Gymnasium Helveticum 3/15 - vsg-sspes-ssiss
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Gymnasium H 3/15 elveticum Bildungsstandards ante portas Gemeinsam prüfen – so selbstverständlich wie kontrovers Le CECR dans les écoles du Secondaire II formation générale Präsidententreffen – rencontre des président-e-s 2015 L’italiano al liceo – l’talien au gymnase – Italienisch am Gymnasium
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Gymnasium H 3/15 elveticum FMS–ECG Helvetica Editorial Petit manifeste contre l’utilitarisme – Kleines Manifest gegen den Utilitarismus – Piccolo manifesto contro l’utilitarismo 4 Carole Sierro Schwerpunkt – Sujet spécial Bildungsstandards ante portas? 6 Walter Herzog Gemeinsam prüfen – so selbstverständlich wie kontrovers 17 Romano Mero Le CECR dans les écoles de maturité et les écoles de culture générale de Suisse romande 23 Frédéric Moinat VSG – SSPES – SSISS L’italien au gymnase : recommandations de la CDIP L’italiano al liceo: raccomandazioni della CDPE Italienisch am Gymnasium: Empfehlungen der EDK 26 Carole Sierro Präsidententreffen – rencontre des président-e-s 2015 27 Glosse – Glose Erziehung zur Wertlosigkeit – Education et dévalorisation 28 Gisela Meyer Stüssi Verbände – Associations Fachverbände – Sociétés de branche VSG-Musik: Ist Instrumentalunterricht innerhalb des Schwerpunkt- oder Ergänzungsfachs Musik zum Luxusgut geworden? 30 ASPF : Le Prix des Lycéens de Suisse alémanique Magazin – Magazine Linguissimo 32 Christine Matthey Schulwettbewerbe führen über die Grenzen des Schulzimmers hinaus… 34 Regula Haag Les Journées photographiques de Bienne – Die Bieler Fototage 35 «Praxisjahr» nach der Matura – und dann ein Studium 36 Ruth Wiederkehr Das Aspergersyndrom – selten im gymnasialen Kontext – trotzdem macht eine frühe Diagnose Sinn 38 Benedikt Gasser Bildungsticker – brèves : politique et éducation 39 Andreas Pfister WBZ CPS aktuell – actualités WBZ CPS 44 Titelbild: Locarno: Rencontre des langues – Sprachentreffen – incontro delle lingue (photo©linguissimo.ch) www.vsg-sspes.ch Gymnasium Helveticum 3/2015 3
Editorial Petit manifeste contre l’utilitarisme Le 20 mai dernier, la CDIP ouvrait une pro solution aux problèmes de demain, que ce cédure d’audition sur le projet « Compétences soit dans ses études ou dans sa vie future, tant de base en mathématiques et en langue pre privée que professionnelle. Ainsi, l’école suisse mière constitutives de l’aptitude générale aux forme celui qui tient l’outil et le manipule études supérieures ». Quelques jours plus tard, avec compétence (c’est le rôle du CFC), mais la Sonntagszeitung (24 mai 2015, p. 8) publiait aussi celui qui le conçoit et réfléchit aux im un article sur l’évaluation commune, n’hési plications d’un tel outil. C’est là que se situe le tant pas, dans un sous-titre, à prétendre que champ d’action du Secondaire II général : ne les compétences des maturistes suisses sont viser que l’utile à court terme ne constitue pas généralement insuffisantes. Le ton de la presse son intérêt. Il faut plutôt préparer les jeunes du dimanche, guère surprenant, fait écho à à orienter consciemment leur réflexion face l’atmosphère ambiante : au printemps 2015, à des problématiques encore inconnues au il est en effet de bon ton de s’attaquer à jourd’hui. Il faut leur ouvrir l’esprit sur des la maturité gymnasiale, comme l’a fait par horizons éloignés de leur quotidien afin qu’ils exemple Kathy Riklin dans son interpellation apprennent à se poser les bonnes questions. au Conseil fédéral (v. GH 02/2015). Politiques Il faut encore les familiariser avec des sujets et médias s’en donnent à cœur joie. Comme qu’ils n’auraient jamais abordés sans leur Carole Sierro si la maturité gymnasiale n’avait aucune passage dans nos murs et leur permettre ainsi, Présidente VSG – SSPES – SSISS valeur ! Soyons sérieux : la maturité gymna qui sait, de se découvrir une passion. siale est certes perfectible, mais elle demeure Le Gymnasium Helveticum que vous vous de grande qualité, en comparaison interna apprêtez à lire vous parlera de standards d’ap tionale notamment. Dans le monde politique, prentissage, du cadre européen commun de certains lui reprochent volontiers d’enseigner référence (CECR) pour les langues, d’épreuves des contenus que jamais l’élève n’utilisera. communes, rien qui veuille rappeler que l’été Il est bon de rappeler ici que la maturité approche ! Que cela ne m’empêche pas, avec gymnasiale, comme par ailleurs les maturités un peu d’avance, de vous souhaiter une pause spécialisées, ont pour objectif premier de trans estivale reposante et ensoleillée. mettre une vaste culture générale. Il ne s’agit pas d’enseigner en premier lieu des compé Carole Sierro tences que l’élève mettra telles quelles au ser Présidente VSG – SSPES – SSISS vice de la société, mais de l’aider à constituer un sac à dos chargé des outils et moyens de réflexion qui lui permettront d’apporter une Kleines Manifest gegen den Utilitarismus Am 20. Mai 2015 eröffnete die EDK ein Politik und Medien machen da freudig mit. Anhörungsverfahren zum Projekt «Basale Als ob die gymnasiale Maturität wertlos sei! fachliche Kompetenzen für allgemeine Stu Seien wir ehrlich: Die gymnasiale Maturität dierfähigkeit in Mathematik und Erstspra hat sicherlich Verbesserungspotential, aber che». Einige Tage später hat die Sonntagszei- auch grosse Qualitäten, insbesondere im in tung (24. Mai 2015, S. 8) einen Artikel über ternationalen Vergleich. In der Politik wird Gemeinsames Prüfen veröffentlicht und nicht ihr aber gerne vorgeworfen, Inhalte zu lehren, gezögert, in einem Zwischentitel zu behaup die Schülerinnen und Schüler nie gebrauchen ten, die Kompetenzen der Maturandinnen werden. und Maturanden seien ungenügend. Der Es ist hier angebracht daran zu erinnern, Ton der Sonntagszeitung überrascht kaum, dass die gymnasiale Maturität wie auch die da er die herrschende Atmosphäre aufnimmt: Fachmaturität als erstes Ziel haben, eine Im Frühling 2015 scheint es angebracht, die breite Allgemeinbildung zu vermitteln. Es gymnasiale Maturität anzugreifen, wie es z.B. geht nicht in erster Linie darum, Kompeten Kathy Riklin in ihrer Interpellation an den zen zu unterrichten, welche die Schülerinnen Bundesrat gemacht hat (vgl. GH02/2015). und Schüler direkt der Gesellschaft zur Verfü 4 Gymnasium Helveticum 3/2015
