DER LANGE WEG - INFORMATIONEN ZUR KARTE INFORMATIONS CONCERNANT LA CARTE - Center fir Altersfroen
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D’ZÄITSCHRËFT FIR MËNSCHE MAT LIEWENSERFARUNG SEPTEMBER 2017/N°64 Tel.: 36 04 78 www.rbs.lu IER DOSS G R L A N GE WE DE OHN- ZUR W HAFT NSC GEMEI INFORMATIONEN ZUR KARTE INFORMATIONS CONCERNANT LA CARTE
E D ITOR IA L Danielle Knaff Präsidentin / Présidente RBS – Center fir Altersfroen asbl Tel.: 29 04 04-1 www.naturemwelt.lu Liebe Leserinnen, liebe Leser, Chères lectrices, chers lecteurs, My home is my castle, mein Zuhause ist meine Festung. My home is my castle, ma maison est ma forteresse. Unser ganzes Leben lang steht das Wohnen im Mittelpunkt Le logement est un sujet qui nous accompagne notre vie en- unseres Denkens und Schaffens. Neben Arbeit, Familie, Ge- tière. Quand nous sommes jeunes, nous avons des idées bien précises sur ce que nous attendons de notre habita- Zusammen für die Natur! sundheit und Einkommen, sind unsere vier Wände eines der wichtigsten Themen des Lebens. Außerdem verändern sich tion et nous sommes prêts à investir beaucoup de temps Dank Ihrer Spenden konnten wir wertvolle Biotope für Fauna und Flora die Ansprüche an unseren Lebensraum kontinuierlich. et d'argent à réaliser ces projets. Nous acceptons, le cas retten. In 35 Jahren hat unsere Stiftung ca. 1300 ha Naturreservate échéant, de déménager plusieurs fois ou de vivre pendant Wenn wir jung sind, wissen wir ziemlich genau, wie unser Zu- erworben. Arten wie Schwarzstorch, Weißstorch, Arnika und Orchideen une période indéfinie dans un logement provisoire. Nous re- hause auszusehen hat und welchen Bedürfnissen es entspre- – früher natürlicher Teil unserer Landschaft waren, konnten wir bewahren nonçons aux vacances, aux loisirs, tout cela dans le but de chen soll. Wir stecken viel Zeit und Geld in die Umsetzung und wiederherstellen! construire et d'aménager nos quatre murs. Avoir acquis un dieser Pläne, nehmen in Kauf, mehrere Male umzuziehen, län- logement à soi, c'est avoir réussi sa vie; cette maxime est gere Zeit in Provisorien zu leben und auf Urlaub und Freizeit Ihrer Spenden sind wichtig. zu verzichten. Hat man sein Traumhaus abbezahlt, dann hat toujours d'actualité dans nos mentalités. Wir brauchen Ihrer Unterstützung! Or, en prenant de l'âge, nos besoins changent. Les enfants man es im Leben zu etwas gebracht, so lautet auch heute partent, leurs chambres sont vides. La maison a trop d'es- noch die Devise vieler Luxemburger. caliers, l'entretien est difficile, des rénovations deviennent Doch im Alter ändern sich die Wohnungsbedürfnisse: die Kin- urgentes. Notre logement ne répond plus à notre nouvelle si- Ensemble pour la nature! der sind ausgezogen, ihre Zimmer stehen leer. Zu zweit oder gar alleine, wird das Haus plötzlich zu groß. Der Unterhalt wird tuation de vie. Le contenant devient prison. Grâce à vos dons nous avons pu sauvegarder des milieux naturels Or quitter son domicile pour tenter une nouvelle forme de lo- anstrengend, teure Renovierungen stehen an, viele Treppen gement n'est pas l'affaire de tout le monde. Une maison est indispensables à la faune, à la flore et aux oiseaux. En 35 ans, notre machen das Leben schwer, die Raumaufteilung entspricht fondation a pu acquérir près de 1300 ha de réserves naturelles et a pu bien plus que quatre murs et il peut être douloureux de lais- nicht unseren neuen Bedürfnissen. Wir sind eingesperrt. ser derrière soi ses souvenirs, sa vie en somme, avec ses protéger voire restaurer de la biodiversité comme la Cigogne noire, la Cigogne blanche, l’Arnica montana, des orchidées – qui autrefois Doch sein Zuhause verlassen, zugunsten einer anderen Wohn- bons et ses mauvais moments. Seulement ne courons-nous faisaient naturellement partie de nos paysages. Ensemble préservons oder Lebensform, fällt den meisten von uns sehr schwer. Erin- pas le risque de nous enfermer de plus en plus et de nous la nature, notre richesse naturelle! nerungen an gute und weniger gute Zeiten stecken in unseren priver d'autres expériences, captivantes et enrichissantes? vier Wänden: Man verlässt nicht nur sein Haus, sondern sein Au vu des prix qui augmentent sans cesse et de la rareté Vos dons sont utiles. ganzes Leben. Das ist sehr gut nachvollziehbar, andererseits des logements, il existe actuellement des formes de co-ha- hindert es uns daran, neue und interessante Erfahrungen zu bitation qui valent la peine d'en parler: des logements soli- Nous avons besoin de votre soutien! machen – wir riskieren in unseren geliebten Häusern zu ver- daires entre seniors et étudiants, entre familles et réfugiés, einsamen, zu erstarren. des concepts de cohabitation pour plusieurs générations, Gibt es andere Möglichkeiten? Es gibt mittlerweile – u.a. auch des communautés de vie pour personnes à besoins spéci- wegen steigender Wohnungsnot und hohen Kosten – interes- fiques, des coopératives de logement, etc. sante Projekte, die echte Alternativen darstellen: generations- Les maître-mots de ces nouvelles formes de vie sont: Vivre übergreifende Lebensformen, Solidar-Wohngemeinschaften en communauté, partager, favoriser la rencontre versus vivre natur&ëmwelt Fondation Hëllef fir d’Natur: zwischen Senioren und Studenten, Familien und Flüchtlingen, isolé, tout en laissant à chaque habitant son espace privé. IBAN LU89 1111 0789 9941 0000 (réf. RN) barrierefreie Wohn-Pflegegemeinschaften, Genossenschaf- Ces alternatives et bien d'autres seront de réels défis pour ten/Kooperativen, usw. Bei jedem Projekt sind die Haupt- toutes les générations. Nous vous présentons ces projets de motive: Gemeinschaft, Zusammensein, Begegnung versus logement communautaire dans l’aktiv-dossier de ce maga- Einsamkeit, wobei jeder das Recht auf seinen individuellen zine. Freiraum behält. Un autre thème d'actualité: le film «vivre 100+»: comment Gute und erschwingliche Wohnqualität für Jung und Alt wird faire pour avoir 100 ans et plus. Et comme d'habitude, vous in der Zukunft eine echte Herausforderung werden. In unse- lirez bon nombre d'autres sujets intéressants dans le nouvel rem aktiv-Dossier stellen wir Ihnen verschiedene Projekte vor. Aktiv. Je vous souhaite bonne lecture. Ein weiteres spannendes Thema: „Ü100“, der Film. Was muss man tun, um 100 und älter zu werden? Dies und noch mehr finden Sie im neuen Aktiv. Viel Spaß beim Lesen. 09’2017 3
