und Kleinkindsegment. Die
gen ein derartiges Verzehrmuster.                                                 Verbraucherzentralen haben 22 sol-

10 I février 2014 I N°01
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
de Konsument
                                                                                                        UNION LUXEMBOURGEOISE DES CONSOMMATEURS

                                                                                   Das Forschungsinstitut für Kinde-
                                                                                   rernährung empfiehlt Milch und
                                                                                   Milchprodukte schrittweise erst ab
                                                                                   dem 10. Monat einzuführen. Davor
                                                                                   sollte Milch lediglich in Form von
                                                                                   Muttermilch oder Säuglingsmilch
                                                                                   gefüttert werden. Von dem Verzehr
                                                                                   von Trinkbreien rät das Forschungs-
                                                                                   institut generell ab, zumal sie meist
                                                                                   auch noch zusätzlich gezuckert und
                                                                                   aromatisiert sind. Für Kinder ab ei-
                                                                                   nem Jahr werden täglich etwa 1/3
                                                                                   l (330ml) Milch- und Milchprodukte
                                                                                   (wie Milch, Joghurt und Käse) emp-
                                                                                   fohlen.

                                                                                   Spezielle Milchdesserts oder Trink-
                                                                                   breie brauchen Kleinkinder nicht. Im
                                                                                   Gegenteil: Die Gewöhnung an Zucker
cher Produkte in Hinblick auf die         zugesetzt werden. Diese Möglichkeit
                                                                                   und Aromen wird dadurch unnötig
Zutaten, Nährstoffzusammensetzung         nutzt die Mehrzahl der Hersteller.
                                                                                   gefördert, der gewünschte Übergang
und Werbeaussagen genauer unter           So enthalten 17 von 22 Produkten
                                                                                   an die Familienkost dagegen verzö-
die Lupe genommen. Die meisten            zugesetzte Aromen, darunter auffällig
                                                                                   gert. Trinkbreie und Milchspeisen
Produkte enthalten Milch bzw. Fol-        oft Vanille, was die Entwicklung von
                                                                                   leisten keinen Beitrag zur Verbes-
gemilch als Hauptzutat. Und die           Geschmacksvorlieben und die Ge-
                                                                                   serung des Gesundheitszustands
werden mit Aussagen wie «aus viel         wöhnung an intensive Geschmacks-
                                                                                   von Kleinkindern. Eine willkürliche
guter Milch» oder «mit leicht verdau-     noten fördert. Lediglich fünf Produkte
                                                                                   Anreicherung mit verschiedenen Vit-
lichem Eiweiß» auch entsprechend          werden „ohne Aroma“ beworben,
                                                                                   aminen, Mineralstoffen und Fettsäu-
ausgelobt. Häuig werden die Nähr-         während 15 Produkte „ohne Farb-
                                                                                   ren ist unnötig, da die Mehrzahl der
stoffe Calcium, Zink- und Vitamin B2      und Konservierungsstoffe*“ausgelobt
                                                                                   Kinder ab einem Jahr ausreichend
beworben. Das heißt, die Hersteller       sind. Eltern können dies aber ganz
                                                                                   versorgt ist. Die zugesetzten Mengen
heben genau die Nährstoffe hervor,        selbstverständlich erwarten, da der
                                                                                   an Nährstoffen entsprechen zwar
die in Milch natürlicherweise reichlich   Einsatz dieser Zusatzstoffe in Beikost
                                                                                   den gesetzlichen Bestimmungen,
enthalten sind und mit denen Kinder       verboten ist.
                                                                                   trotzdem kann durch den Verzehr
nach aktuellen Studien ausreichend
                                          Unsere Bewertung:                        verschiedener angereicherter Le-
versorgt sind.
                                                                                   bensmittel der Bedarf von Einjährigen
                                          Milch und Milchprodukte liefern
Häuig sollen sogenannte „Clean La-                                                 sehr schnell überschritten werden.
                                          wichtige Mineralstoffe und Vitamine.
bels“ die Produkte als besonders na-
                                          Insbesondere für den wachsenden
türlich darstellen. Sie werben mit dem
                                          Organismus sind sie notwendig und
Verzicht auf bestimmte Inhaltsstoffe,                                              Kekse, Knabbergebäck
                                          sorgen für ein normales Knochen-
zum Beispiel „ohne Gelatine*“, „ohne                                               und Müsli
                                          wachstum, liefern hochwertiges Ei-
Farb- und Konservierungsstoffe*“
                                          weiß und wichtige B-Vitamine. Die        Spezielle Babykekse werden im
oder „ohne Zusatz von Geschmacks-
                                          Auslobung von Milch als besonders        Handel bereits „ab dem 7. Monat“
verstärker*“. Schaut man genau hin,
                                          wertvollen Bestandteil bei Trinkbreien   angeboten, Knabbergebäck und
indet man wie in den angeführten
                                          und Milchspeisen widerspricht je-        Müsli gibt es für Kleinkinder ab 1 Jahr.
Beispielen häuig einen Sternchen-
                                          doch den Werbeaussagen von so            Um Eltern die besondere Eignung
hinweis * „lt. Gesetz“. Dies bedeutet
                                          genannter Kindermilch. Denn bei          glaubhaft zu machen, werden die
nichts anderes, als dass diese Stoffe
                                          Kindermilch wird von Herstellerseite     Produkte mit allgemeinen Aussagen
von Gesetzes wegen ohnehin nicht
                                          gerade der angebliche Vorzug ei-         wie „Kindgerechter Getreidesnack
zugesetzt werden dürfen.
                                          nes reduzierten Eiweißgehaltes ge-       zum Knabbern“, „altersgerecht und
Bei der Herstellung von Beikost und       genüber Trinkmilch werbewirksam          auf die Ernährungsbedürfnisse ab-
Kleinkindprodukten dürfen Aromen          dargestellt.                             gestimmt“ sowie mit verschiedenen