Éditorial gung stellen können. Es geht vielmehr darum, bringen, die sie ohne Verweilen in unseren ihnen zu helfen, einen Rucksack auszustatten Mauern nie kennen gelernt hätten, und ihnen mit Werkzeugen und Mitteln zur Reflexion, vielleicht sogar zu ermöglichen, ihre Leiden die ihnen helfen, Lösungen für Probleme von schaft zu finden. morgen zu finden, sei es in der Ausbildung, Das Gymnasium Helveticum, das Sie in der im zukünftigen Leben, privat oder öffentlich. Hand halten, informiert Sie über Bildungs So bildet die Schweizer Schule Personen aus, standards, über den Gemeinsamen Europäi welche das Werkzeug in der Hand halten und schen Referenzrahmen für Sprachen (GER), es mit Sachverstand einsetzen, aber auch die Gemeinsames Prüfen, nichts, das daran er jenigen, die es erfinden und über die Folgen innert, dass der Sommer naht. Dies hindert eines solchen Werkzugs nachdenken. Das ist mich nicht, etwas zu früh, Ihnen allen eine der Handlungsrahmen der Sekundarstufe II erholsame und sonnige Sommerpause zu Allgemeinbildung: Die nur kurzfristige Be wünschen. trachtung des Nützlichen ist nicht ihr Ziel. Es geht vielmehr darum, die jungen Menschen Carole Sierro darauf vorzubereiten, Probleme, die wir heute Präsidentin VSG – SSPES – SSISS noch nicht kennen, gewissenhaft anzugehen. (Übersetzung von Denise Martin) Es geht darum, ihren Verstand auf entfernte, ungewohnte Horizonte zu lenken, damit sie lernen, die richtigen Fragen zu stellen. Und es geht auch darum, ihnen Dinge näher zu Piccolo manifesto contro l’utilitarismo Lo scorso 20 maggio, la CDPE ha avviato la nella vita privata che in quella professionale. consultazione sul progetto «Competenze di In questo modo la scuola svizzera forma chi base in matematica e nella lingua 1 costitutive possiede lo strumento ed intende utilizzarlo dell’attitudine generale agli studi superiori». con competenza (è il ruolo dell’AFC), per Alcuni giorni dopo, la Sonntagszeitung (24 mettendogli in più di riflettere sulle impli maggio 2015, p. 8) ha pubblicato un articolo cazioni di un tale strumento. È proprio qui sulla valutazione comune senza esitare, nel che si situa il campo d’azione del secondario sottotitolo, a pretendere che le competenze II in generale: mirare unicamente all’utile a dei maturandi svizzeri sono generalmente breve termine non rappresenta ciò a cui siamo insufficienti. Il tono della stampa domenicale, interessati. Bisogna piuttosto preparare i gio per niente sorprendente, fa eco all’atmosfera vani ad indirizzare con consapevolezza la loro ambientale: nella primavera del 2015, si addice riflessione a delle problematiche oggi ancora tirare in ballo la maturità liceale, come l’ha sconosciute. Vanno allargati i loro orizzonti fatto ad esempio Kathy Riklin nella sua mo per non limitarsi alla quotidianità e porsi le zione al Consiglio federale (cfr. GH 02/2015). domande giuste. Vanno poi familiarizzati con Politici e media se la godono – come se la dei temi che non avrebbero mai trattato se maturità liceale non avesse alcun valore! Siamo non fossero stati al liceo – permettendo loro seri: la maturità liceale è certamente perfezio magari di scoprire una passione. nabile, ma è pur sempre di grande qualità a Il Gymnasium Helveticum che si appresta a livello internazionale. Nel mondo politico leggere parla degli standard d’apprendimento, alcuni criticano il fatto che venga trasmesso del quadro comune europeo di riferimento anche un sapere che gli allievi non utilizze per le lingue (QCER), delle prove comuni, ranno mai. È bene ricordare che la maturità facendo dimenticare che l’estate si avvicina! liceale, come del resto anche la maturità pro Che ciò non mi impedisca di augurarvi anti fessionale, ha come scopo primario di tras cipatamente una pausa estiva rilassante e piena mettere un’ampia cultura generale. Non si di sole. tratta d’insegnare in primo luogo delle com petenze che l’allievo metterà direttamente al Carole Sierro servizio della società, bensì di aiutarlo a farsi Presidentessa VSG – SSPES – SSISS un bagaglio pieno di attrezzi e strumenti di (traduzione di Donato Sperduto) riflessione che gli permetteranno di trovare una soluzione ai problemi del futuro, tanto negli studi quanto nella vita quotidiana, sia Gymnasium Helveticum 3/2015 5
Bildungsstandards Bildungsstandards ante portas? Eine kritische Analyse des EDK-Projekts zur Sicherung des prüfungsfreien Hochschulzugangs* Bildung und Schule sind zum politischen ‹langfristigen Sicherung des prüfungsfreien Dauerbrenner geworden. An allen Ecken und Hochschulzugangs› schon von seiner Bezeich Enden wird erneuert, umgestaltet und ver nung her zum Ausdruck, dass das Ziel nicht ändert, zumeist wenig koordiniert und nicht in der Veränderung, sondern in der Bewah selten ohne ersichtliche Notwendigkeit. Im rung liegt. Ergebnis ist oft unklar, ob ein grosser Wurf Ich bezweifle, dass die Selbstdarstellung der gelungen ist oder der Berg lediglich eine EDK richtig ist, und zwar nicht nur im Falle Maus geboren hat. Nicht selten sind sich die von HarmoS und Lehrplan 21, sondern auch Akteure selber uneins über die Dimensionen im Falle der gymnasialen Maturität. Mag sein, ihrer Reformen. So im Falle des Lehrplans 21, dass die EDK tatsächlich des Glaubens ist, der von den einen als Jahrhundertwerk ge nur Bestehendes zu vereinheitlichen und zu Prof. em. Dr. Walter Herzog studierte Psychologie, Soziologie, Pädagogik und feiert wird, während die anderen meinen, beschützen, die Instrumente, die sie dazu an Philosophie an der Universität Zürich. dass letztlich alles beim Alten bleibt. Die EDK wendet, weisen aber in eine andere Richtung. 