Geschäftsbericht Rapport de gestion 2010 - Schweizerischer ...
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1 Inhalt Sommaire Vorwort Préface 3 Städte-Politik Politique des villes 5 · Die TAK als tripartite Agglomerationskonferenz · Continuer la CTA en tant que conférence weiterführen d’agglomération · Raumpolitik: «Wir haben keine zweite Schweiz · Politique territoriale: «Nous n’avons pas de deuxième im Keller» Suisse en réserve» · Für eine tragfähige Finanzierung des · Pour un financement solide du trafic d’agglomération Agglomerationsverkehrs · La politique énergétique, priorité de SuisseEnergie et de · Energiepolitik im Zeichen von EnergieSchweiz und la loi sur l’approvisionnement en électricité Stromversorgungsgesetz · Unir les forces pour la politique du climat · Gebündelte Kräfte in der Klimapolitik · Micropolluants et économie des déchets · Mikroverunreinigungen und Abfallwirtschaft · Gestion des infrastructures communales et · Kommunales Infrastrukturmanagement und FTTH (Fiber to the Home) FTTH (Fiber to the Home) · Péréquation financière et compensation des charges, · Finanz- und Lastenausgleich als Schwerpunktthema une priorité de l’UVS · Kampf gegen Kostenverlagerungen in der Sozialpolitik · Le combat contre les reports de charges en politique sociale · Vielfältige Sicherheitsfragen · Questions de sécurité: de multiples facettes · Kulturförderung und Bildungspolitik · Encouragement de la culture et politique de la formation · Vernehmlassungen · Procédures de consultation · Vernehmlassungen 2010 im Überblick · Procédures de consultation en 2010: survol Städte-Informationen Informations des villes 17 · Fortsetzung der Neuausrichtung · Repositionnement: consolidation · Medien- und Lobbyarbeit · Médias et travail de lobbying Städte-Dienstleistungen Prestations aux villes 19 · Erfolgreiche Intervention für die Tageskarte · Intervention pour le maintien des cartes journalières Gemeinde des communes: un succès · Merkblätter im Strombereich · Notices récapitulatives dans le domaine de l’électricité · Statistik der Schweizer Städte und Veranstaltungen · Statistiques des villes suisses et manifestations · Leitfaden Mobilfunk und KBOB-Honorarempfehlungen · Guide de téléphonie mobile et recommandations pour les honoraires KBOB Jahresrechnung Comptes annuels 23 · Kommentar zur Jahresrechnung · Commentaires sur les comptes annuels Erfolgsrechnung Comptes d’exploitation 24 Vermögensrechnung Compte de fortune 25 Bericht der Revisionsstelle Rapport de l’organe de révision 27 1. Januar 2010 1 janvier 2010 Die Städtekonferenz Kultur schliesst sich dem Städteverband als Sektion an. La Conférence des villes en matière culturelle joint l’Union des villes suisses comme section. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
2 Der Städteverband im Jahr 2010 L’Union des villes suisses en 2010 29 · Städtische Mobilität: Schwerpunkt am Städtetag · Mobilité urbaine: le point fort de la Journée des villes · Mitglieder-Mutationen · Membres: mutations Organe Organes 31 · Vorstand · Comité · Geschäftsstelle · Direction · Kontrollstelle · Contrôleurs · Fachorganisation Kommunale Infrastruktur · Organisation spécialisée Infrastructures communales · Sektionen · Sections · Kommissionen und Arbeitsgruppen SSV · Commissions et groupes de travail UVS · Parlamentarische Gruppe «Kommunalpolitik» · Groupe parlementaire «Politique communale» · Vertretungen in Kommissionen des Bundes · Représentations dans des commissions fédérales · Vertretungen in schweizerischen und · Représentations dans des organisations suisses et internationalen Organisationen internationales Mitglieder Membres 43
3 Vorwort Préface Die Schweiz wird zunehmend zum Stadt-Land. Was La Suisse s’urbanise chaque seconde un peu plus. Les die Zahlen längst belegen, schafft sich auch Raum im chiffres le montrent depuis longtemps mais la sensibi- öffentlichen Bewusstsein. Städte und städtische Ge- lité pour l’espace est aussi, désormais, un thème de dis- meinden wachsen dynamisch und sind attraktiv: zum cussion publique. L’espace est aussi ce dont les villes et Wohnen und Arbeiten sowie dank ihres breiten Ange- les communes urbaines ont besoin pour maintenir leur bots an Bildungs-, Freizeit- und Kultureinrichtungen. dynamisme, leur croissance, leur attractivité. Les villes offrent à la fois l’habitat, l’emploi, la formation, les loi- Dank der Wertschöpfung der urbanen Schweiz kann sirs et de riches événements culturels. sich unser Land auch in peripheren Gegenden ein aus- gezeichnetes Angebot an Dienstleistungen und Infra- Le dynamisme de la Suisse urbaine profite aussi aux strukturen leisten. Gleichzeitig sehen sich städtische régions périphériques, qui bénéficient d’une offre ex- Gebiete, welche entscheidend zur Wettbewerbsfähig- ceptionnelle en services et en infrastructures. Mais tout keit unseres Landes beitragen, mit herausfordernden en étant déterminantes pour la compétitivité de tout Aufgaben konfrontiert: Wohnraum wird knapp und le pays, les régions urbaines doivent aussi relever des Dr. Marcel Guignard teuer, Verkehrsinfrastrukturen stossen an ihre Kapazi- défis toujours plus complexes. L’espace habitable est Präsident / Président tätsgrenzen, Sicherheits- oder Sozialfragen beschäfti- plus restreint et plus cher, les infrastructures de trans- gen Behörden wie Bevölkerung zunehmend. ports touchent à la limite de leurs capacités, la sécu- rité et les questions sociales posent de plus en plus de Der Städteverband vertritt die Interessen von Städten problèmes. und Agglomerationen mit Nachdruck und will die Ent- wicklungen aktiv mitgestalten. Wir bringen die Anlie- Représentant les intérêts des villes et des aggloméra- gen unserer Mitglieder in den für sie wichtigen Politik- tions, l’Union des villes suisses veut prendre part acti- bereichen ein. Sei dies in der Verkehrspolitik, wo wir vement aux développements touchant ses membres. eine dauerhafte und ausreichende Finanzierung des Nous sommes les porte-parole de leurs revendications