I N HALT ZUM LN! IN DER HEFTMITTE: SAMME A SEPTEMBER 2 0 1 7 03 Editorial GARDE R! 06 Portrait: Maria José Ganeto 08 Ein gesundes Herz: Von der Prävention bis zur Behandlung 10 Info-Zenter Demenz 28 Karte aktiv60 + DER LANGE WEG ZUR WOHN- Foto: © Patrizia Tilly – Fotolia.com 11 „Ü100“ Filmpremiere GEMEINSCHAFT ie Karte und ihre Vorteile D 12 Neien Ufank: La carte et ses avantages LE LONG CHEMIN VERS LA COHABITATION Version française : sur dem ande -35 Vers une intégration réussie 36 04 78 de 120 familles réfugiées 29 A bonnement Das vorliegende Dossier wird Sie überraschen. Sie erhalten eine Vielzahl von Anregungen und Überlegungen rund um das Thema Wohngemeinschaft. Wir können Ihnen keine Wohngemeinschaft 14 Potpourri in Luxemburg präsentieren, die Sie einfach besichtigen und dann einziehen. Es gibt zwar eine Reihe von Einrichtungen, die Wohngruppen für bestimmte Personengruppen aufgebaut haben. Doch dieses Dossier beschäftigt sich mit Gemeinschaften, die von ihren Bewohnern selbst gegründet, finanziert und verwaltet werden. K arte und Magazin Lassen Sie sich inspirieren, wie aus einer romantischen Idee eine reale Wohnsituation werden kann. 15 Wer diesen Weg antreten will, braucht einen langen Atem und die Bereitschaft, sich mit sich selbst 08 und seinen Mitbewohnern zu beschäftigen. Wen das nicht abhält, hat vielleicht die Chance auf eine Emoflex: Carte et magazine wirklich spannende Zukunft. Mit emotionaler Flexibilität den Lebensalltag meistern 30 Neue Partner der Karte aktiv60+ EIN GESUNDES HERZ 18 RBS-Retrospektiv 32 Chorale Municipale Schëffleng – Theater VON DER PRÄVENTION BIS ZUR BEHANDLUNG 20 Nationale Informations- und Mediationsstelle in Gesundheitsfragen 41 22 Textile Meditationen: Das Mustertuch von 1788 „ARBEITEN ODER 24 Von Lesern für Leser 34 Kurse und NICHT ARBEITEN?“ 26 V O R T R A G M I T P R O F. D R . K R U S E 33 Rätsel Kontaktanzeigen Veranstaltungen 53 Impressum / Rätselauflösungen 34 Regelmäßige Aktivitäten 54 eschäftsbedingungen & Informationen G 36 Auf einen Blick Conditions générales & Informations 52 A nmeldung/Inscription Kurse und Veranstaltungen Cours et manifestations 11 / 49 Foto: © PointImages – Fotolia.com FILMPREMIERE: „Ü100“ 55 V eranstaltungskalender Foto: © picshotfilm Club Senior IN PRÄSENZ DER REGISSEURIN DAGMAR WAGNER 4 09’2017 5
P O RT RA I T Après cette journée forte en émo- tions, la jeune fille va vivre l’année qui MARIA JOSÉ GANETO, suit toute seule. Elle s’installe à l’hô- tel Simmer à Ehnen où elle travaillera comme femme de chambre. «C’était UNE FEMME AU GRAND CŒUR un hôtel familial de haut standing. Le travail était correct, mais je me sen- tais tellement seule, un peu perdue et je me souviens d’avoir beaucoup Toujours le sourire aux lèvres, d’un naturel calme, Maria José Ganeto est une pleuré», nous confie-t-elle. Maria José Nuno et sa famille. Il vient de réussir son bac et comble ce vide en tissant une belle aimerait aller à l’université. femme surprenante; pleine d’optimisme et à l’attitude positive, elle a appris à être amitié avec sa collègue de travail, persévérante dès son plus jeune âge. A la retraite depuis 2014, elle s’est lancée une cap-verdienne de 29 ans. «Heu- Pour Maria José «retraite» ne rime pas nons les familles, que ce soit pour les reusement qu’il y avait Candida» dit- avec «farniente» et elle décide de ré- frais d’inscription de l’école, le maté- dans un projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps: offrir une perspective d’avenir elle, «elle venait d’une autre île, mais aliser un de ses rêves. «Mes parents riel scolaire, l’uniforme, le transport, aux enfants du Cap-Vert dont les parents ont peu de moyens financiers. nous nous sommes tout de suite bien n’ont jamais eu les moyens de payer les frais d’hébergement, voire même entendues. Nous partagions même le des études à aucun de leurs enfants. pour certains les frais d’inscription à dentifrice et les vêtements!» De nom- Dans le temps, la scolarité obligatoire l’université» explique Maria José. «Par Née sur l’Ile de Saõ Nicolau si- enfants. Ses parents sont agri- nés de la fratrie sera la Hollande, mais à par- breux souvenirs lui reviennent à l’es- était jusqu’en 4ème année primaire et le biais de dons, de parrainages et les tuée au nord de l’archipel du culteurs, et c’est la sécheresse tir de là ils vont se disperser et c’est ainsi que prit: «Dans le temps, il n’était pas cela m’a manqué de ne pas avoir eu recettes de participations à des fêtes Cap-Vert, dans la commune qui pousse finalement la fa- Maria José a aujourd’hui de la famille au Pays- question de dépenser de l’argent pour la possibilité d’aller plus longtemps à où nos bénévoles préparent des spé- de Ribeira Brava, elle est la si- mille à l’exil. Le premier point Bas, en Allemagne, en Espagne et bien sûr aus- téléphoner à la famille! Et il fallait l’école. J’ai toujours pensé que si un cialités cap-verdiennes, nous réus- xième d’une fratrie de dix d’arrivée du père et des cinq ai- si au Luxembourg. déjà trouver une cabine téléphonique! jour je pouvais aider des enfants dans sissons à aider huit enfants. Mais ce Je correspondais par courrier avec ma la même situation, je le ferais». Elle a n’est toujours pas assez.» Restée au Cap-Vert avec sa mère et les trois der- famille restée au Cap-Vert, et l’attente régulièrement envoyé des vêtements niers, Maria José suit des cours de français en d’une réponse était si longue!» et des jouets à la famille, mais ici le Maria José aime citer Jacques Brel: projet était plus grand. En mai 2014, «Le talent, ça n’existe pas. Le talent, ville pour avoir les bases d’une langue qui pour- Un an plus tard, c’est le reste de la fa- elle part au Cap-Vert et fait un constat c’est d’avoir envie de faire quelque ra lui être utile en Europe. Le projet d’émigration mille qui entreprend le grand voyage. désolant: «Beaucoup d’enfants ne