1991–2015 Ordinarius für Pädagogik bestreitet gar, dass es sich um ein Reform Ich möchte dies am Beispiel des erwähnten mit besonderer Berücksichtigung der Pädagogischen Psychologie, Didaktik projekt handelt. Da mit dem gemeinsamen Projekts zur Sicherstellung der Maturität als und Schulforschung an der Universität Lehrplan lediglich die curricularen Vorgaben Zugangsschein für ein Hochschulstudium be Bern. 2000–2004 Präsident der Konferenz vereinheitlicht würden, sei der Lehrplan 21 legen. Dazu werde ich in einem ersten Schritt der Lehrerinnen- und Lehrerbildung des Kantons Bern. 2004–2005 Präsident des «keine Schulreform» (D-EDK 2014a, S. 4). die Kernkonzepte der aktuellen Reformpolitik Gründungsschulrats und 2005–2007 Ähnliches konnte man bezüglich HarmoS der EDK vorstellen: Bildungsstandards, Kom Präsident des Schulrats der Pädagogi- hören. Wo auf der einen Seite ein «massiver petenzorientierung, Bildungsmonitoring und schen Hochschule Bern. Paradigmenwechsel» (Oelkers & Reusser 2008, Outputsteuerung. Die Konzepte bilden eine S. 514) verzeichnet wurde, da mochte man auf Einheit, die man mit dem Begriff der stan der anderen Seite auch hier nichts Besonderes dardbasierten Schulreform belegen kann (vgl. sehen. Die Einführung von Bildungsstandards Herzog 2013). Im zweiten Schritt werde ich müsse vielmehr als «Weiterentwicklung frü das EDK-Projekt zur ‹Sicherung des prüfungs herer Ideen und bildungspolitischer Absichten freien Hochschulzugangs› unter die Lupe verstanden werden» (Criblez & Huber 2008, nehmen, wobei ich auf Teilprojekt 1 etwas S. 289). Und was die EDK anbelangt, so liess ausführlicher eingehen werde. Dies wird es sie auch in Bezug auf HarmoS verlauten, dass abschliessend ermöglichen einzuschätzen, wie es sich dabei nicht um eine Reform handle. nahe die Standardbewegung bereits vor den Das HarmoS-Konkordat sei zwar «eine bis Toren der Gymnasien steht. lang einmalige bildungspolitische Innovation, aber keine bildungsinhaltliche Reform» (EDK 2011, S. 67) im Sinne einer «Veränderung von Kernkonzepte der aktuellen Bildungsreform Bestehendem» (ebd., S. 67, Fn. 79). Es scheint als würden neuestens auch die Obwohl die EDK bestreitet, dass es sich bei Gymnasien von einer Reformpolitik erfasst, HarmoS und dem Lehrplan 21 um Refor die keine sein will. Obwohl dem schweize men im Sinne der «Veränderung von Beste rischen Gymnasium von verschiedener Seite hendem» handelt, da lediglich die wichtigs beste Noten erteilt werden und der ehema ten «Eckwerte» der kantonalen Schulsysteme lige Präsident der ETH Zürich, Ralph Eichler «harmonisiert» würden, lässt sich nicht über (2012), ausdrücklich von sich weist, dass das sehen, dass mit den Instrumenten, die dabei Gymnasium ein Sanierungsfall darstellt, ist zum Einsatz kommen, weit mehr erreicht auch das Gymnasium in den Strudel der bil wird als eine blosse Vereinheitlichung von dungspolitischen Reformhektik geraten. Vor Strukturen und Inhalten. Bei diesen Instru gut sechs Jahren wurde der damalige Leiter menten handelt es sich im Kern um die fol der Abteilung Qualitätsentwicklung bei der genden Reformkonzepte: Bildungsstandards EDK, Heinz Rhyn, mit den Worten zitiert: qua Leistungsstandards, Kompetenzorientie «Das Gymnasium ist künftig unsere grösste rung des Unterrichts, nationales Bildungs * Überarbeitete und leicht erweiterte Fassung des Baustelle» (NZZ am Sonntag vom 18.1.2009, monitoring und Outputsteuerung des Schul Referats, das ich anlässlich des kantonalen S. 67). Auch auf dieser Baustelle soll aber systems. Zusammen machen sie aus, was man Fachschaftstages Mathematik an der Kantons- nichts getan werden, das den Anschein einer die bildungspolitische Grosswetterlage nen schule Alpenquai Luzern am 21. Januar 2015 gehalten habe. Reform haben könnte. So bringt das von der nen könnte, die zurzeit in unserem Land vor EDK am 22. März 2012 lancierte Projekt zur herrscht. 6 Gymnasium Helveticum 3/2015
Bildungsstandards Bildungsstandards schen Lernleistungen der Schülerinnen und Schüler, die zumeist nach einer einfachen Ein Standard ist im allgemeinen Sprachge Metrik – ungenügend, genügend, hervor brauch ein Massstab oder eine Richtschnur, ragend – differenziert werden, aber auch im um die Qualität eines Produkts oder einer Sinne unserer gängigen Notenskala bewertet Dienstleistung zu beurteilen. Standards haben werden können. eine Informationsfunktion, und sie haben mit Was nun den Begriff der Bildungsstandards Vergleichbarkeit zu tun. Produkte oder Leis anbelangt, so wird dieser fast ausschliesslich tungen derselben Art sollen sich miteinander im Sinne von Leistungsstandards verwendet. vergleichen lassen, damit wir informiert ent Die «schweizerischen Bildungsstandards» sind scheiden können, welches Angebot wir nut «ergebnisorientierte Leistungsstandards» (Ma zen wollen. radan & Mangold 2005, S. 4), die Normen Das soll gemäss Standardbewegung auch festlegen, «deren Erfüllung oder Nichter für Schule und Unterricht gelten. Zwar mag füllung durch entsprechende Testverfahren es ungewohnt sein, in der Bildung ein Produkt beurteilt werden kann» (ebd.). Zwar werden zu sehen oder den Unterricht als Dienstleis in Artikel 7, Absatz 2, des HarmoS-Konkor tung zu verstehen. Es wird auch schwerfallen, dats auch die beiden anderen von Ravitch in den Schülerinnen und Schülern Kunden unterschiedenen Formen von Standards ge oder Konsumenten von Bildung zu sehen. nannt (vgl. EDK 2011, S. 6f. und 22f.), was Und trotzdem stellt sich auch für Schulen die aber nichts daran ändert, dass man sich bei Frage, welche Qualität die Leistungen aufwei der Umsetzung des Konkordats bisher aus sen, die sie erbringen. Bei der Übertragung schliesslich an Leistungsstandards orientiert des Qualitätsbegriffs auf den Bildungsbereich hat. Dabei wird es auch bleiben, und sei es wird jedoch sichtbar, dass nicht nur Produkte nur, weil Bildungsstandards messbar sein müs und Leistungen nach ihrer Qualität beurteilt sen und im Rahmen des nationalen Bildungs werden können, sondern auch die Bedin monitorings auch gemessen werden müssen, gungen, unter denen eine Leistung erbracht was mit einem beträchtlichen Aufwand (auch wird. Diese Bedingungen betreffen einerseits finanzieller Art) verbunden ist. den Input und andererseits den Prozess der Um zu verstehen, was es mit Bildungsstan ‹Herstellung› von Bildung. Dementsprechend dards auf sich hat, fehlt noch ein wichtiges lassen sich verschiedene Arten von Standards Element. Das sehen wir, wenn wir zum Ver unterscheiden. gleich die Uhrzeit beiziehen. Auch die An Relativ bekannt geworden ist hierzulande zeige der Uhrzeit beruht auf einer Standardi eine Unterscheidung von Diane Ravitch (1995), sierung. Da es Zeit nicht ‹an sich› gibt (vgl. die nach «content standards», «opportunity-to- Herzog 2002), müssen wir festlegen, wie wir learn standards» und «performance standards» sie messen wollen – z.B. mit einer Sanduhr, unterscheidet. «Content standards» beschrei einer Sonnenuhr oder einer Atomuhr. Noch ben, was Lehrpersonen lehren und Schülerin bis weit hinein ins 19. Jahrhundert war