Agglomerationsverkehrs fordern, der Finanzpolitik, wo dans les plus importants dossiers politiques du pays. Que wir uns bei der NFA für eine angemessene Abgeltung ce soit en politique des transports, où nous demandons städtischer Lasten einsetzen und uns gegen Kostenver- un financement durable et suffisant du trafic d’agglo- schiebungen auf die kommunale Ebene wehren, oder mération, en politique financière, où nous prônons une in der Sozialpolitik, wo wir die Folgen von Gesetzesre- compensation équitable des charges incombant spécifi- visionen auf dem Buckel der Städte aufzeigen. quement aux villes et où nous nous opposons avec force Renate Amstutz aux transferts de charges sur les communes, ou encore Direktorin / Directrice Die Interessen der urbanen Schweiz vertreten heisst en politique sociale, où nous démontrons comment les aber nicht einfach mehr Geld fordern, sondern auch das révisions de lois se font sur le dos des villes. Verständnis für die Leistungen dieser Schweiz fördern. Die städtischen Gebiete tragen den Löwenanteil zur Défendre les intérêts de la Suisse urbaine implique aussi Wirtschaftsleistung unseres ganzen Landes bei. Eine de renforcer la compréhension générale pour les services Politik, die für die Entwicklung der städtischen Gebiete rendus par cette Suisse. Les régions urbaines assurent la gute Rahmenbedingungen schafft, dient dem ganzen part du lion de la création économique de la Suisse. C’est Land. Damit leisten wir einen Beitrag dazu, dass die ainsi que nous contribuons aussi à faire que la Suisse Schweiz zukunftsfähig bleibt und ihre Vielfalt auch im reste, à l’avenir, ce qu’elle est et qu’elle conserve sa diver- Wandel bewahren kann. sité même en période de turbulences. 11. Januar 2010 11 janvier 2010 Der Städteverband nimmt am Hearing der Verkehrskommission des Ständerates L’Union des villes suisses participe à l’audition de la Commission des transports du Conseil des Etats au sujet zur Mittelfreigabe Agglomerationsverkehr und Engpassbeseitigung teil. du financement du trafic d’agglomération et du programme d’élimination des goulets d’étranglement. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
5 Städte-Politik Politique des villes Die TAK als tripartite Agglomerations- Continuer la CTA en tant que conférence konferenz weiterführen d’agglomération Von Bund, Kantonen, Städten und Gemeinden im Jahre Lancée en 2001 par la Confédération, les cantons, les 2001 gegründet, etablierte sich die Tripartite Agglo- villes et les communes, la Conférence tripartite sur les merationskonferenz (TAK) als gemeinsame politische agglomérations a fait ses preuves en tant que plate- Plattform und beweist, dass die drei Staatsebenen so forme politique commune. Elle a démontré qu’elle est einen namhaften Beitrag zur Stärkung der Lebensqua- capable de contribuer de façon essentielle à l’améliora- lität und der Wettbewerbsfähigkeit der Agglomeratio- tion de la qualité de vie et de la compétitivité des agglo- nen und damit der Schweiz insgesamt leisten. mérations, et donc de la Suisse dans son ensemble. Ende 2011 läuft die verlängerte Projektphase der TAK Prolongée une fois, la phase pilote arrive à échéance aus; über das Fortbestehen und die definitive Ausge- fin 2011. Une décision sur la continuation et la forme staltung der Konferenz wird bis dann zu entscheiden définitive de la CTA doit être prise d’ici là. Lors de sa sein. An ihrer Sommersitzung 2010 zog die TAK eine séance d’été 2010, la CTA a tiré un bilan globalement positive Gesamtbilanz: Neben der partnerschaftlichen positif de ses activités: outre la collaboration en par- Zusammenarbeit zwischen den Exekutiven aller drei tenariat entre les exécutifs des trois niveaux étatiques, staatlichen Ebenen verdienen auch der sektorübergrei- le principe de réflexion multisectorielle et le bon rap- fende Ansatz und das gute Kosten/Nutzen-Verhältnis port coûts / bénéfices de son travail ont été bien notés. gute Noten. Bezüglich Fortsetzung der TAK wurde ein Une procédure échelonnée a été décidée pour la conti- gestaffeltes Vorgehen beschlossen: Die Konferenz nuation de la CTA, qui poursuivra son travail d’abord wird zunächst als Agglomerationskonferenz fortge- en tant que conférence d’agglomération. Le mandat setzt. Damit verbunden ist der Auftrag, im Rahmen est de montrer à partir de 2012, dans le cadre du pro- des TAK-Arbeitsprogramms ab 2012 aufzuzeigen, wie gramme de travail CTA, comment les espaces ruraux die ländlichen Räume in geeigneter Weise in die tri- peuvent être intégrés de façon adéquate dans le tra- partite Zusammenarbeit einbezogen werden können. vail tripartite. In der zweiten Jahreshälfte führten die TAK-Träger bei Au deuxième semestre 2010, les partenaires de la CTA ihren Mitgliedern eine Vernehmlassung über diese ont soumis ces propositions à leurs membres, pour Empfehlungen durch. Aufgrund der Resultate sprach consultation. Après une enquête interne, le Comité sich der Vorstand des Städteverbandes für die Fort- de l’Union des villes suisses a adopté le principe de la setzung der TAK als Agglomerationskonferenz aus. continuation de la CTA en tant que conférence d’agglo- Für den Städteverband ist die TAK ein unverzichtba- mération. Pour l’Union des villes suisses, la CTA est un res Instrument, das sicherstellt, dass die kommunale instrument indispensable garantissant que les villes et Ebene alle wichtigen Dossiers bereits früh aktiv mit- les communes puissent participer activement et suf- gestalten kann und konsequent, gleichberechtigt und fisamment tôt aux dossiers importants. La CTA nous systematisch in die Erarbeitung der Grundlagen ein- permet d’être systématiquement intégrés, à égalité bezogen ist. Dem Anliegen, die ländlichen Räume in avec nos autres partenaires, à l’élaboration des lois et geeigneter Form in die tripartite Zusammenarbeit der projets. L’Union des villes suisses ne rejette pas l’idée TAK einzubeziehen, verschliesst sich der Städtever- d’impliquer les espaces ruraux dans le travail tripar- band nicht. Allerdings erachtet er den diesbezüglichen tite, mais sous une forme appropriée. Le besoin d’agir Handlungsbedarf vor allem in den urbanen Räumen dans les espaces urbains est prioritaire. Parallèlement, als prioritär. Parallel dazu begann die Tripartite Tech- le Groupe de travail technique tripartite (GTT) a com- nische Arbeitsgruppe (TTA), das Arbeitsprogramm der mencé à préparer le programme de travail de la CTA à TAK ab 2012 vorzubereiten. partir de 2012. 14. Januar 2010 14 janvier 2010 Der Leitfaden Mobilfunk für Städte und Gemeinden wird veröffentlicht. Le Guide en matière de téléphonie mobile pour les villes et les communes est publié. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