fi- chose.» Une citation qui lui correspond de la jeune fille est en marche. Les Ganetos s’installent à Junglins- nissent même pas leur 6ème année pri- à elle, mais aussi aux enfants qu’elle ter, mais Maria José a d’autres pro- maire et très peu ont les moyens de aide à travers son association, car sa C’est à 16 ans qu’elle part toute seule à l’aven- jets: «J’avais dix-huit ans et voulais me continuer, voire même d’aller à l’uni- plus grande satisfaction sont les bons ture pour rejoindre son père au Luxembourg, en marier. Mais mes parents s’y oppo- versité. L’école est parfois à plus de résultats scolaires de tous les enfants octobre 1973. Emue de revoir son père après saient parce que mon mari était plus 45 km de distance et les parents n’ont qui savent reconnaitre la chance qu’ils trois années, elle ne restera près de lui que la âgé que moi. Moi, j’avais une autre vi- pas les moyens de payer le transport, ont de pouvoir aller à l’école. / nuit de son arrivée au pays. Il vit en effet dans sion du monde et comme j’avais ap- s’il y en a. D’autres habitent dans la Sandy Lorente une pension pour ouvriers immigrés à Luxem- pris à vivre de manière indépendante, montagne et devraient être logés dans bourg-ville dans les alentours des bains muni- des pensions pour pouvoir continuer je n’en faisais qu’à ma tête. Et puis cipaux avec des italiens, des espagnols et des c’est dans mon caractère, si je veux leur scolarité. Mais ce qui m’a attristé portugais et ne pourra pas accueillir sa fille chez vraiment quelque chose, je me bats le plus, c’est de voir des enseignants lui. Maria José se souvient: «Il n’y avait que des pour l’avoir!» couper des crayons en bouts pour que hommes dans ce logement. Ils avaient des dor- chaque élève puisse écrire.» toirs et une grande cuisine où chacun pouvait se Après son mariage, elle s’installe à préparer à manger. L’équipement était très rudi- Esch-sur-Alzette. Elle débutera comme En automne 2014, elle se lance, Vous pouvez contacter mentaire.» Elle continue: «Le lendemain de mon femme de ménage au bloc opéra- épaulée par un comité détermi- arrivée, mon père et moi sommes partis faire toire de l’Hôpital d’Esch-sur-Alzette en né, dans la création de l’association l’asbl pour une aide des courses en ville et nous nous sommes per- 1980 et prendra sa retraite comme EducActions Cap-Vert dont le but est matérielle ou un don: dus! Heureusement que j’avais appris quelques responsable du service nettoyage de d’améliorer les perspectives d’ave- Maria José Ganeto, mots de français! J’ai tout de suite pu mettre l’hôpital en 2014. «J’étais la première nir des enfants du Cap-Vert en les ai- tél. 55 88 23 / 691 63 86 64 fondatrice d’EducActions Cap-Vert en pratique ce que j’avais appris pour trouver le Cap-Verdienne à être embauchée au dant à poursuivre leurs études après educactionscapvert@gmail.com chemin du retour.» CHEM!» nous confie-t-elle toute fière. la scolarité obligatoire. «Nous soute- s ur Facebook en tapant «EducActions Cap Vert» 6 09’2017 7 dans le moteur de recherche
Ein gesundes Herz Von der Prävention bis zur Behandlung „Cholesterin: Der fette Irrtum“ titelte noch vor kurzem die Luxemburger Kochzeitung „Kachen“ Richtig ist, dass eine Unmenge an lauf-Erkrankungen zwar auch nicht be rücken wollen. Mit Medikamenten Faktoren kardiovaskuläre Krankhei- ganz vermeiden, man kann sie aber behandelt man nach dem Gesamt (Nr. 3/2016). ten hervorrufen. Dabei gibt es einige, verzögern. Und wenn man schon ei- risiko, nicht nach einem einzelnen Gutes Cholesterin – schlechtes Cholesterin – gute Fette – schlechte Fette: Nur wenige Begriffe die sehr viel Gewicht bei der Ursache nen Herzinfarkt bekommen sollte, Cholesterinwert in der Blutanalyse. der Krankheiten haben, die man aber dann doch besser erst mit 75 als mit in der Medizin sind so emotional besetzt wie Cholesterin. Für die einen ist es der Inbegriff nicht beeinflussen kann: das Alter 55 Jahren, oder? Nicht nur weil man Essen Sie abwechslungsreich, viel des schlechten Lebenswandels und ein echter Herzkiller, für andere eine Verschwörung der (Hauptfaktor überhaupt), männlich dann schließlich 20 Jahre ohne ge- saisonales Obst und Gemüse aus sein (Frauen haben weniger oft und lebt hat, sondern auch weil die Me- Ihrer Region (die Ballaststoffe hel- Lebensmittel- und Pharmaindustrie. Beides ist übertrieben, denn Cholesterin ist nur EINER der später einen Herzinfarkt, ihre Sterb- dizin in solchem Maße Fortschritte fen auch sonst Ihrer Gesundheit), lie- vielen Risikofaktoren für Herzkranzgefäßkrankheiten. lichkeitsrate liegt dann allerdings hö- macht, dass die Behandlung 20 Jah- ber mal ein paar Nüsse oder Oliven her), die Familiengeschichte (falls der re später auch viel besser ausfallen anstelle der Chips, gerne auch zwei- Vater, der Onkel oder der Großvater wird, als wenn man früher erkrankt mal die Woche frischen Fisch genie- Warum soll man sich in jungen Jahren einen Herzinfarkt wäre. ßen. Auch Butter darf sein, wenn überhaupt um Cholesterin hatte) … man sie in Maßen aufträgt (10g But- kümmern? ter bringen verschiedene fettlösliche Dann gibt es Faktoren, die man ver- Bekommt man einen K lar ist, dass bei Untersuchungen Vitamine und essentielle Fettsäu- bessern kann: Cholesterin (wobei es der Adern der Halsgefäße Ablage- Herzinfarkt durch Eier ren). Die Versprechen der speziel- noch immer auf die Verteilung an rungen von Cholesterin gefunden wer- essen? len Diätmargarinen sind nur schwer „gutem“ HDL-C und „schlechtem“ N den. Dies fängt auch schon in jungen ein. Nicht nur dass immer we- nachzuvollziehen und es gibt keine LDL-C ankommt), Bluthochdruck, Di- Jahren, so ab einem Alter von 25-30 abetes, Rauchen, Mangel an Bewe- niger Cholesterin im Eigelb ent- Langzeitstudien, die eine Reduktion Jahren an. Wenn diese sogenannten gung, Stress, … halten ist, da keine Tierabfallnahrung der Sterblichkeitsrate bei Herzerkran- „Plaques“ zu dick werden und den mehr verfüttert werden darf seit BSE kungen beweist. Durchmesser der Ader und dadurch Sich also nur um einen einzigen Ri- und anderen Skandalen, das Choles- auch die Blutmenge, die durchpasst, sikofaktor, das