die nen und Schüler lernen sollen (ebd., S. 12). Uhrzeit lokale Zeit wie andere Masse für Es sind Standards, die festlegen, welche Fä physikalische Grössen auch. Das Zeitmass war cher, welche Inhalte und welcher Lehrstoff durchaus standardisiert, aber die Standards zu vermitteln sind. Davon unterschieden beschränkten sich auf einen vergleichsweise werden die «opportunity-to-learn standards», engen Raum – insofern z.B. die nächstge welche die Programme, Lehrmittel und an legene Kirchenuhr die Zeit verbindlich an deren Ressourcen bezeichnen, die Schulen zeigte. Heute haben wir jedoch Messsysteme, und Lehrkräften zur Verfügung stehen, um die nicht mehr lokalen, sondern globalen, den Schülerinnen und Schülern den Lehr ja kosmischen Standards genügen, so auch stoff beizubringen (ebd., S. 13). Dabei geht es die Uhrzeit. sowohl um Inputmerkmale von Schule (wie Genau dies ist der Anspruch, der auch mit materielle Ressourcen, Merkmale der Schü Bildungsstandards erhoben wird. Standards lerschaft und Qualität des Lehrkörpers) als sind beileibe nichts Neues, auch für Schulen auch um Prozessmerkmale von Schule (wie nicht, aber die Normierung von Standards das Schulklima oder die Qualität des Unter über lokale oder regionale Grenzen hinaus: richts). das ist das Neue an Bildungsstandards. Insofern Schliesslich definieren «performance stan geht es bei Bildungsstandards nicht um Stan dards» das Ausmass, in dem Schülerinnen und dards per se, sondern – analog zur Standardi Schüler die vom Lehrplan geforderten Leis sierung der Uhrzeit – um die Standardisierung tungen erbringen. Leistungsstandards (wie von (Leistungs-)Standards (vgl. Herzog 2013, sie im Deutschen zumeist genannt werden) S. 23). Noch ist die Perspektive im Bildungs beantworten die Frage: «Wieviel ist gut ge wesen nicht global, obwohl auch dazu Ten nug?» (Ravitch 1995, S. 12f.). Insofern steht denzen bestehen (denken wir an PISA), aber der Output im Vordergrund, d.h. die fakti sie ist nicht mehr lokal oder kantonal, son Gymnasium Helveticum 3/2015 7
Bildungsstandards dern national. Es geht um die nationale Ver an welchen Inhalten eine Kompetenz zu einheitlichung der Schülerleistungen, wobei erwerben ist, sondern lediglich, woran man man sich in der Regel auf ein Minimum fest erkennen kann, ob und in welcher Ausprä legt, d.h. auf Mindeststandards. gung sie vorhanden ist. Insofern ist der Kom petenzbegriff sehr genau auf den Begriff der Bildungsstandards abgestimmt. Denn nicht Kompetenzorientierung die Anbindung an curriculare Vorgaben in haltlicher Art (content standards) ist ausschlag Bildungsstandards werden meist nicht mit gebend für den Kompetenzbegriff, sondern Wissen, sondern mit Kompetenzen in Ver die ‹kompetente› Bewältigung von Hand bindung gebracht. In der vom Deutschen lungssituationen. Damit geht eine funktio Bundesministerium für Bildung und For nalistische Umdeutung des Bildungsbegriffs schung in Auftrag gegebenen Expertise «Zur einher: Bildung ist nicht länger Formung der Entwicklung nationaler Bildungsstandards» Persönlichkeit, sondern eine Verbindung von heisst es: «Bildungsstandards … benennen die Wissen und Können, deren Erfolgskriterium Kompetenzen, welche die Schule ihren Schü im erfolgreichen Umgang mit konkreten lerinnen und Schülern vermitteln muss, da Lebenssituationen liegt. mit bestimmte zentrale Bildungsziele erreicht werden» (Klieme et al. 2003, S. 19). Der Out put, der von der Schule erwartet wird, soll Bildungsmonitoring und Outputsteuerung sich in Form von Schülerleistungen zeigen, die als Kompetenzen in Erscheinung treten. Neben der Einführung von schweizweit ein Inzwischen gibt es eine Reihe von Versu heitlichen (minimalen) Bildungsstandards und chen, den Kompetenzbegriff zu klären, die der sprachregionalen Vereinheitlichung der sich allerdings kaum unter einen Hut brin Lehrpläne stellt das nationale Bildungsmoni gen lassen. Was gemeint ist, lässt sich jedoch toring das dritte Instrument dar, mit dem die erahnen, wenn wir uns an die Definition, auf EDK die intendierte «Harmonisierung» der die sich die zuvor erwähnte Klieme-Exper kantonalen Schulsysteme im obligatorischen tise stützt, halten. Sie stammt von Franz Ema Bildungsbereich erreichen will. Artikel 10 des nuel Weinert und soll auch dem Lehrplan 21 HarmoS-Konkordats verpflichtet die Verein zu Grunde liegen (vgl. D-EDK 2014b, S. 5). barungskantone, «sich … zusammen mit dem Danach sind Kompetenzen «die bei Indivi Bund an einem systematischen und kontinu duen verfügbaren oder durch sie erlernbaren ierlichen, wissenschaftlich gestützten Moni kognitiven Fähigkeiten und Fertigkeiten, um toring über das gesamte schweizerische Bil bestimmte Probleme zu lösen, sowie die da dungssystem» (EDK 2011, S. 7) zu beteiligen. mit verbundenen motivationalen, volitionalen In dessen Rahmen soll überprüft werden, ob und sozialen Bereitschaften und Fähigkeiten, die durch HarmoS vorgegebenen Bildungs um die Problemlösungen in variablen Situa standards erreicht werden. tionen erfolgreich und verantwortungsvoll Dementsprechend hat das Bildungsmoni nutzen zu können» (Weinert, zit. nach Klieme toring eine Kontrollfunktion. Es ergänzt die et al. 2003, S. 21). outputorientierten, an Kompetenzen festge Im Falle einer Fremdsprache heisst dies machten Leistungsstandards in konsequenter z.B., dass die Schülerinnen und Schüler Weise. Die Kontrolle ist aber nicht Selbst lernen, sich mündlich zu verständigen, Texte zweck, sondern eingebunden in die Steuerung unterschiedlicher Art zu verstehen und zu des Bildungssystems. Das sieht man, wenn man verfassen, aber auch grammatische Strukturen sich einen zentralen Bestandteil des schwei aufzubauen sowie den Menschen aus dem zerischen Bildungsmonitorings vor Augen entsprechenden Sprachraum interessiert und führt: den Bildungsbericht Schweiz, der alle vier respektvoll zu begegnen. Kompetenzen zei Jahre erscheint. Seit dem Pilotbericht von gen sich in Form von konkreten Tätigkeiten, 2006 liegen zwei reguläre Berichte vor. In die auszuüben Schülerinnen und Schüler der Ausgabe von 2010 heisst es unumwunden, in der Lage sind. Nicht verfügbares Wissen das Wissen, das der Bildungspolitik zugeführt macht den Kompetenzbegriff aus, obwohl werde, diene der Erarbeitung von Vorschlägen Wissen für den Aufbau von Kompetenzen für die bessere, nämlich «evidenzbasierte Steue unabdingbar ist, sondern Wissen, das sich als rung des Bildungssystems» (SKBF 2010, S. 6). ein Können auskristallisiert. Dementsprechend Wo aber setzt die Steuerung an? Sie setzt präsentiert sich der Lehrplan 21 als eine schier am Output an, d.h. an den psychometrisch ge endlose Litanei des Könnens (vgl. D-EDK testeten Schülerleistungen, womit die Verbin 2014c). dung zu den Bildungsstandards sichtbar wird. Der Akzent auf dem Können ist für den Bildungsstandards stehen für eine neue ‹Phi Formalismus des Kompetenzbegriffs verant losophie› der Steuerung, deren Ansatzpunkt wortlich. Es wird nicht festgelegt, wie und nicht wie bisher der Systeminput, sondern 8 Gymnasium Helveticum 3/2015