6 Neben diesen strategischen Fragen befasste sich die A côté de ces questions stratégiques, la CTA a traité les TAK im Berichtsjahr mit folgenden Themen: thèmes suivants en 2010: • «Stärkung der internationalen Wettbewerbsfähigkeit • «Renforcement de la compétitivité internationale de der Schweiz: Ansätze einer schweizerischen Metro- la Suisse: pistes pour une politique métropolitaine politanpolitik»: Die TAK nahm im Juni 2010 vom ent- suisse»: la CTA a pris connaissance du rapport en sprechenden Bericht Kenntnis und verabschiedete juin et en a adopté les recommandations. die darin vorgelegten Handlungsempfehlungen. • «Accorder politique des agglomérations et politique • «Abstimmung der Agglomerationspolitik mit der Po- de l’espace rural»: toujours en juin 2010, la CTA a pris litik des ländlichen Raums»: Ebenfalls im Juni 2010 connaissance des réponses à la consultation menée nahm die TAK von der Konsultation zur bereits 2009 depuis la présentation de ce rapport en 2009 et fertiggestellten Studie Kenntnis und stimmte den adopté les conclusions du GTT. Le partenariat entre Schlussfolgerungen der TTA zu. So sind die Partner- les villes et les campagnes doit être renforcé, il faut Barbara Bär-Hellmüller, schaft Stadt-Land zu stärken, eine Strategie für die développer une stratégie pour les espaces ruraux Gemeindepräsidentin ländlichen Räume zu entwickeln oder auch die be- ou, également, vérifier les systèmes existants de von Altdorf stehenden Finanz- und Lastenausgleichssysteme zu péréquation des finances et des charges et, le cas überprüfen oder gegebenenfalls anzupassen. échéant, les adapter. «Wir stellen fest, dass sich • «Finanzierungs- und Lastenausgleichsfragen in • «Financement et compensation des charges dans vor allem im Dorfkern von Agglomerationen»: Die TAK befasste sich im No- les agglomérations»: la CTA s’est penchée sur Altdorf Wohn- und Laden- vember 2010 mit der Studie der Firmen Ecoplan und l’étude des bureaux «Ecoplan» et «Advokatur afs» nutzungen verändern. Die Advokatur afs und stimmte den dazu formulierten en novembre 2010 et a adopté les thèses formulées klassischen Verkaufsläden Thesen der TTA zu. Zur Unterstützung der Umsetzung par le GTT. Le 31 mars 2011 a eu lieu à Berne un gehen zunehmend verloren. der Studienresultate findet am 31. März 2011 in Bern colloque spécialisé destiné à promouvoir la mise en Im Dorfzentrum wohnen fast eine Fachtagung statt. œuvre des résultats de l’étude. keine Familien mehr. Dies • Ausländer- und Integrationspolitik: Die zuständige • Politique des étrangers et politique d’intégration: le wiederum hat Einfluss auf Tripartite Technische Arbeitsgruppe hat 2010 die Vor- GTT compétent a poursuivi les travaux préparatoires die Aufenthaltsqualität im bereitungsarbeiten zur zweiten Nationalen Integrati- de la deuxième Conférence nationale sur l’intégra- öffentlichen Raum.» onskonferenz vom 12. Mai 2011 in Solothurn voran- tion, qui aura lieu le 12 mai 2011 à Soleure. Cette getrieben. Mit der Konferenz soll ein Bekenntnis der rencontre doit aboutir à une position commune des drei staatlichen Ebenen, der Wirtschaft, der Zivilgesell- trois niveaux étatiques, de l’économie, de la société schaft und der Mitgrationsbevölkerung zur schweizeri- civile et des migrants. schen Integrationspolitik erreicht werden. • Programme national de prévention «Jeunes et vio- • Präventionsprogramm «Jugend & Gewalt»: Der Bun- lence»: le Conseil fédéral a adopté son programme desrat hat am 11. Juni 2010 dem Gesamtschweize- le 11 juin 2010 et a fixé un montant de 5,65 millions rischen Präventionsprogramm Jugend und Gewalt de francs pour sa réalisation entre 2011 et 2015. Le zugestimmt und die beantragte Finanzierung von programme est tripartite et intègre la Confédéra- 5,65 Millionen Franken für die Jahre 2011 – 2015 ge- tion, les cantons, les villes et les communes. Il a été nehmigt. Das Programm ist tripartit, d. h. mit Bund, élaboré en collaboration avec un groupe de pilotage Kantonen, Städten und Gemeinden angelegt. Seine stratégique tripartite. La mise en place d’un réseau Umsetzung wurde mit der Einsetzung der Tripartiten des délégués communaux et cantonaux a été lan- Strategischen Steuergruppe und der Vorbereitung cée en 2010. zum Aufbau des Netzwerks der kantonalen und kom- • Politique d’agglomération: en 2010, près de dix ans munalen Gewaltbeauftragten 2010 angegangen. après son lancement, la Confédération a fait évaluer • Agglomerationspolitik: Der Bund hat 2010 seine sa politique d’agglomération. La CTA a eu l’occasion Agglomerationspolitik nach bald zehnjährigem Be- de se prononcer sur ce rapport avant qu’il ne soit stehen extern evaluieren lassen. Bevor der Evalua- soumis au Conseil fédéral. Le rapport informe sur tionsbericht dem Bundesrat zur Kenntnisnahme l’état actuel de la politique d’agglomération, sur vorgelegt wurde, hatte die TAK Gelegenheit, dazu les changements en cours dans l’espace urbain et Stellung zu nehmen. Der Bericht informiert über den il présente des réflexions sur les développements aktuellen Stand der Agglomerationspolitik des Bun- possibles dans ce domaine. des, die veränderten Herausforderungen im urba- nen Raum seit 2001 und die Ergebnisse der Evalua- tion und präsentiert Überlegungen zur Weiterent- wicklung der Agglomerationspolitik.