Cholesterin, zu küm- terin aus Eiern lagert sich nur wenig Von allem etwas, von nichts zu viel, signifikant reduzieren, kommt es zu mern, macht überhaupt keinen Sinn. in den Adern ab. Wenn Sie unsicher so könnte die Empfehlung für eine Problemen. Des Weiteren sind über 80% des sind über ihre Ernährung, können Sie gesunde Ernährung in jedem Alter Cholesterins und dessen Verteilung sich von einer Diätassistentin bera- lauten. / In einer vereinfachten Überlegung genetisch bedingt und kommen aus ten lassen oder fragen Sie am bes- würde man sagen: Das Choleste- eigener Produktion. Sogar durch eine ten Ihren Hausarzt, welche Risiken Dr. Marc Keipes rin muss schuld sein, also muss das perfekte Diät kann man meistens Sie haben und wie Sie ihnen zu Lei- Direktor des ZithaGesondheetsZentrums Cholesterin gesenkt werden. Doch nur 10-15% Verbesserung erwarten. ganz so einfach kann es ja nun wirk- Wer dem Risiko Herzkreislauferkran- lich nicht sein bei so einer komple- kungen wirkungsvoll entgegenwir- xen Maschine wie der menschliche ken will, sollte aber möglichst ALLE Körper. Aber komplexe Inhalte sind in bestehenden Risiken versuchen zu der Werbung schwer zu vermarkten, Dr. Marc Keipes hält am 12. Oktober 2017 mindern oder zu verbessern (wieder also gilt für die Werbung das Prinzip einen Vortrag zum Thema Herz-Kreislauf-Erkrankungen. mehr Bewegung, lernen besser mit „Angst essen Seele auf“: Cholesterin Stress umzugehen usw). Mit einer Bewegung gehört zu einem = Herzinfarkt = Produkte gegen diese gesünderen Lebensweise und/oder Weitere Details finden Sie auf Seite 44. gesunden Lebenswandel dazu. Angst muss ich kaufen. Medikamenten kann man Herz-Kreis- 8 09’2017 9
AIMER, SOIGNER, COMMUNIQUER. Auf Initiative de RBS – Center fir Al te Pr s rs äs froen enz wird der Film in Wagner LA FORCE DU TOUCHER der Regisseurin Dag m ar mburg gezeigt. erstmals in Luxe tionen La communication, par des mots, avec une personne atteinte d’une Weitere Informa zum Film und démence devient de plus en plus difficile avec la progression de auf zur Anmeldung la maladie. Souvent la personne ne trouve pas les bons mots pour Seite 49. s’exprimer ou n’arrive plus à canaliser les informations verbales reçues. Toucher quelqu’un, c’est quoi: mettre sa main ou ses doigts au contact avec ce dernier. En particulier, ce geste se fait pour apprécier, par les sensations tactiles, son état, sa consistance et sa chaleur. Par le toucher on peut devenir part du monde de l’autre. «Les mains sur la peau touchent l’âme à vif.» Le toucher met en confiance, sécurise et aide à augmen- Christian Bobin ter l’estime de soi. Ce sont des besoins primaires de tout le monde, d’autant plus du sujet âgé démentiel, qui vit dans Même si la communication devient de plus en plus diffi- un monde différent. Un monde peut-être plein de peurs et cile, il ne faut pas ne plus communiquer. Ces personnes ont d’incertitudes qui peuvent provoquer du stress, de l’insé- tout autant besoin de faire partie de leur environnement et curité ou de l’agressivité. Il est démontré que le toucher de s’exprimer. En étant confronté à une personne atteinte peut influencer favorablement le comportement d’une per- d’une démence, il faut donc changer son mode de commu- sonne, réduire l’agressivité, diminuer la douleur ou capter nication, du verbal au non-verbal. Comme par exemple: par l’attention de ce dernier pour rompre la solitude. De ce fait, le toucher. Le sens du toucher est notre premier mode de n’hésitez pas à toucher la main ou le bras de votre proche communication en tant que nouveau-né, donc pourquoi ne «malade», car celui qui touche parle au cœur de la per- pas y retourner? sonne. / En cas de questions concernant le thème de la démence, n’hésitez pas à vous informer gratuitement auprès de l’Info-Zenter Demenz: 14a, rue des Bains – L-1212 Luxembourg Foto: © picshotfilm ✆ 26 47 00 mail@i-zd.lu – www.i-zd.lu 10 09’2017 11
NEIEN UFANK La famille Jomaa participe au projet «Neien Ufank». Vers une intégration réussie de 120 familles réfugiées Elle habite depuis peu à Bech-Kleinmacher. Interview avec le père Aujourd’hui, avec les nombreux conflits internationaux qui s’enlisent, le nombre des réfugiés ayant obtenu le statut continue de croître. Et leur intégration dans notre société A l’heure actuelle, le projet lancé en début d’année a déjà permis de trouver un logement à 15 familles ori- L e deuxième axe d’action du projet est l’accompagnement social de manière générale, en vue de favoriser de famille, devient une nécessité, une priorité. Pour favoriser cette intégration et les aider dans ginaires de Syrie, d’Irak et d’Erythrée le lien entre les résidents. Il s’agit no- Safwan Jomaa. leur processus d’installation, Caritas Luxembourg a lancé, avec le soutien financier de et cela à Dudelange, Luxembourg, Ho- tamment d’aider les réfugiés dans les wald, Reisdorf, Mersch, Troisvierges, démarches auprès de leur commune, l’Œuvre Nationale de Secours Grande-Duchesse-Charlotte, le projet «Neien Ufank». Wiltz et Bech-Kleinmacher. Il s’agit en faisant le lien avec les écoles, les Comment viviez-vous avant d’arriver dans ce logement? Le défi est de taille: accompagner 120 familles réfugiées dans leur intégration! soit d’appartements, soit de maisons, associations locales, ou encore de les dont les propriétaires sont des com- présenter au voisinage. Nous vivions dans le foyer de Marienthal, à quatre dans une chambre. munes, des fabriques d’église ou en- Nous partagions la cuisine et les core des particuliers. E nfin, le troisième volet du projet sanitaires avec les autres habitants A travers ce projet qui se caracté- concerne l’insertion profession- du foyer, ce qui n’est pas évident. J’ai P rise par une approche transver- La famille Jomaa habite depuis peu à Bech-Kleinmacher our faire face à la problématique nelle. «Neien Ufank» établit avec le ré- cherché un logement à nous pendant sale, Caritas Luxembourg agit sur du logement et permettre à une fugié un bilan de ses compétences et presqu’un an, mais sans succès. trois niveaux: le logement, l’accompa- population vulnérable élargie (réfu- lui propose, si