Bildungsstandards der Systemoutput ist. In der Klieme-Exper Offensichtlich stehen die Bemühungen tise ist von einer «output-orientierten Steue der EDK um die Vereinheitlichung der kan rung» (Klieme et al. 2003, S. 90ff.) die Rede; tonalen Schulsysteme im Kontext einer Re abgekürzt wird auch von «Outputsteuerung» formpolitik, die weit über kosmetische Kor (ebd., S. 93) gesprochen. Outputsteuerung rekturen hinausgeht. Die Instrumente, die sie meint nicht, dass der Output gesteuert wird, einsetzt, um ihr Ziel zu erreichen, sind den denn steuern kann man ein System immer Strukturen des schweizerischen Bildungs nur über den Input. Gemeint ist, dass sich der systems gegenüber keineswegs neutral, son steuernde Eingriff daran orientiert, welche Er dern verändern sie in Richtung einer am gebnisse das System erzielt. Indem der Schule Output orientierten Einflussnahme, die in Bildungsstandards vorgegeben werden, die ihrer Reichweite bisher unbekannt war. Die beinhalten, welche Kompetenzen die Schüle vermeintlich so harmlose Harmonisierung der rinnen und Schüler verbindlich zu erwerben «wichtigsten Strukturen … und … Bildungs haben, kommt dem Bildungsmonitoring die ziele» (Chassot 2011, S. 3) der kantonalen Funktion zu, die Informationen zu beschaf Schulsysteme führt im Schlepptau eine weit fen, die Politik und Verwaltung brauchen, um weniger harmlose Umformung unserer öf das System über den Output zu steuern. fentlichen Schule mit sich. Das aber heisst, Damit sehen wir erstens, wie die Reform dass die Projekte der EDK, wie HarmoS und konzepte zusammenspielen, und zweitens, wie Lehrplan 21, sehr wohl den Charakter von tief die Outputsteuerung in das Bildungssys Reformen haben, d.h. Bestehendes nicht tem eingreift – weit tiefer als die bisherige bloss vereinheitlichen und konsolidieren, son Inputsteuerung. Die standardbasierte Schul dern umgestalten. reform beruht auf einer engen Verbindung zwischen politischer Steuerung der Schule und pädagogischer Arbeit im Unterricht. Reform der gymnasialen Maturität Wie keine Schulreform zuvor, zielt sie darauf ab, «politische und pädagogische Konzepte Wenn dies die bildungspolitische Grosswet zu korrelieren und das Ziel der Einheitlich terlage ist, wie wir sie zurzeit in der Schweiz keit und Verbindlichkeit der Leistungskrite erleben, dann stellt sich die Frage, wie weit rien auf allen Systemebenen zu verankern» auch die Gymnasien von ihr betroffen sind. (Drieschner 2011, S. 113). Das ist in der Tat Eine Antwort soll uns das von der EDK lan das Kernmerkmal der standardbasierten Schul cierte Projekt zur ‹langfristigen Sicherung reform, das sie von anderen, weit weniger des prüfungsfreien Hochschulzugangs› geben. weit reichenden Reformen unterscheidet Einen Überblick über die einzelnen Teilpro (vgl. Herzog 2013). jekte gibt Tabelle 1. Teilprojekt (TP) Zielsetzung Status TP 1 «Basale Studierkompetenzen Bericht liegt vor, ist Allgemeine ermitteln und die Ergänzung des aber noch nicht öffentlich Studierfähigkeit Rahmenlehrplans Maturitäts- schulen um genauere Bestimmungen zur allgemeinen Studierfähigkeit prüfen.» TP 2 «Schulen beim Erarbeiten und Berichtsentwurf ist Gemeinsames Durchführen von gemeinsamen im Anhörungsverfahren Prüfen Prüfungen unterstützen.» bei den Kantonen TP 3 «Den Austausch zwischen Gymnaisen dito Gymnasium– und Universitäten auf schweizerischer Universität Ebene institutionalisieren und verstetigen.» TP 4 «Die Studien- und Laufbahnberatung dito Studien- und an den Gymnaisen besser etablieren.» Laufbahnberatung TP 5 «Prüfen, ob die Dauer der Ausbildung, Projekt startet erst Dauer des die zur gamnasialen Maturität führt, nach Abschluss von Gymnasiums harmonisiert werden soll.» TP 1 Tabelle 1: Die Projekte der EDK zur gymnasialen Maturität (Quelle: EDK 2013) Gymnasium Helveticum 3/2015 9
Bildungsstandards Was legitimiert die Projekte? schlüssigen Aussagen über die Bedingungen der Lernleistungen von Schülerinnen und Über Motivation und Legitimation der fünf Schülern sowie die Determinanten eines Teilprojekte erfährt man wenig. In der offi erfolgreichen Unterrichts (vgl. Herzog 2014). ziellen Verlautbarung der EDK zum Start der Im Vergleich zu Hatties breit abgestützter Teilprojekte 1 bis 4 heisst es, mit den am Analyse hat EVAMAR II gerade einmal drei 22. März 2012 beschlossenen Projekten wür Fächer untersucht (Erstsprache, Mathematik den die Konsequenzen aus EVAMAR II gezo und Biologie); andere Fächer blieben unbe gen (vgl. EDK 2012, S. 4). Das erstaunt inso rücksichtigt. Einbezogen wurden auch über fern, als weder EVAMAR I noch EVAMAR II fachliche Kompetenzen, aber in einer sehr das Bild eines Gymnasiums zeichnen, das verengten Form, zudem nur in der Deutsch dringend reformbedürftig wäre. EVAMAR I schweiz, sowie die Maturaarbeit. Die Studie wurde von den auftraggebenden Behör hat Querschnittscharakter, was es praktisch den EDK und Staatssekretariat für Bildung verunmöglicht, verlässliche Aussagen über und Forschung dahingehend bilanziert, dass Kausalbeziehungen zu machen. «keine Kurskorrekturen notwendig» (EDK & Nimmt man die beiden Punkte zusam EDI 2005) seien. In den Schlussfolgerungen men, fragt man sich, was die EDK wirklich des Projektleiters von EVAMAR II verneint veranlasst hat, die gymnasiale Maturität zum auch Eberle ausdrücklich einen zwingen Gegenstand eines Reformprojekts zu machen. den Handlungsbedarf (vgl. Eberle et al. 2008, EVAMAR II allein dürfte als Legitimations S. 384). Der Bericht zu EVAMAR II bewer basis nicht hinreichen. Ich vermute, dass es tet das Ausbildungsniveau der Maturandinnen die bildungspolitische Grosswetterlage ist, die und Maturanden zwar lediglich als «zufrie inzwischen auch die