7 Raumpolitik: «Wir haben keine zweite Politique territoriale: «Nous n’avons pas de Schweiz im Keller» deuxième Suisse en réserve» Der wenig nachhaltige Umgang mit Boden und Land- L’utilisation intensive du sol et du paysage pose de schaft stellt für die Raumpolitik eine grosse Heraus- grands problèmes en Suisse, notamment pour la forderung dar. Bereits im Oktober 2009 beschloss der politique territoriale. En octobre 2009 déjà, le Conseil Bundesrat, das Raumplanungsgesetz (RPG) in zwei fédéral a décidé de réviser la Loi sur l’aménagement Etappen zu revidieren. Dies nachdem eine umfassen- du territoire (LAT) en deux étapes. Une première révi- de Gesetzesrevision bereits in der Vernehmlassung sion complète avait échoué lors de la procédure de gescheitert war. consultation. Die erste Etappe, als indirekter Gegenvorschlag zur Conçue comme contre-projet indirect à l’initiative Volksinitiative «Raum für Mensch und Natur (Land- populaire «De l’espace pour l’homme et la nature – schaftsinitiative)» konzipiert, wurde im Berichtsjahr Initiative pour le paysage», la première étape de la vom Ständerat als Erstrat behandelt und befindet révision a été traitée en 2010 par le Conseil des Etats sich nun in der Beratung der Kommission für Umwelt, et se trouve actuellement entre les mains de la Com- Raumplanung und Energie des Nationalrates (UREK-N). mission de l’environnement, de l’aménagement du Der Städteverband konnte seine Anliegen – wie z. B. territoire et de l’énergie (CEATE) du Conseil national. zur Verfügbarkeit von Bauland oder zur Mehrwertab- L’Union des villes suisses a pu présenter ses revendi- gabe – gegenüber der Kommission darlegen und ist cations, notamment concernant le besoin de terrains à auch in den begleitenden Arbeitsgruppen vertreten. construire ou sur la plus-value, devant la commission. Elle est également représentée dans les groupes de Die zweite Revisionsetappe befasst sich mit weiteren travail mis en place pour la révision. dringlichen Raumplanungsfragen wie den funktiona- len Räumen, dem Verhältnis zwischen der Bundespla- La deuxième étape de la révision porte sur d’autres nung und der kantonalen Richtplanung, dem Bauen questions urgentes en matière de planification terri- ausserhalb der Bauzonen oder dem Verhältnis von toriale: citons ici les espaces fonctionnels, le rapport Raumplanung und Umweltschutz. Der Bund hat zu den entre la planification fédérale et les plans directeurs verschiedenen Fragen Arbeitsgruppen gebildet, in de- cantonaux, la construction hors des zones à bâtir ou le nen der Städteverband, wie auch im Leitungsgremium, rapport entre la planification territoriale et la protec- vertreten ist. Zur Koordination der städtischen Anlie- tion du paysage. La Confédération a mis en place des gen wurde ein verbandsinterner Fachbeirat gebildet, groupes de travail sur différentes questions. L’Union der von Nationalrat Kurt Fluri, Stadtpräsident von Solo- des villes suisses y est représentée. Elle siège aussi thurn, präsidiert wird. dans le groupe de pilotage. Un conseil spécialisé a été créé pour la coordination des revendications des villes. Die grundlegenden Herausforderungen und Anliegen Il est présidé par le conseiller national Kurt Fluri, maire der schweizerischen Raumpolitik spiegeln sich auch im de Soleure. Raumkonzept Schweiz. Dieses als Orientierungs- und Entscheidungshilfe für alle Akteure der Raumplanung Les défis de l’aménagement du territoire se reflètent konzipierte Konzept wurde im Berichtsjahr so weit vo- aussi dans le projet de Territoire Suisse. Conçu comme rangetrieben, dass es im Januar 2011 in eine breit ange- un outil d’orientation et de décision pour tous les ac- legte Konsultation geschickt werden konnte. Während teurs de la planification territoriale, le concept a été des gesamten Erarbeitungsprozesses war der Städtever- finalisé en 2010 et présenté en janvier 2011. Il a été band einer der Träger des Raumkonzepts Schweiz. envoyé pour consultation à un vaste cercle d’organi- sations. L’Union des villes suisses a été un des parte- naires durant tout le processus d’élaboration. 28. Januar 2010 28 janvier 2010 Die Städte Basel, Luzern, St. Gallen, Winterthur und Zürich lancieren Les villes de Bâle, Lucerne, St-Gall, Winterthour et Zurich lancent die «Charta für eine nachhaltige städtische Mobilität.» la «Charte pour une mobilité urbaine durable.» 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
8 Für eine tragfähige Finanzierung des Pour un financement solide du trafic Agglomerationsverkehrs d’agglomération Der Städtetag 2010 in Zürich war nicht ohne Grund der Ce n’est pas un hasard si la Journée des villes 2010, qui städtischen Mobilität gewidmet. Die Thematik bilde- s’est tenue à Zurich, a été placée sous le signe de la te das ganze Jahr hindurch einen Arbeitsschwerpunkt mobilité urbaine. Le thème a figuré parmi les points des Verbandes. Am Städtetag ging es darüber hinaus forts du travail de l’association tout au long de l’année. um die Verkehrsfinanzierung auf Bundesebene, da Lors de la Journée des villes, il a surtout été question die gegenwärtigen Strukturen weder Unterhalt noch du financement des transports sur le plan fédéral, car Weiterentwicklung der Infrastrukturen in befriedigen- les structures actuelles ne garantissent ni l’entretien, ni dem Ausmass garantieren. Das gilt ganz besonders für l’extension des infrastructures de façon satisfaisante. Et den Agglomerationsverkehr. In diesem Zusammen- c’est particulièrement le cas pour le trafic d’aggloméra- hang engagierte sich der Städteverband wiederholt tion. C’est pourquoi l’Union des villes suisses répète sans für die ausreichende Dotierung des Infrastrukturfonds. relâche son exigence que le fonds d’infrastructure soit Der Fonds, aus dem die Beteiligungen des Bundes an suffisamment doté. Ce fonds, qui permet à la Confédé- den Agglomerationsprogrammen gesprochen werden, ration