nécessaire, des cours Comment êtes-vous arrivés gnement social et l’accès à emploi. giés, sans-abri, mal logés, familles de langue ou des stages de remise à dans ce logement? monoparentales) d’avoir accès au niveau, de manière à augmenter son J’ai été contacté par Caritas P our reconstruire une vie sociale et logement, Caritas Luxembourg a ré- employabilité. Luxembourg qui me connaissait déjà du familiale dans le pays d’accueil, agi et entrepris la construction de foyer de Marienthal et qui m’a demandé il est en effet important pour les ré- fugiés de sortir des foyers dans les- logements sociaux, avec le cofinan- cement du Ministère du Logement. A titre d’exemple, à Beggen, une ré- D ans ce cadre, des partenariats ont déjà démarré avec des entre- prises ayant offert un emploi aux bé- si on voulait participer au projet. Peu après, l’équipe du projet m’a proposé de visiter ce logement. quels ils vivent en collectivité depuis leur arrivée et de trouver un logement sidence intergénérationnelle inaugu- néficiaires du projet. Toute nouvelle rée en février accueille d’ores et déjà collaboration avec des employeurs Comment vivez-vous adapté. Le logement est un facteur maintenant? essentiel dans l’intégration des réfu- sous le même toit des personnes est également la bienvenue. Caritas âgées fragilisées et des étudiants. Luxembourg recherche aussi des bé- Nous sommes en train de nous giés mais il est très difficile d’accès, installer. Nous avons eu des meubles d’autant plus lorsque l’on est réfugié! Dans ce contexte, Caritas Luxem- névoles disposés à mettre leur exper- de Caritas Luxembourg. Nous en avons Caritas Luxembourg recherche ainsi bourg est ouverte à toute proposition tise au service de réfugiés dans leur également acheté quelques-uns. Nous dans le cadre de son projet des pro- de partenariat avec des communes, recherche d’emploi. / allons finir l’aménagement au fur et à priétaires disposés à mettre à sa dis- des promoteurs privés, des investis- mesure. Nous avons déjà pris quelques position un logement inoccupé et à seurs et des particuliers. habitudes dans le village et nos enfants jouent au terrain de sport avec d’autres loyer modéré. Les avantages qu’offre enfants du quartier. la signature d’un contrat de bail signé avec Caritas Luxembourg sont: Que souhaitez-vous ENVIE D’AIDER? pour le futur? – la garantie de paiement du loyer J’espère trouver du travail. Je suis – la possibilité d’exonération fiscale Pour en savoir plus sur le projet, y participer en nous louant un logement ou juriste de formation et mon diplôme est de 50% sur les revenus locatifs en parrainant un réfugié dans sa recherche d’emploi, n’hésitez pas à contacter reconnu au Luxembourg. Par contre, Foto: © Caritas – l’entretien du logement Georges Glod: j’aime également cuisiner et faire – l’accompagnement social et pro- des travaux de menuiserie. Je me dis pourquoi ne pas ouvrir un restaurant fessionnel des locataires tél.: 40 21 31-523 – georges.glod@caritas.lu ou travailler dans la menuiserie. En tout cas, nous pouvons enfin construire notre nouvelle vie et entrevoir un futur, 12 09’2017 13 ici à Bech-Kleinmacher.
P O T P O U RRI EMOFLEX Mit emotionaler Flexibilität den Lebensalltag meistern Foto: © René SCHO 2017 BESSER LEBEN MIT DIABETES Wir sind alle einzigartig – und zwar einzigartig in unserer Verschiedenheit. Nicht nur Die Maison du Diabète bietet ab Oktober ein neues Schulungs- und Informationsprogramm an. äußerlich unterscheiden wir uns voneinander, sondern auch in unserem persönlichen Es startet am 18. Oktober mit dem 10-wöchigen Kurs: Erleben und Verhalten. Das erklärt auch, warum jeder eine ganz eigene Sicht von sich Mein Typ 2 Diabetes im Alltag. selbst und der Welt hat, und gleiche Geschehnisse von unterschiedlichen Personen De Club Senior „Schwaarze Wee“ vun Diddeleng Dieser findet mittwochs von 9h30-11h00 statt und ganz unterschiedlich bewertet werden. sicht fir säi Cabaretsgrupp „De wëlle Wäin“ richtet sich an Typ-2-Diabetiker, die mit Diät und Medikamenten behandelt sind. Der Kurs befasst sich Foto: © PictureArt – Fotolia.com EN NEIE REGISSEUR (M/F). mit Themen wie Behandlung, Ernährung, Bewegung, Selbstkontrolle und Vermeidung von Komplikationen. Interesséiert Kandidat(Inn)e Anmeldung erforderlich, Kostenbeitrag 40 € kënnen sech w.e.g. melle bei der Mme Jeanne Rubbini-Kohl, Chargée de Direction, um Telefon: 26 51 55-1 Weitere Informationen bei der ALD Tel.: 48 53 61 oder www.ald.lu F ür den einen ist der halbe Tag be- reits vorbei, der andere hat noch den halben Tag vor sich. Zwei unter- neswegs immer so funktional, son- dern kann schlimmstenfalls selbst „zum Problemverhalten“ werden. schiedliche Sichtweisen – beide sind Fehlt die nötige Flexibilität (z.B. um korrekt. Wie dieses einfache Bei- Abstand von belastenden Gefühlen spiel verdeutlicht, funktionieren alle zu gewinnen), können diese gelernten menschlichen Gehirne unterschied- „automatisierten“ Reaktionsmuster lich. Das Gehirn ist die Steuerungszen- dem gewünschten Ziel entgegenlau- trale des Körpers und kontrolliert, wie fen. Psychologisch betrachtet, muss wir fühlen, lernen, denken und wie wir man also immer abwägen, inwieweit uns selbst und unseren Mitmenschen ein bestimmtes Verhalten einem ge- gegenüber verhalten. Dabei unter- wünschten Ziel dient. Vielleicht wäre scheiden wir uns erheblich darin, was der unliebsame Nachbar ja zu einem wir als „Stress“ empfinden. Jemand netten Kerl geworden, wenn man statt der keine Höhenangst hat, mag Spaß Beschimpfung und Androhung von Po- dabei empfinden über eine Hängebrü- lizei einfach nur freundlich darum ge- cke zu laufen, während ein anderer beten hätte, die Musik abends leiser schon allein bei der Vorstellung daran zu stellen ...? Vielleicht hätte man sich ins Schwitzen gerät. Dem einen mag selbst nachher viel besser gefühlt? es leicht fallen mit anderen Menschen in Kontakt zu treten, während dies für jemand anderen mit Anspannung und „Zwischen Reiz und Reaktion gibt es einen Raum für Entscheidungen“, be- tont Hirnforscher Joachim Bauer in E motionen spielen also bei der geis- tigen Informationsverarbeitung eine