Gymnasien erreicht hat, denstellend» (ebd., S. 383), jedoch bedauert die den Anstoss zur jüngsten Reforminitiative Eberle in einem Aufsatz über «Missverständ der EDK gegeben hat. Ich lege diese Vermu nisse rund um EVAMAR II», dass der Ein tung der folgenden Auseinandersetzung mit druck entstanden sei, die Ergebnisse seien für den einzelnen Projekten zugrunde, wobei die Gymnasien ungünstig ausgefallen. Wer ich mich mit Teilprojekt 1 etwas ausführlicher den Bericht genau lese, erkenne das Gegen beschäftigen und auf Teilprojekt 5, da es noch teil. «Die Wertung war überwiegend gut, mit nicht in Angriff genommen wurde, nicht Empfehlungen und Vorschlägen zur Weiter eingehen werde. entwicklung in einigen Bereichen» (Eberle 2013a, S. 15). Tatsächlich entspricht die Ak zentverschiebung von ‹befriedigend› zu ‹gut› Teilprojekte 2 bis 4 eher den Tatsachen, weshalb kein Grund zur Annahme besteht, wie Eberle an anderer Die Teilprojekte 2 bis 4 sind abgeschlossen; Stelle schreibt, «dass das Ziel der allgemeinen ein Bericht der Projektleitung mit Anhängen Studierfähigkeit in einem zumindest prag zu den drei Teilprojekten liegt in Entwurfs matischen Sinn bei einem überwiegenden fassung vor (vgl. EDK 2014). Der Bericht Teil der Maturandinnen und Maturanden zeigt, dass sich die Teilprojekte 3 und 4 ausser nicht erreicht würde» (Eberle 2012a, S. 10). halb der Logik der standardbasierten Schul Weshalb die EDK davon ausgeht, die gym reform bewegen. Im Falle von Teilprojekt 3 nasiale Maturität sei nicht ausreichend ‹gesi geht es um die Verbesserung der Kommuni chert›, um den prüfungsfreien Zugang an die kation und Kooperation zwischen den Gym universitären und pädagogischen Hochschu nasien und den universitären Hochschulen, len zu gewährleisten, ist insofern nicht leicht im Falle von Teilprojekt 4 um die Verbesse nachvollziehbar. rung der für die Studienwahl relevanten In Kommt hinzu, dass der Forschungsstand formationen der Gymnasiastinnen und Gym zum Schweizer Gymnasium höchst unbe nasiasten. Beide Zielsetzungen sind nicht nur friedigend ist. Man wundert sich über das sinnvoll, sondern auch unproblematisch. Sie Vertrauen, das die EDK in die Ergebnisse finden sich zudem als Empfehlungen auch im von EVAMAR II als Basis für weitgehende Bericht der Arbeitsgruppe ‹Hochschule und Reformaufträge setzt. Im Allgemeinen sind Gymnasium› (vgl. HSGYM 2008). Untersuchungen zu Schule und Unterricht Etwas anders steht es mit dem Teilprojekt äusserst anspruchsvoll, vor allem wenn die 2. Dabei geht es um das gemeinsame Prüfen. Schülerleistungen im Fokus stehen. Selten Auch darin liegt so lange keine Gefahr, wie es lassen sich aus einer einzigen Studie eindeu nicht zu einer zentralen Steuerung der Matu tige Konsequenzen ableiten. Selbst der beein ritätsprüfungen kommt. Es ist aber unklar, ob druckende Versuch zur Integration von über nicht genau dies im Hintergrund steht. Wenn 800 Metaanalysen, denen Tausende von Ein man die Empfehlungen liest, die im Bericht zelstudien zugrunde liegen, den Hattie (2009) zu EVAMAR II formuliert werden, dann vor kurzem vorgelegt hat, kommt nicht zu lässt sich als gemeinsamer Nenner die Ver 10 Gymnasium Helveticum 3/2015
Bildungsstandards gleichbarkeit und Gleichheit der Maturitäts in den Kantonen durchlaufen. Im Lichte abschlüsse ausmachen, also ein Kernelement meiner bisherigen Ausführungen und auf von Standards und der Standardbewegung. grund einschlägiger Äusserungen des Pro Zwar wird betont, dass die Ergebnisse der jektleiters lässt sich aber trotzdem eine erste Tests in den drei untersuchten Fächern und Einschätzung des Projekts vornehmen. die Maturanoten gut übereinstimmen, jedoch Im Text, mit dem die EDK die fünf werden systematische Unterschiede in der Teilprojekte ankündigt, heisst es, im Maturi Benotung konstatiert, und zwar in Abhängig tätsanerkennungsreglement (MAR) und im keit von der Dauer des Gymnasiums, den be Rahmenlehrplan für die Maturitätsschulen legten Schwerpunktfächern, der kantonalen sei die allgemeine Studierfähigkeit «nur sehr Maturitätsquote und vom Leistungsniveau in allgemein» und «nur ansatzweise» definiert den Klassen. Daraus wird die Notwendigkeit (EDK 2012, S. 4). EDK und Eidgenössisches von verbindlichen schulübergreifenden Mini Departement des Inneren (heute: Departe malstandards bei den Fachinhalten und der ment für Wirtschaft, Bildung und Forschung) Leistungsbewertung sowie von einer Anglei hätten daher die allgemeine Studierfähigkeit chung der Maturitätsquoten abgeleitet (vgl. genauer fassen wollen. Es seien «diejenigen Eberle et al. 2008, S. 389ff.). Die Stossrichtung Kompetenzen in Erstsprache und Mathema ist also Standardisierung über lokale Standards tik zu ermitteln, die für die Aufnahme eines hinaus. Studiums in praktisch allen Studienfächern Dem entspricht, wenn die ehemalige Prä besonders wichtig sind. Alle Gymnasiastinnen sidentin der EDK, Isabelle Chassot, mehr Ver und Gymnasiasten sollen diese Kompeten gleichbarkeit der Maturitätsabschlüsse fordert. zen während ihrer Ausbildungszeit erwerben» Die Lehrpersonen sollen in ihrer Freiheit (ebd.). Diese Kompetenzen werden «basale fach zwar nicht beschnitten werden, jedoch habe liche Studierkompetenzen» (ebd.) genannt. die Öffentlichkeit ein Anrecht auf Transpa Was ist damit gemeint? Greifen wir noch renz: «Je ne crois … pas beaucoup m’avancer mals auf die Empfehlungen von EVAMAR II en vous disant que le monde politique aspire à zurück, so ist der Ausdruck, der dort des gymnases suisses mieux comparables entre verwendet wird, «basale Kompetenzen bzw. eux que ce n’est le cas maintenant. … Die Grund-Studierkompetenzen» (Eberle et al. öffentlichen Schulen sollen selbstverständlich 2008, S. 386). Das ist deshalb interessant, weil frei bleiben … von versuchter Einflussnahme mit basalen Studierkompetenzen auch über- verschiedenster Interessengruppen. … Die fachliche Kompetenzen gemeint sein könnten, Lehrpersonen sollen frei sein in dem von was aber nicht der Fall ist. Vielmehr geht es ihnen praktizierten Unterricht. Aber die im EDK-Projekt ausschliesslich um fachliche Schulen sollen gleich sein in ihren Zielen Kompetenzen, aber lediglich in zwei aus … Dazu muss man zwischendurch die Ziele gewählten Fächern: Mathematik und Erst justieren, zum Teil neue benennen, und man sprache. Es geht aber auch nicht um diese muss Instrumente haben, die