de participer aux programmes d’agglomération, ist angesichts des enormen Nachholbedarfs deutlich est drastiquement sous-doté, car le besoin de rattra- unterfinanziert und hat eine begrenzte Laufzeit. Die page est énorme. Il a de plus une durée de vie limitée. Nuria Gorrite, Städte fanden Gehör: Die eidgenössischen Räte be- Les villes ont réussi à se faire entendre: lors de la ses- Syndique de Morges schlossen in der Herbstsession eine Einmaleinlage sion d’automne, les Chambres fédérales ont décidé d’au- von 850 Millionen Franken. Damit wurde verhindert, toriser un versement unique de 850 millions de francs «Il faut se préoccuper de dass die Realisierung vitaler Projekte in Städten und au fonds. Cela a permis d’empêcher que la réalisation l’organisation de l’espace Agglomerationen hinausgeschoben werden muss. Der de projets vitaux pour les villes et les agglomérations urbain, car la mobilité de Städteverband forderte darüber hinaus den Bundesrat ne soit repoussée. L’Union des villes suisses demande demain a déjà commencé.» dazu auf, rechtzeitig die nötigen Grundlagen zu schaf- encore au Conseil fédéral de créer à temps les bases ins- fen, um die Beteiligung des Bundes am Agglomera- titutionnelles qui assureront l’avenir de la participation tionsverkehr definitiv zu institutionalisieren. de la Confédération au trafic d’agglomération. Am 28. Januar 2010 lancierten die Städte Basel, Luzern, Le 28 janvier 2010, les villes de Bâle, Lucerne, St-Gall, St. Gallen, Winterthur und Zürich die «Charta für eine Winterthour et Zurich ont lancé la «Charte pour une nachhaltige städtische Mobilität» als gemeinsame mobilité urbaine durable», base commune pour un Grundlage für einen verträglichen Stadtverkehr und als trafic urbain acceptable pour tous et base pour des ac- Basis für koordinierte Vorstösse auf nationaler Ebene. tions coordonnées sur le plan national. La Charte a été Die Charta wurde bis Ende 2010 von 52 Mitgliedern ratifiée par 52 membres de l’Union des villes suisses des Städteverbandes ratifiziert und am Städtetag einer jusqu’à fin 2010. Elle a été présentée lors de la Jour- breiten Öffentlichkeit vorgestellt. Mit der Gründung der née des villes. Dans la foulée, le 12 novembre 2010, «Städtekonferenz Mobilität» schufen 17 Unterzeichnen- 17 signataires de toutes les régions du pays ont créé la de aus der deutsch-, französisch- und italienischspra- «Conférence des villes pour la mobilité». L’organisation chigen Schweiz am 12. November 2010 in Bern einen donne un cadre institutionnel à la mise en œuvre de institutionellen Rahmen für die Umsetzung der Charta. la Charte. Elle a adhéré à l’Union des villes suisses en Die «Städtekonferenz Mobilität» hat sich dem Städte- tant que section. verband als Sektion angeschlossen. La politique énergétique, priorité de Suisse Energiepolitik im Zeichen von EnergieSchweiz Energie et de la loi sur l’approvisionnement und Stromversorgungsgesetz en électricité Das Berichtsjahr war energiepolitisch von der Revision La Loi sur l’approvisionnement en électricité (LApEl) a des Stromversorgungsgesetzes (StromVG), der Rolle der marqué l’année 2010, de même que le rôle des villes Städte beim Gebäudesanierungsprogramm und dem dans le programme d’assainissement des bâtiments et Nachfolgeprogramm von EnergieSchweiz geprägt. le programme qui succédera à EnergieSuisse. Im November 2009 beschloss der Bundesrat, das erst En novembre 2009, le Conseil fédéral décidait de réviser auf Jahresbeginn in Kraft getretene Stromversorgungs- La Loi sur l’approvisionnement en électricité (LApEl) qui
9 gesetz (StromVG) bereits wieder zu revidieren. Dies était pourtant entrée en vigueur au début de l’année seu- weil das erklärte Ziel der Marktöffnung, nämlich die lement. Raisons à cela: les objectifs visés par l’ouverture Schaffung einer wettbewerbsorientierten und siche- du marché, c’est-à-dire la mise en place d’un approvi- ren Stromversorgung mit transparenten Preisen, nicht sionnement en électricité compétitif, sûr et garantissant erreicht worden sei. Das Bundesamt für Energie (BFE) la transparence des prix, ne pouvaient pas être réalisés. setzte daraufhin eine Reihe von Arbeitsgruppen zu L’Office fédéral de l’énergie (OFEN) instituait alors toute unterschiedlichen Fragen – Anreizregulierung, System- une série de groupes de travail sur différentes questions, dienstleistungen, Unabhängigkeit von Swissgrid, Förde- comme la régulation de l’incitation, les prestations du rung Stromeffizienz etc. – ein. Städte und Gemeinden système, l’indépendance de Swissgrid, l’encouragement sind in allen Arbeitsgruppen vertreten. Dabei lassen de l’efficacité énergétique, etc. Les villes et les communes sich die kommunalen Vertreter, die vom Städteverband sont présentes dans tous ces groupes de travail. Coordon- koordiniert werden, von folgenden Zielen leiten: nés par l’Union des villes suisses, les représentants des 1. Handlungsfreiheit für kommunale Eigentümer er- communes visent la réalisation des objectifs suivants: halten – kein erzwungener Strukturwandel aufgrund 1. Maintien de la liberté d’action pour les propriétaires nicht erfüllbarer Regulierungsvorschriften. communaux – n’accepter aucun changement structurel 2. Versorgungssicherheit nicht gefährden. en raison de prescriptions de régulation non réalisables. 3. Werterhalt und Rentabilität bewahren. 