                                                                                                   février 2014 I N°01 I 11
Promotion en vue du règlement extrajudiciaire des litiges de consommation
Haushalt

nährwertbezogenen Angaben wie
„mit 5 Vitaminen“, „mit Eisen und Cal-
cium“ oder „ mit Vitamin B1 – wichtig
für die Funktion des Nervensystems“
beworben.
Häuig wird der Verzicht auf den Zu-
satz von Zucker herausgestellt. Hier
ist Vorsicht geboten: Enthalten die
Produkte Maltodextrin (ein zuckerhal-
tiges Gemisch aus Kohlenhydraten),
kann die Kariesentstehung gefördert
werden. Bemerkenswerterweise wird
auch Knabbergebäck als „ungesüßt“
beworben, obwohl Eltern hier ohne-
hin keinen Zuckerzusatz erwarten
würden.
Manche Knabbergebäcke enthalten          einem 1jährigen Kind etwa 100 kcal)      In der Markterhebung waren alle
Salzzusätze, obwohl diese in Getrei-     nicht übersteigen sollen.                fünf untersuchten Smoothies und
debeikost nach der Diätverordnung                                                 Fruchtpürees mit der Aussage „Ohne
nur erlaubt sind, wenn eine tech-        Auch beim Kauf von Müsli können          Zuckerzusatz“ und dem Hinweis „ent-
nologische Notwendigkeit besteht.        Eltern auf spezielle Kleinkindprodukte   hält von Natur aus Zucker“ versehen.
                                         verzichten. Bei der Auswahl sollte
Unsere Bewertung:                        darauf geachtet werden, dass kein
                                                                                  Die Produkte enthielten laut Nähr-
Spezielle Kekse und Knabbergebäck        Zucker zugesetzt wurde. Da Früch-
                                                                                  wertangaben ca. 11 g Zucker / 100
für Kleinkinder sind nicht notwen-       temüslis aufgrund ihres Gehaltes
                                                                                  g und entsprachen damit dem na-
dig. Beim Übergang zur Familien-         an Trockenfrüchten von Natur aus
                                                                                  türlichen Zuckergehalt von frischem
kost eignen sich zur Förderung der       reichlich Zucker enthalten können,
                                                                                  Obst.
Kautätigkeit Brotkanten und rohe         empiehlt sich eine Mischung des
Gemüsestückchen. Kekse sind als          Müslis mit Haferlocken.
Zwischenmahlzeit generell nicht ge-                                               Unsere Bewertung:
eignet, denn sie enthalten neben         Smoothies und
Zucker auch reichlich Fett. Sie zählen   Fruchtpüree                              Früchtepürees und Smoothies erfül-
wie andere Süßigkeiten zu den so                                                  len die gesetzlichen Bestimmungen
genannten «geduldeten Lebensmit-         Smoothies und Fruchtpüree sind           der Diätverordnung. Der Zucker-
teln», die 10% der Energiezufuhr (bei    Obstprodukte, die sich je nach           gehalt entspricht zwar dem von
                                         Konsistenz zum Trinken mit Stroh-        frischem Obst, aber während der
                                         halm, Quetschtüte oder zum Löffeln       Verarbeitung und Pasteurisierung
                                         eignen. Sie enthalten in der Regel       zur Haltbarmachung kommt es zu
                                         keine Milch- oder Getreidezusätze.       Nährstoffverlusten, insbesondere
                                         Entsprechend indet man meist die         an Vitaminen und weiteren ge-
                                         Aussage „100% Fruchtgehalt“ auf          sundheitsfördernden (sekundären)
                                         den Produkten.                           Pflanzenstoffen. Darüber hinaus
                                         Einige Produkte werden bereits mit       hat frisches Obst und Gemüse ein
                                         der Empfehlung „ab 6. Monat“ ange-       größeres Volumen und muss länger
                                         boten. Teilweise sind sie im Tetrapack   gekaut werden. Das bewirkt einen
                                         mit Strohhalm oder in so genannten       größeren Sättigungseffekt. Zudem
                                         Quetschtüten erhältlich. Das macht       verleiten Pürees aus der Quetsch-
                                         sie für Eltern und Kinder gleicherma-    tüte die Kinder dazu, große Mengen
                                         ßen interessant, weil die Portion Obst   davon zu sich zu nehmen.
                                         direkt aus der Verpackung verzehrt
                                         werden kann.                                                  Quelle: vz-nrw

12 I février 2014 I N°01
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