Zielerreichung beiden Fächer insgesamt, sondern nur um zu vergleichen» (Chassot 2010, S. 8f.). In die Teilbereiche davon. Es geht um jene stoff gleiche Richtung weisen die Grundsätze, lichen Bereiche dieser Fächer, «die zu den welche die Schweizerische Mittelschulämter basalen fachlichen Studierkompetenzen ge konferenz (SMAK) formuliert hat: beste hören» (Eberle 2013a, S. 15), weil sie in fast hende Divergenzen sollen reduziert und die allen Studienfächern vorausgesetzt werden. Vergleichbarkeit der Abschlüsse erhöht wer Damit stehen wir nochmals vor der Frage, den (vgl. SMAK 2010, S. 1). was damit gemeint ist. Offensichtlich soll Die Formulierungen sind vorsichtig, aber der Gymnasialstoff in Mathematik und Erst bestimmt. Sie zeigen, dass Teilprojekt 2 – an sprache qualifiziert werden, und zwar in ein ders als die Teilprojekte 3 und 4 – im Kon Wissen, das gleichsam unverzichtbar ist, da es text der standardbasierten Reformbewegung praktisch in jedem Universitätsstudium vo steht. Wie weit deren Einfluss geht, lässt sich rausgesetzt wird, und in ein anderes Wissen, zurzeit jedoch schwer abschätzen. das durchaus verzichtbar ist, aber trotzdem am Gymnasium unterrichtet werden soll. Eberle – der Leiter von Teilprojekt 1 – geht davon Teilprojekt 1 aus, dass an den Maturitätsprüfungen künftig zwei Sorten von Aufgaben gestellt werden: Auch Teilprojekt 1 wurde inzwischen abge solche, die – weil der Stoff unverzichtbar ist schlossen; ebenso liegt ein Bericht vor, der – nicht durch Leistungen in anderen Fächern Während der Drucklegung des GH kam das TP1 in die Anhörung jedoch noch nicht öffentlich zugänglich ist. kompensiert werden können, und solche die (Frist: 2. September 2015) – mehr Er soll zuerst in der Schweizerischen Mit – wie bis anhin – kompensierbar sind. Es wird Informationen finden Sie auf der telschulämterkonferenz (SMAK) besprochen künftig zwei Arten von Prüfungsaufgaben Homepage der EDK: www.edk.ch/ dyn/22601.php werden, dann an den EDK-Vorstand gehen mit zwei Formen von Bewertung geben. Die und schliesslich noch eine Anhörungsrunde einen dürfen ungenügend sein; bei den an Gymnasium Helveticum 3/2015 11
Bildungsstandards deren hätte eine ungenügende Leistung das damit rechnet, dass die Schülerinnen und Nichtbestehen der Maturität im Ganzen zur Schüler in den beiden Fächern (aber nur in Folge. diesen) weniger schnell resignieren werden, Was soll man davon halten? Ich möchte da sie gewisse Stoffbereiche beherrschen müs- neun Fragen aufwerfen. Wie weit sie der Be sen, könnte durchaus das Gegenteil eintreten, richt über das Teilprojekt 1 beantworten wird, dass nämlich die ‹unwichtigen› Stoffbereiche kann ich nicht abschätzen. Aber gerade des von Anfang an innerlich abgewählt werden. halb sind die Fragen wichtig, denn ohne klare Zudem dürfte der Prüfungsstress für die Ma Antworten laufen die Gymnasien Gefahr, turandinnen und Maturanden in Mathematik zur Umsetzung einer Reform gedrängt zu und Erstsprache deutlich zunehmen, da die werden, die ihnen mehr Schaden als Nutzen ‹wichtigen› Stoffbereiche über das Bestehen bringen könnte. oder Nichtbestehen der Maturität insgesamt (1) Zunächst stellt sich die Frage, weshalb befinden. Wollen wir tatsächlich, dass Matu hier ein Problem vorliegen soll. Im Bericht randinnen und Maturanden künftig scheitern, zu EVAMAR II werden 24,4% ungenügende weil sie gewisse Stoffe in zwei Fächern nicht Maturanoten in Mathematik und 4,7% in beherrschen, obwohl sie ansonsten gute Prü Erstsprache, aber auch 5,6% in Naturwissen fungsleistungen erzielen? schaften (Gesamtnote) genannt (vgl. Eberle et (3) Ein dritter Punkt betrifft die Tatsache, al. 2008, S. 170, 375). Ist das tatsächlich ein dass die Unterscheidung in ‹wichtige› und Problem? Und weshalb ist es nur ein Problem ‹unwichtige› Fachinhalte ausschliesslich im von Mathematik und Erstsprache? Bekannt Hinblick auf die allgemeine Studierfähigkeit lich wurden andere Fächer (ausser Biologie) erfolgt, also funktional begründet ist und nicht nicht untersucht. Oder wird das Problem aus einem Bildungsverständnis der Gym herbeigeredet mit der Behauptung, es gebe nasialfächer Mathematik und Erstsprache Bereiche von Mathematik und Erstsprache, (Deutsch, Französisch oder Italienisch) her die für die Studierfähigkeit «in den meisten vorgeht. Das halte ich für äusserst problema Fächern» unabdingbar sind? tisch. Das Gymnasium ist nicht nur Zubrin Ein starkes Argument gegen die Notwen ger für die universitären und pädagogischen digkeit einer Anpassung der Bestehensnor Hochschulen, sondern hat einen Eigenwert, men liefert Eberle selber. Unter Berufung auf der sich aus der Idee der gymnasialen Allge EVAMAR I schreibt er, «dass eine Kanalisie meinbildung ergibt. Die funktionalistische rung der Studienwahl aufgrund der eigenen Argumentation, der Eberle folgt, zeigt Möglichkeiten und der damit verknüpften allerdings mit aller Deutlichkeit, dass Teil Interessen von selbst erfolgt und sich daher projekt 1 – ebenso wie Teilprojekt 2 – im Lücken in gewissen Fächern nur beschränkt Kontext der Standardbewegung steht. auf den konkreten Studienerfolg auswirken» (4) Dem könnte man entgegenhalten, dass (Eberle et al. 2008, S. 386).Tatsächlich ist nicht Eberle den Kompetenzbegriff recht eigen davon auszugehen, dass Maturandinnen und willig verwendet. Zum Kompetenzbegriff ge Maturanden ausgerechnet in jenen Fächern hört, wie wir gesehen haben, dass er zwar an oder Fachbereichen ein Studium aufneh Inhalte gebunden ist, die Inhalte selber aber men wollen, in denen sie eine ungenügende letztlich beliebig sind. Lesekompetenz bei Maturitätsnote erzielt haben. spielsweise ist nicht auf eine bestimmte Art Ein weiteres Argument gegen Massnahmen, von Lektüre festgelegt; ein Zeitungsartikel, das wiederum Eberle selber ins Spiel bringt, die Packungsbeilage eines Arzneimittels und liegt im selbstorganisierten Lernen (SOL), das ein literarischer Text erweisen sich als funk in verschiedenen Gymnasien in jüngster Zeit tional äquivalent, wenn es darum geht, Lese zum Thema wurde. Wer gelernt hat, sein Ler kompetenz aufzubauen. Eberle versteht unter nen selber in die Hand zu nehmen, es also Kompetenz jedoch fachliches Wissen und selber zu organisieren, zu überwachen und Können; er setzt Kompetenz mit dem gleich, zu regulieren, der sollte, wenn er ein Studium was am Gymnasium an Inhalten