2. Ne pas mettre en danger la sécurité de l’approvi- sionnement. Entgegen der ursprünglichen Absicht, das revidierte 3. Assurer le maintien de la valeur des réseaux et leur StromVG auf Anfang 2014 in Kraft zu setzen, hat der rentabilité. Bundesrat Ende 2010 eine Verzögerung um ein Jahr be- kannt gegeben. Ob damit auch die zweite Stufe der Contrairement à l’intention de départ – qui visait la mise Marktöffnung um ein Jahr verschoben wird, ist derzeit en vigeur de la LApEI révisée début 2014 – le Conseil fé- noch offen. déral a indiqué fin 2010 que le projet aurait une année de retard. L’éventuel report d’une année de la deuxième Immer mehr Städte und Gemeinden orientieren sich étape d’ouverture du marché n’est pas encore déterminé. an den Zielsetzungen der 2000-Watt-Gesellschaft. Die Herausforderung, von heute durchschnittlich Le nombre des villes et de communes décidées à suivre 6300 auf 2000 Watt zu kommen, ist allerdings gross; les objectifs de la société à 2000 watts ne cesse d’aug- viele Städte werden in ihrer Pionierarbeit durch das menter. Le défi – passer de 6300 watts en moyenne Programm EnergieSchweiz für Gemeinden oder durch aujourd’hui à 2000 watts – est cependant énorme. De das Energiestadt-Label unterstützt. Erfreulicherweise nombreuses villes jouent un rôle pionnier dans ce do- können diese Bundesprogramme in den kommenden maine. Elles sont soutenues par le Programme Suisse zehn Jahren weitergeführt werden – allerdings nicht Energie pour les communes ou par le label des Cités de mit den ursprünglich in Aussicht gestellten zusätzli- l’énergie. Ces programmes seront poursuivis ces dix pro- chen Mitteln für Aktivitäten auf kommunaler Ebene. chaines années, mais sans les moyens supplémentaires Als Erfolg zu werten ist hingegen, dass die Städte und pour les activités communales qui avaient été initiale- Gemeinden seit Anfang 2011 in der Strategiegruppe ment prévus. Les villes et les communes ont toutefois des Programms EnergieSchweiz mit Nationalrat und obtenu d’être membres du groupe stratégique du pro- Vorstandsmitglied des Städteverbandes Kurt Fluri ver- gramme SuisseEnergie. Le conseiller national Kurt Fluri, treten sind. membre du Comité de l’Union des villes suisses, en est le représentant. Dagegen wird das Gebäudesanierungsprogramm des Bundes und der Kantone weiterhin ohne angemesse- En revanche, le programme d’assainissement de la nen Einbezug städtischer Vertreter in den Lenkungs- Confédération et des cantons continuera à travailler sans gremien umgesetzt. Dies ist schwer verständlich, sind représentation adéquate des villes dans les groupes de doch städtische Energiefachstellen oft erste Anlaufstel- pilotage. Ce refus est difficile à comprendre, car les or- len für sanierungswillige Gebäudebesitzer. Zudem ver- ganes spécialisés des villes sont souvent les premiers 25. Februar 2010 25 février 2010 Die kantonalen Bau- und Verkehrsdirektoren, Städte, Berggebiete und Verbände des Les cantons, les villes, les régions de montagne et les associations des privaten und des öffentlichen Verkehrs fordern ein Mittelwachstum von 4 % zur Finanzierung transports privés et publics exigent 4 % de croissance pour financer des systèmes leistungsfähiger Verkehrssysteme. de transport performants. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
10 fügen zahlreiche Städte über eigene Förderprogramme à être sollicités par les propriétaires de bâtiments dési- für Energieeffizienz und erneuerbare Energien. Trotz reux d’assainir leur bien. De plus, de nombreuses villes offensichtlichen Synergien zum Gebäudeprogramm hat disposent de programmes d’encouragement pour l’effi- die Energiedirektorenkonferenz der Kantone Anträge cacité énergétique et les énergies renouvelables. Mal- des Städteverbandes zum Einbezug von städtischem gré des synergies évidentes avec le programme d’assai- Know-How in den Begleitgremien bisher abgelehnt. nissement des bâtiments, la Conférence des directeurs cantonaux de l’énergie a jusqu’ici refusé les propositions de l’Union des villes suisses d’intégrer le savoir-faire des Gebündelte Kräfte in der Klimapolitik villes dans les groupes de pilotage. Im Verhältnis zur Bevölkerungszahl finden CO2-Emis- sionen hauptsächlich in urbanen Gebieten statt. Somit Unir les forces pour la politique du climat wird massgeblich vom Verhalten städtischer Gebiete abhängen, ob die CO2-Emissionen dauerhaft redu- Mesurées à l’aune de la population, les émissions de CO2 ziert werden können. Um hier Fortschritte zu erzielen, ont lieu principalement dans les régions urbaines. Leur wollen viele Städte die bislang weitgehend sektoriell comportement sera donc déterminant pour une réduction bestimmten Massnahmenpläne in den Bereichen Ener- durable des émissions nocives. De nombreuses villes ont gie, Klimaschutz, Luftreinhaltung und Mobilität besser décidé de coordonner des mesures jusqu’ici sectorielles aufeinander abstimmen. Zur besseren Nutzung der dans les domaines de l’énergie, de la protection du cli- inhaltlichen und personellen Synergien beschlossen mat, de la pureté de l’air et de la mobilité. L’Union des der Städteverband und die Plattform der Klimabünd- villes suisses et la plateforme Alliance des villes suisses nisstädte Schweiz, die Fachorganisation Kommunale pour le climat ont décidé de faire de l’organisation spé- Infrastruktur ab 2011 als gemeinsames Kompetenzzen- cialisée Infrastructures communales un centre de compé- trum für städtische Klimathemen zu bezeichnen. tences commun pour les thèmes climatiques. Mikroverunreinigungen und Abfallwirtschaft Micropolluants et économie des déchets Zusammen mit seiner Fachorganisation Kommunale En coopération avec Infrastructures communales et Infrastruktur sowie den Kantonen setzte sich der Städ- les cantons, l’Union des villes suisses s’est battue pour teverband im Berichtsjahr für eine verursachergerechte un financement équitable de l’élimination des micro- Finanzierung bei der Eliminierung von Mikroverunreini- polluants. L’Office fédéral de l’environnement (OFEV) gungen ein. Die vom Bundesamt für Umwelt (BAFU) avait l’intention, dans la révision de l’ordonnance sur la beabsichtigte Revision der Gewässerschutzverordnung protection des eaux, de faire procéder à des investis- hätte bei den 100 grössten Kläranlagen zu Investitio- sements de 1,2 milliard de francs pour la révision des nen von 1,2 Milliarden Franken geführt – grösstenteils 100 plus grandes stations