entscheidende Rolle. Insgesamt Angst verbunden ist. Da stresshaf- einem exklusiven Interview mit RBS. können Gefühle Lernprozesse fördern, te Begebenheiten jedoch zum Leben Diesen gelte es „wahr“ zu nehmen. indem sie die Aktivität neuronaler Net- 9, rue de l’Hôpital L-6448 Echternach dazugehören, entwickeln wir im Laufe Denn hier kann man entscheiden, ze intensivieren (z.B. an besonders unseres Lebens Verhaltensmuster, die was einem langfristig guttut. „Unsere schöne oder unschöne Momente er- Tél. : 72 64 50 - info@seniorhotel.lu es uns ermöglichen unsere Gefühle in modernen Lebensbedingungen verlei- innert man sich besonders gut). Infor- unangenehmen oder stressreichen Si- ten uns jedoch dazu, kaum noch in- mationen, die emotional gefärbt sind, tuationen zu beruhigen. nezuhalten“, warnt der Hirnforscher. prägen sich – wie wir wissen – beson- www.seniorhotel.lu „Ohne Abstand zu unseren Emotionen ders gut ins Gedächtnis ein. Sie blei- D och Vorsicht! Verhalten, das viel- leicht kurzfristig hilfreich oder entlastend ist, ist auf lange Sicht kei- und den Reizen der uns umgebenden Welt, laufen wir Gefahr, uns selbst zu verlieren“. ben auch abrufbereiter. Allerdings nur solange die Emotionen nicht zu star- ke Ausprägungen aufweisen. Schlagen 14 09’2017 15
Dat neit Buch vum Biographiegrupp vum RBS kënnt den 18. November eraus! die Emotionen über die Stränge (in gemacht werden. Ziel des Trainings in sozialen Situationen zu äußern und Dauer und Intensität) oder dreht das ist es, durch gezielte Optimierung der angemessen auf soziale Anforderun- negative Gedankenkarussel in Endlos- Hirnströme eine bessere Selbstregula- gen zu reagieren. Trainingsaspekte schleife, so ist das Gehirn neurobiolo- tion zu erreichen. bilden u.a. der selbstsichere Umgang gisch „gestresst“ und kann seinen mit Kritik, das Aushandeln berechtig- normalen Aufgaben nicht oder weni- ter Forderungen, der Aufbau und die #2 Sophrologie – oder ger gut nachkommen. Das Resultat: Erhaltung sozialer Beziehungen sowie die Lehre der Harmonie des Man vergisst wichtige Dinge und kann mit Selbstbewusstsein „Nein“ sagen Bewusstseins. zu können. 32€ sich nichts Neues mehr merken, oder man fühlt sich überfordert und re- agiert gereizt oder impulsiv. Dies sind Warnsignale, die es zu erkennen gilt! D ie vom kolumbianischen Arzt Dr. A. Caycedo entwickelte, ganzheit- liche Entspannungsmethode basiert #4 Emotionsregulation – RT AK TIV60 + oder wie Sie Ihre Gefühle im Griff In diesem Falle benötigt das Gehirn auf dem Erlernen bestimmter Atem- MAT DER KAA REMISE Nachhilfe-Unterricht bzw. muss wie- techniken kombiniert mit gezielten, behalten. KRITT DIR ENG 10% der (er)lernen die Zügel in die Hand zu nehmen, sich selbst zu organisieren dynamischen Übungen, verschiedenen Körperposturen sowie positiven Visua- W ie wir mit Gefühlen umgehen, ist zu einem großen Teil ge- lernt. Diese gelernten Muster sind VUN und zu steuern. Zum Glück haben wir lisierungen. Seinen Körper und seinen diesen geistigen Handlungsspielraum, Geist bewusst in der Entspannung zu jedoch nicht in Stein gemeißelt, son- der es uns ermöglicht uns selbst und erleben, verstärkt das Selbstwertge- dern können – falls nötig – modi- die Dinge, die um uns herum passie- fühl, erhöht das Selbstbewusstsein, fiziert oder sogar vollkommen neu ren anders zu erleben und uns anders schafft Sicherheit und öffnet ganz gelernt werden. Im kognitiv-verhal- zu verhalten. Wir können lernen, un- neue Perspektiven. Durch regelmäßi- tenstherapeutisch basierten Emo- sere Gefühle selbst zu steuern und ges sophrologisches Training lernen tionsregulations-Training werden einen kühlen Kopf zu bewahren. Um Sie, Ihre Gefühle und Emotionen wahr- Fragestellungen behandelt, wie „Wozu es mit den Worten von Joachim Bau- zunehmen, zuzulassen und konstruk- brauche ich Emotionen und wie kann ich sie besser erkennen und beschrei- ISBN: 978-99959-750-5-0 er auszudrücken, „funktioniert un- tiv damit umzugehen. Dies ermöglicht, ser Stirnhirn wie ein Kutscher, der die in schwierigen Situationen die Kontrol- ben? Welcher Zusammenhang be- Zügel für die Pferde in der Hand hat. le zu behalten und somit viele Alltags- steht zwischen der Art, wie ich mit Nom grousse Succès vum éischte Band an der Serie „Eis 50er Joren“ geet et elo weider mam zweete Band. Die Pferde sind die nachgeschalteten situationen flexibler und entspannter Gefühlen umgehe, und meiner körper- Hirnregionen, die die Grundgefühle, lichen und seelischen Gesundheit? Ist A perséinlechen Temoignagë gräife mir Themen op, déi sech mat de Verännerungen an der Gesellschaft befaassen. anzugehen. den Blutdruck, das Immunsystem und es beispielsweise hilfreich‚ Ärger zu No den Aschränkunge vun de Krichsjoren gouf no vir gekuckt, déi Jonk hunn sech ëm eng gutt Ausbildung beméit, die ganzen vitalen Impulsgeber ein- unterdrücken oder sollte ich ihn bes- a besonnesch bei de Meedercher hunn sech d‘Perspektivë fir Studium a Beruff däitlech erweidert. Duerch den stellen.“ Genau hier setzt das Projekt #3 Soziale Situation ser ausleben? Kann man Emotionen Ausbau vum ëffentleche Verkéier an de Boom um Autosmarché sinn d’Leit méi mobil ginn, si konnten sech Aarbecht EMOFLEX mit vier unterschiedlichen geschickt meistern – oder rein über den Verstand steuern? Wie ausserhalb vun hiren Uertschafte sichen an hunn dës bei grousse Firmen an neien Industrië fonnt. Den Interessi ass Trainingsprogrammen an: selbstsicher durch den Dschungel reguliere ich meine Gefühle, um zu- och iwwer d’Grenze vum Land erausgaangen an déi europäesch Institutiounen hunn sech hei etabléiert. sozialer Beziehungen. friedener und unbeschwerter durchs D’Buch huet 176 Säiten an ass mat ville Fotoen illustréiert. D er friedliche und selbstsichere- Leben zu gehen?“ #1 Neurofeedback – oder D’Texter sinn op Lëtzebuergesch oder Däitsch. re Umgang mit herausfordern- Es ist nie zu spät „sich selbst“ bzw. wie Ihr Gehirn lernt sich selbst den Situationen und Beziehungen die eigenen Erlebens- und Verhaltens- zu regulieren. kann erlernt werden. Im Laufe die- muster besser zu verstehen und steu- 1. BAND E ine in der Anwendung relativ jun- ge und für den „Hirnbesitzer“ we- nig aufwendige Methode den „inneren ses Trainings lernen Sie genauer auf Ihre Gefühle und Bedürfnisse zu ach- ern zu lernen. Denn: „Veränderungen sind unvermeidlich. Persönliches D’Buch gëtt den 18. November op de Walfer Bicherdeeg presentéiert. Eng nei Zäit: Wunnen, Iessen, Moud ten und diese selbstsicher zu vertre- Wachstum ist eine Entscheidung.