vermittelt aufnimmt, auch selber in der Lage sein, allfäl wird (vgl. Eberle 2010, S. 29f., 2012a). lige Lücken in seinen Studienvoraussetzungen Die Vermutung liegt nahe, dass Eberle zu beheben (vgl. Eberle et al. 2008, S. 388). damit Position beziehen will. Teilprojekt 1 Die Stärkung des selbstorganisierten Lernens wird, wenn auch nicht begrifflich, so doch während der Gymnasialzeit wäre so gesehen sprachlich, im Kontext der Standardbewe eine potente Alternative zur Verschärfung der gung verortet. Tatsächlich spricht Eberle in Maturitätsprüfung. Bezug auf die basalen fachlichen Studierkom (2) Der zweite Punkt betrifft die zuvor er petenzen ausdrücklich von Standards, nämlich wähnte Qualifizierung des Gymnasialstoffes. der «Setzung und Einforderung von Mindest Damit wird man erreichen, dass es künftig standards» (Eberle 2013a, S. 17). Dementspre ‹wichtige› und ‹unwichtige› Stoffe in Mathe chend werden die basalen Studierkompeten matik und Erstsprache gibt. Während Eberle zen auch «Mindestkompetenzen» genannt, 12 Gymnasium Helveticum 3/2015
Bildungsstandards die «auch bei den Schwächsten einzufordern» fordert. «In der Aus- und Weiterbildung von (ebd.) seien. Der korrekte und vollständige Lehrpersonen sollte dem standardorientierten Ausdruck wäre demnach: «basale fachliche Unterrichten und Prüfen grösseres Gewicht Mindestkompetenzen für allgemeine Stu beigemessen werden» (ebd., S. 390). Der Rah dierfähigkeit» (Eberle 2012a, S. 10). Zumin menlehrplan für die Gymnasien sei «zu wenig dest terminologisch befinden wir uns damit bindend» (ebd., S. 389). Es würden sich Vor eindeutig im Kontext der standardbasierten gaben «im Sinne der Festlegung von verbind Schulreform. lichen Minimalstandards (empfehlen)» (ebd.). (5) Angesichts der engen Verknüpfung des Das ist alles ohne Einschränkung formuliert, Kompetenz- mit dem Standardbegriff wun ja nicht einmal auf die Fächer begrenzt. In ei dert man sich über eine Äusserung, die sich nem Beitrag zum Bulletin der Vereinigung der sowohl bei der EDK wie bei Eberle findet, Schweizerischen Hochschuldozenten sieht wonach die basalen fachlichen Studierkom Eberle (2010, S. 30) denn auch ausdrücklich petenzen nicht mittels Tests – zumindest nicht vor, weitere Fächer in den Standardisierungs schweizweit – überprüft werden sollen (vgl. prozess einzubeziehen. Aber welche? Und in EDK 2012, S. 4f.; Eberle 2012a, S. 10). In der welcher Weise? Logik der Standardbewegung müssen Kom (7) Zudem stellt sich die Frage nach ei petenzen nicht nur messbar sein, sondern ner Ausweitung über die Fächer hinaus.Wenn mittels psychometrischer Tests auch tatsäch man genauer hinschaut, dann bildet der Be lich gemessen werden.Weshalb sich EDK und griff der ‹basalen fachlichen Studierkompe Eberle dagegen aussprechen, ist schwer nach tenzen› eine Teilmenge des Begriffs der ‹all vollziehbar. Möglicherweise wird Rücksicht gemeinen Studierfähigkeit›. Zur Letzteren genommen auf die von Lehrerseite schon gehören: 1. überfachliche Kompetenzen, 2. mehrfach vorgebrachte Kritik an flächen fachliches Wissen und Können in dem Fach, deckenden Tests. Insofern ein Kernmoment das studiert werden soll, und 3. fachliches von Bildungsstandards jedoch darin liegt, dass Wissen und Können, das «von vielen Studi lokale Standards relativiert werden, darf man enfächern vorausgesetzt wird» (Eberle 2012a, gespannt sein, wie lange es dauert, bis nati S. 8 – im Original hervorgehoben). Nur der onale Vergleichstests dann doch eingeführt dritte Bereich ist mit den ‹basalen fachlichen werden. Ein Verzicht auf Tests und Output Studierkompetenzen› gemeint. Das aber messungen ist auch deshalb unglaubhaft, weil heisst, wie Eberle ausdrücklich feststellt, dass das schweizerische Bildungsmonitoring die die basalen fachlichen Studierkompetenzen Gymnasien mit umfasst. «nur ein kleiner Teil der Maturitätsbildung» Halten wir kurz inne. Obwohl sich Hin sind und «die allgemeine Studierfähigkeit weise finden, die das Teilprojekt 1 nicht ein noch nicht (garantieren)» (ebd., S. 11). Sie sind deutig der Standardbewegung zuordnen las zwar notwendig, aber nicht hinreichend. sen, spricht der Geist des Projekts eine klare Wie aber wird die Eingrenzung auf die Sprache. Nicht nur Begriffe wie Kompeten notwendigen Studierkompetenzen begründet? zen und (Mindest-)Standards entstammen der Bezeichnenderweise ist immer wieder von standardbasierten Schulreform, auch die Ziel einer «pragmatischen Festlegung» (Eberle setzung der Vergleichbarkeit und Vereinheitli 2012a, S. 7) die Rede. «Eine lückenlose all chung entspricht dem Credo der Standardbe gemeine Studierfähigkeit für alle Maturan wegung. Das Ziel ist, für alle Maturandinnen dinnen und Maturanden» (ebd., S. 8f.) sei ein und Maturanden schweizweit ein Minimum «Konstrukt» (ebd., S. 9), ein «theoretisches an Fachwissen in Teilbereichen von Mathe Konstrukt» (Eberle & Brüggenbrock 2013, S. matik und Erstsprache festzulegen, das von 99), eine «Fiktion» (Eberle et al. 2008, S. 85), niemandem unterschritten werden darf, der ja eine «Illusion» (Eberle 2010, S. 29), weshalb ein Maturitätszeugnis erhält.Wenn diese Ana von einer allgemeinen Studierfähigkeit nur lyse richtig ist, dann stellen sich einige weitere «in einem pragmatischen Sinn» (Eberle 2012a, Fragen. S. 9) die Rede sein könne. (6) So die Frage nach einer möglichen Was pragmatisch Sinn macht, kann sich je Ausweitung des Projekts auf andere Fächer. doch schnell ändern. Das zeigt eine weitere Weshalb das Projekt auf Mathematik und Formulierung von Eberle. Danach sollen alle Erstsprache beschränkt wurde, erfährt man Maturandinnen und Maturanden nicht nur nicht. Ursprünglich sollte auch Englisch da über genügende basale fachliche Studierkom zugehören, und auch die Informatik bzw. petenzen, sondern auch «über mindestens «Informatik-Benutzerkompetenzen» werden genügende allgemeine kognitive und nicht von Eberle einige Male erwähnt. Aber wes kognitive Studierkompetenzen … verfügen» halb nur diese Fächer? (Eberle 2012a, S. 9). Ob damit die überfach In EVAMAR II wird generell eine stärkere lichen Kompetenzen gemeint sind, ist nicht «Standardorientierung bei den Unterrichts ganz klar, jedoch wäre es offenbar naiv zu programmen» (Eberle et al. 2008, S. 389) ge glauben, es gehe Eberle nur um die basalen Gymnasium Helveticum 3/2015 13
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