d’épuration, un montant qui zulasten der betroffenen Gemeinden. Parlamentari- aurait été en majeure partie à la charge des communes sche Vorstösse von Nationalrat Kurt Fluri und Ständerat concernées. Le conseiller national Kurt Fluri et le conseil- Rolf Büttiker ebneten den Weg zu einer Lösung, wel- ler aux Etats Rolf Büttiker ont déposé des interventions che die Verursacher von derartigen Verunreinigungen parlementaires ouvrant la voie à une solution, qui pré- ebenfalls in die Pflicht nimmt. voit que le principe de pollueur-payeur soit appliqué à l’élimination des micropolluants également. In einem anderen Bereich ist die Lösung noch nicht in Sicht. Die BAFU-Pläne, Transport und Entsorgung der Dans le domaine des déchets urbains en revanche, Siedlungsabfälle weitgehend zu liberalisieren, hätten aucune solution n’a encore été trouvée. L’OFEV entend schwerwiegende Auswirkungen für die öffentliche Ab- libéraliser leur transport et leur élimination et le ra- fallentsorgung. Dies könnte dazu führen, dass Abfälle massage des déchets de petites entreprises pourrait aus Kleinbetrieben aus dem Monopolbereich heraus- être privatisé. Les bases légales justifiant les taxes gelöst, die Rechtsgrundlagen für Grundgebühren bei communales pour la collecte des déchets d’entreprises Gewerbebetrieben in Frage gestellt und so die Finan- seraient aussi remises en question et, ainsi, le finan- zierung der Grundinfrastruktur der Abfallwirtschaft al- cement de l’infrastructure de base de tout le système leine den Haushalten aufgebürdet würden. Kommu- devrait être supporté par les seuls ménages privés. In- nale Infrastruktur und der Städteverband setzen sich frastructures communales et l’Union des villes suisses gegen derartige Tendenzen zur Wehr. s’élèvent contre ce projet.
11 Kommunales Infrastrukturmanagement Gestion des infrastructures communales und FTTH (Fiber to the Home) et FTTH (Fiber to the Home) Mit seinem Infrastrukturbericht hat der Bund das Be- En publiant son rapport sur les infrastructures, la Confé- wusstsein für die Bedeutung einer sektorspezifischen dération a contribué à renforcer la prise de conscience du Infrastrukturpolitik geschärft. Der wertmässig über- public pour l’importance d’une politique sectorielle des wiegende Teil des schweizerischen Strassennetzes infrastructures. Il faut cependant souligner que ce sont und die darin eingebundenen Ver- und Entsorgungs- les villes et les communes qui prennent en charge la plus infrastrukturnetze werden allerdings von Städten und grande partie des réseaux d’infrastructures des routes, Gemeinden bewirtschaftet. Im Lauf des letzten Jahres des canalisations et des conduites. C’est pourquoi, au hat die Fachorganisation Kommunale Infrastruktur cours de l’année dernière, Infrastructures communales a deshalb mit den technischen Fachverbänden des Was- élaboré un instrument de gestion des infrastructures en ser- und Strassensektors ein gemeinsames Verständnis commun avec les associations professionnelles de ges- von Infrastrukturmanagement erarbeitet. Gemeinsam tion des infrastructures pour l’eau et les routes. Ces pro- wollen die Beteiligten in den kommenden Jahren ein chaines années, les partenaires entendent lancer un pro- Infrastrukturprogramm lancieren, das Städte und Ge- gramme commun qui aidera les villes et les communes meinden unterstützt, eigene Infrastrukturstrategien zu à définir et à mettre en œuvre leurs propres stratégies. definieren und umzusetzen. La construction de réseaux de fibres optiques est res- Weiterhin ein Thema bleibt der Bau von Glasfasernet- tée sous les feux de l’actualité en 2010. De nombreuses zen, der im Berichtsjahr in verschiedenen Städten mit villes construisent leurs infrastructures à un rythme grossem Tempo vorangetrieben wurde. Im September soutenu. En septembre, le Conseil fédéral a publié un publizierte der Bundesrat den Bericht über die Lage rapport qui dénote certes quelques lacunes, mais juge im Fernmeldemarkt, der trotz einiger Mängel die gute positivement la bonne couverture en services et les Versorgungslage und die hohe Investitionsbereitschaft investissements à venir, notamment dans la technolo- bspw. in die Glasfasertechnologie als positiv bewertete gie de la fibre optique. Selon le rapport, une révision und sich deshalb gegen eine Revision des Fernmelde- de la loi sur les télécommunications n’est dès lors pas gesetzes aussprach. nécessaire. Finanz- und Lastenausgleich als Péréquation financière et compensation Schwerpunktthema des charges, une priorité de l’UVS In der Wirtschafts- und Finanzpolitik befasste sich der Dans le domaine de la politique économique et finan- Städteverband 2010 schwergewichtig mit der Neuge- cière, l’Union des villes suisses s’est principalement staltung des Finanz- und Lastenausgleichs zwischen consacrée à la question de la péréquation financière et Bund und Kantonen (NFA). Für dieses Anfang 2008 de la répartition des charges entre la Confédération et in Kraft getretene Reformwerk erstellte der Bundes- les cantons (RPT). Entré en vigueur en 2008, le nouveau rat einen ersten Wirkungsbericht und erarbeitete Vor- système a fait l’objet, en 2010, d’un premier rapport schläge für die künftige NFA-Ausgestaltung. Die NFA d’efficacité de la part du Conseil fédéral, qui a proposé hat direkte Auswirkungen auf die Städte, geht es doch différentes modifications pour une nouvelle période neben dem Ressourcenausgleich, der vom Städtever- d’application. La RPT a des effets directs sur les villes. band ausdrücklich begrüsst wird, auch um den teil- L’UVS soutient expressément la péréquation des res- weisen Ausgleich spezifischer Lasten, die einerseits im sources. Elle est en revanche critique sur la compensa- Berggebiet und andererseits in städtischen Gebieten tion des charges spécifiques incombant d’une part aux anfallen. Bereits in der Vernehmlassung kritisierte der régions de montagne et de l’autre aux régions urbaines. Städteverband, dass die Sonderlasten der Städte nur Durant la procédure de consultation déjà, l’Union des unzureichend abgegolten werden. Denn die soziode- villes suisses a critiqué le fait que les charges des villes, mografischen Lasten werden, obwohl sie 72 Prozent dites socio-démographiques, sont insuffisamment com- 28. April 2010 28 avril 2010 Städte und Gemeinden wehren sich gegen die untragbare Les villes et les communes rejettent une modification inacceptable Änderung der Gewässerschutzverordnung. de l’Ordonnance sur la protection des eaux. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12