“ / Kutscher“ zu stärken, ist das Neuro- ten. Des Weiteren üben Sie – in einem Dir kënnt et elo scho virbestellen, wochelaang op der feedback Training (NFB). Es handelt geschützten Rahmen – Ihre Meinung Dr. Martine Hoffmann iwwer Tel. 36 04 78-1 oder op www.rbs.lu. Bestseller-Lëscht sich dabei um eine computergestützte Trainingsmethode, bei der ausgewähl- te Parameter der eigenen Gehirnak- tivität, über die man für gewöhnlich Ab diesem Herbst bietet die Cellule de Recherche des RBS Ihnen ISBN: 978-99959-750-4-3 RBS – Center fir Altersfroen keine Wahrnehmung hat, wahrnehmbar verschiedene Kurse zu diesen und ähnlichen Themen an. 20, rue de Contern – L-5955 Itzig www.rbs.lu 16 Sehen Sie hierzu unseren Veranstaltungsteil ab Seite 39. 17
R BS - R E T R O S P EKT IV ANDRÉCK vun e puer Veranstaltungen .AQUATOWER BERDORF, 12. Juli. Eng flott Ausstellung zum Thema Drénkwaasser. .VISITE BOCK-KASEMATTEN,. .16. AUGUST. .VISITE DES NOUVEAUX. .KONFERENZ MIT. Interessanten Tour mam Guide Rob Ensch. .BÂTIMENTS DE RTL, 19 juin. .JOACHIM BAUER, 21. Juni.. Les nouveaux studios de RTL Télé et Radio Der Bestsellerautor und Hirnforscher Joachim Lëtzebuerg ont été dévoilés devant un public très Bauer referierte zum Thema “Selbststeuerung, intéressé. der Türöffner zum wirklichen Leben”. .KULINARESCHEN AUSFLUCH. .OP DER. .“MARIE-ASTRID”, 27. Juni. Gutt Stëmmung an excellent Iesse bei dësem flotten Dag op der Musel. .PORTUGAL – LA ROUTE. .DES ÉPICES, 21 juillet. Jeunes et moins jeunes ont découvert ensemble .FLEEGESTATIOUN. .KLOUSCHTERGAART, 28. Juni. le monde des épices au Musée National d’Histoire .FIR WËLL DÉIEREN, 19. Juli. et d’Art. Um Fouss vum Bockfiels ginn an dësem Gaart Mat vill Léift a Gedold ginn zu Diddeleng traditionell an deels scho vergiessen Notzplanze blesséiert oder verloosse wëll Déiere gefleegt. gezillt. 18 09’2017 19
Le service national Nationale Informations- und d’information et de Mediationsstelle in Gesundheitsfragen médiation dans le domaine de la santé: Informieren und vermitteln im Dienste der Une nouvelle structure Patienten und Gesundheitsdienstleister au service des patients et des professionnels de la santé Die Schaffung der Stelle des „Mediators in Gesundheitsfragen“ geht auf das Gesetz Der Mediator in Gesundheitsfragen, den Konflikt gewinnen und Verständ- als neutraler Dritter, verhält sich all- nis füreinander aufbringen. Der erste vom 24. Juli 2014 über die Rechte und Pflichten der Patienten zurück. Patienten sowie parteiisch. Er unterstützt alle Seiten Schritt ist sich gemeinsam an einen Le service national d’information Ärzten und anderen Gesundheitsberuflern, die Informationen oder Hilfe bei der Lösung gleichermaßen bei ihrem Bemühen Tisch setzen, sich Zeit nehmen, um et de médiation dans le domaine nach einer Lösung. Seine Rolle ent- de la santé constitue une structure von Konflikten suchen, steht dieses Angebot seit Mai 2015 zur Verfügung. sich im gegenseitigen Respekt mit d’information et de résolution des spricht nicht der eines Richters oder dem Konflikt auseinanderzusetzen. conflits entre prestataires de soins eines Schlichters. Dies „ändert immer irgendetwas“, et patients. selbst wenn am Ende kein konkretes Prävention, Information Beschwerden und Ist das Vertrauensverhältnis zerrüttet In den letzten zwei Jahren haben Il s’agit d’un service étatique sans Ergebnis in Form einer Mediationsver- frais pour les parties, qui est depuis und Zugang zum Recht Mediation oder ist eine Lösung im individuellen sich, nebst punktuellen Anfragen, einbarung festgehalten werden kann. mai 2015 au service des patients et Behandlungsverhältnis nicht abseh- etwa 230 Personen an die nationa- Wichtiges Ziel ist es, Patienten sowie Das Verhältnis zwischen Patienten des prestataires de soins de santé. bar, stellt sich die Frage, wie sich le Informations- und Mediationsstelle Behandelnde umfassend über ihre und Behandelnden ist nicht immer solche Differenzen zum Wohle aller Kontaktpunkt bei Le service informe les patients et gewandt: die Mehrheit der Anfragen les prestataires sur leurs droits et Rechte und Pflichten zu informieren. nur von Harmonie geprägt. Zu Un- Beteiligten entschärfen beziehungs- grenzüberschreitender betrafen den Krankenhaussektor obligations respectifs, le système de Informieren können sie sich über: stimmigkeiten kommt es beispiels- weise beilegen lassen, ohne dass (+/- 40%), die Anfragen außerhalb Gesundheitsversorgung santé luxembourgeois, ainsi que sur weise auf der menschlichen Ebene, es zwingend zu Rechtsstreitigkeiten la médiation dans le domaine de la > Patientenrechte des Krankenhaussektors (+/- 35%) Zudem ist die nationale Informations- und -pflichten, durch ungelöste Fragen, die die Be- kommen muss. santé. betrafen größtenteils Zahnarztbe- und Mediationsstelle auch nationaler so wie diese im Gesetz vom 24. handlung betreffen oder gar durch handlungen. Ein Viertel der Anfragen Kontaktpunkt bei grenzüberschreiten- La relation entre prestataires et Juli 2014 festgehalten wurden. Behandlungsfehler. Die Mediation bietet ein einfaches patients n’est pas toujours sans betrafen andere Gesundheitsberufe der Gesundheitsversorgung, in enger Zu den wichtigsten Patienten- und schnelles Verfahren, um einen difficulté. Parfois il n’est pas (Labor, Physiotherapeut, …). Zusammenarbeit mit der Gesund- possible de résoudre un différend rechten gehören die freie Wahl Typisch sind Verständigungsproble- offenen Dialog (wieder)herzustellen des Dienstleisters, das Recht me, die beispielsweise dem Zeitman- heitskasse (CNS), welche für Fragen dans le cadre de la relation patient- und zudem im gemeinsamen Inter- prestataire. auf Information, die Möglichkeit gel geschuldet sind. Weitere Konflikte Ein erster Erfolg einer Mediation ist rund um die