12 der Sonderlasten ausmachen, im gleichen Umfang pensées. Alors qu’elles représentent 72 % de toutes les abgegolten wie diejenigen mit geografisch-topogra- charges spécifiques, elles sont compensées de la même fischer Begründung. Dies führt dazu, dass letztere zu manière que les charges géo-topographiques incombant 22 Prozent gedeckt werden, jene der städtischen Ge- aux régions de montagne. Au final, seuls 8 % des pre- biete jedoch nur zu acht Prozent. mières font l’objet d’une compensation, contre 22 % pour les dépenses particulières des régions de montagne. Zur Verbesserung der Faktenlage gab der Städtever- band zwei wissenschaftliche Studien in Auftrag. Die L’Union des villes suisses a décidé la réalisation d’ana- erste Studie berechnet erstmals detailliert die Nettobe- lyses scientifiques, présentées en janvier 2011, pour lastung der Städte und kann aufzeigen, dass diese um avoir une vision factuelle de la situation. La première a 39 Prozent höher liegt als bei kleineren Gemeinden. procédé au premier calcul de la charge nette des villes. Die zweite Studie dokumentiert Lastenverschiebungen Elle montre que celle-ci est plus élevée de 39 % que vom Bund hin zu Kantonen und kommunaler Ebene. dans les petites communes. La seconde étude s’est Beide Studien wurden im Januar 2011 der Öffentlichkeit penchée sur les reports de charges de la Confédération präsentiert und liefern wertvolles Datenmaterial im sur les cantons et les villes et communes. Les données Hinblick auf die Behandlung der NFA-Vorlage im Parla- qu’elles contiennent seront précieuses pour le traite- ment sowie Argumente für den jeweiligen kantonsin- ment des dossiers de la RPT par les Chambres fédérales ternen Finanz- und Lastenausgleich. et fourniront des arguments dans les discussions canto- nales sur les péréquations des finances et des charges. Im Rahmen der Anhörung über das Konsolidierungs- Corine Mauch, programm 2011/2013 bezweifelte der Städteverband Dans le cadre des auditions sur le programme de conso- Stadtpräsidentin angesichts der unsicheren Wirtschaftsperspektiven lidation 2011/13, l’Union des villes suisses a mis en doute von Zürich dessen Dringlichkeit und wehrte sich gegen Massnah- son urgence, étant donné les actuelles perspectives éco- men, die zu Kostenverlagerungen auf die kommunale nomiques, et elle s’est opposée aux mesures menant à «Die Kernstädte sind Ebene führen. Insbesondere kritisierte der Verband die des reports de charges sur les communes. L’association darauf angewiesen, dass Einschnitte bei der familienergänzenden Kinderbetreu- critique tout particulièrement les coupes prévues dans die Kantone den innerkan- ung und dem Verkehr, wo er ein minimales Ausgaben- la prise en charge extrafamiliale des enfants et dans le tonalen Finanzausgleich wachstum von vier Prozent fordert. Vorläufig bekam trafic, où elle demande la prise en compte d’une crois- anpassen und dafür sorgen, der Städteverband recht, hat doch der Bundesrat in- sance minimale de 4 %. Le Conseil fédéral lui a partiel- dass die Kernstädte auch zwischen die meisten Vorschläge des Konsolidierungs- lement donné raison en retirant la plupart des proposi- tatsächlich adäquat abge- programms zurückgenommen. Das Thema ist aber tions contenues dans le programme de consolidation. La golten werden.» noch nicht vom Tisch. question n’est cependant pas encore réglée. Kampf gegen Kostenverlagerungen in Le combat contre les reports de charges en der Sozialpolitik politique sociale Die Zusammenarbeit zwischen dem Städteverband L’année 2010 a vu une intensification de la collaboration und seiner Sektion Städteinitiative Sozialpolitik wurde entre l’Union des villes suisses et sa section Initiative des 2010 intensiviert. Mit Besorgnis beobachten die Städ- villes: Politique sociale. Les villes observent avec inquié- te, dass immer mehr Lasten vom Bund auf Kantone tude que toujours davantage de charges sont reportées und Städte sowie Gemeinden überwälzt werden. Diese sur les cantons, les villes et les communes. Cette évolu- Entwicklung manifestiert sich besonders stark bei den tion est particulièrement visible dans le domaine des as- Sozialversicherungen, wo Einsparungen beim Bund oft surances sociales, où les économies de la Confédération Mehrausgaben bei Städten und Gemeinden zur Folge induisent des dépenses supplémentaires pour les villes haben. Die Städte wehren sich gegen diesen Trend. et les communes. Les villes s’opposent vigoureusement Deswegen haben sie die Revision des Arbeitslosenver- à cette tendance. C’est pourquoi elles ont combattu la sicherungsgesetzes bekämpft. In einer Stellungnahme révision de la loi sur l’assurance-chômage. Elles ont aussi, zuhanden von Bundesrat und Parlament haben die dans une prise de position adressée au Conseil fédéral Städte auch bei der IV-Revision auf die Gefahr von Kos- et au Parlement, mis en garde contre le danger de ces tenüberwälzungen hingewiesen. reports de charges dans le cadre de la révision de l’AI. Das von der EU beschlossene Jahr zur Bekämpfung von Dans le cadre de l’année de lutte européenne contre la Armut und sozialer Ausgrenzung 2010 fand auch in der pauvreté et l’exclusion sociale, la Confédération a tenu
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