Erstattung der Kosten esse offene Fragen, Schwierigkeiten eine Vertrauens- oder Begleitper- ergeben sich beispielsweise dadurch, es, wenn alle Beteiligten Klarheit über zuständig ist. / La médiation est alors un moyen oder Vorfälle zu erörtern und gemein- son zu benennen, das Recht auf dass ein schwieriger Befund mit dem simple et rapide pour rétablir ou sam nach fairen Lösungen zu suchen. renforcer un dialogue ouvert, voire ein sorgfältig geführtes und ak- Patienten erörtert, aber nicht hinrei- Dies ermöglicht bisweilen sogar die pour permettre aux patients et tualisiertes Patientendossier so- chend erklärt oder verstanden wurde, Weiterführung des Behandlungsver- Möchten Sie mehr erfahren? prestataires d’envisager le maintien wie den entsprechenden Zugang oder aber wenn die Bedürfnisse des hältnisses. Vous souhaitez en savoir plus? de leur relation. Elle présuppose une dazu; Patienten nicht angesprochen wurden, volonté commune des parties de beziehungsweise durch den Behan- chercher, de bonne foi, une issue > d asluxemburgische Gesund- Mediation beruht auf Freiwilligkeit, sie consensuelle. delnden nicht erkannt oder er diese kann jederzeit abgebrochen werden Service national d’information et de heitssystem, insbesondere seine Le médiateur de la santé, en tant Organisation sowie die anerkann- nicht erfüllen konnte oder wollte. und setzt immer die Bereitschaft der médiation dans le domaine de la santé que tiers par rapport aux parties, ten Anbieter im Hinblick auf Pfle- Parteien voraus, eine einvernehmli- 73, rue Adolphe Fischer (4. Stock) est omni-partial. Il n’occupe pas la Differenzen zwischen Patienten und che Lösung anzustreben. Stellen sich fonction de juge, ni celle d’arbitre. ge und Gesundheitsversorgung; L-1520 Luxembourg Behandelnden sind für alle Beteilig- Haftungsfragen, muss gegebenen- La confidentialité du processus de > Fragenzum Ablauf und den Re- médiation est garantie par la loi. ten belastend, oft auch emotional. falls auch der Versicherer des Behan- Tel.: (+352) 24 77 55 15 geln der Mediation im Gesund- Des Weiteren gibt es häufig Mitleiden- (Mo/Lu, Di/Ma, Do/Je, Fr/Ve, 9.00 – 13.00, Mi/Me, 13.00 – 17.00) delnden einbezogen werden. Le service national d’information et heitswesen; de in der Familie oder im Umfeld des Mail: info@mediateursante.lu de médiation dans le domaine de la > andere Verfahren und Möglich- Patienten, manchmal auch im Umfeld santé remplit également la fonction der Behandelnden. www.mediateursante.lu de point de contact national en keiten zur Konfliktlösung. cas de soins transfrontaliers, cela en étroite collaboration avec la CNS qui couvre le volet tarification et 20 09’2017 21 remboursement de ces soins.
TE X T I LE M E DIT AT IONEN 1 DAS MUSTERTUCH 2 4 5 VON 1788 7 6 Ich hatte die Stickpackung in Deutschland in einem Kaufhaus gefunden. Sie lag mit Gobelins, Mitteldecken und dergleichen in einem Spezialfach. Sie schien ein Ladenhüter zu sein, denn sie sah schon ziemlich abgegriffen aus 8 3 und lag weit hinten im Regal. ... von 1788 ... ich konnte nicht widerstehen. Als ich die Packung öffnete, fand ich einen Lap- pen aus Naturleinen, in den eine Sticknadel ge- Z u der Erziehung junger Damen gehörte auch die Lektüre der Bibel. Und so finden wir auch hier die Kundschafter (3), die Mo- 9 steckt war, ein wenig Garn in gedeckten Farben, ses ins Gelobte Land geschickt hatte, und die ein Diagramm und – einen Beipackzettel, auf mit reichen Früchten zurückkamen. Auch der dem stand, dieses Tuch sei genau nach dem al- Hirsch (4) aus Psalm 42 lechzt nach der Was- ten Original angefertigt und die Farben entsprä- serquelle. Hier erstrahlt er sogar in Gold, aller- chen denjenigen der ersten Arbeit. Soweit ich dings ohne Wasserquelle. mich erinnere, stammte der Zettel von DMC, also einer französischen Firma. D as 18. Jahrhundert war geprägt von der Erweiterung des Horizonts. Die Entde- ckungsreisen waren noch nicht zu Ende, die Das Mustertuch, eine Art „facebook“ des 18. Jahrhunderts Wissenschaften kannten einen großen Auf- D ie Stickerei war recht einfach, doch wäh- rend ich mich damit befasste, merkte ich, dass ich es mit einer Art „facebook“ des 18. schwung. Es war auch die Zeit, in der Botani- ker und Entdecker auszogen und Amerika sowie Schoßhündchen waren große Mode. Beides setzte man manchmal in F ür historische Mustertü- cher, die nachgearbeitet Asien erforschten. Redouté züchtete und malte Kreuzstichmodelle um. werden, gibt es eine Stickerin- Jahrhunderts zu tun hatte. Die Stickerin muss seine Blumen in Versailles. So entstanden auf nen-Regel: der Name und die Ini- eine junge Adelige gewesen sein, denn Mäd- chen aus dem Volk hatten hierfür kaum Zeit und Geld. Da waren die Buchstaben des ABCs (1), dem Musteruch einige recht exotische Gewäch- se (5), die man im katholischen Milieu auch als U nd dann – 1783 erfanden die Gebrüder Montgolfier den Heiß- luftballon (8) und versuchten die tialen der Stickerin müssen nebst Jahreszahl eingearbeitet werden. Der Monstranz (6) deuten könnte. Auf jeden Fall, ganze Name und die Jahreszahl der die zum Zeichnen von Wäsche erlernt wurden. ersten mehr oder weniger geglück- die junge Dame beschäftigte sich mit großen, heutigen Stickerin (9) nimmt unten Durch sie lernten damals so manche Mädchen ten Flüge. Der erfolgreiche Flug vom eigenartigen Blüten. Während in ihrem Salon einen besonderen Platz ein. Sie do- lesen. Diese junge Dame aber muss lesen ge- 19. Oktober 1783 vor den Augen von Schach gespielt wurde, konnte es sein, dass sie kumentiert so ihren Respekt und die konnt haben, denn oben links sitzt der Rabe Ludwig XVI. in Paris war eine Sensati- das Schachbrett under den Raben auf ihr Tuch Hochschätzung für ihr Handwerk, das von Lafontaine (2) mit dem Käse im Schnabel. on, die ihren Weg durch die damalige stickte. in der Geschichte verankert ist und „Maître corbeau sur un arbre perché ...“ Nur – Presse machte – und fortan lande- weitergereicht werden soll. / Meister Rabe war nicht schwarz, sondern bunt gestreift. Hier wurden wahrscheinlich kleine Restfäden verarbeitet. B essere Töchter besaßen auch damals im Garten oder gar in ihren Gemächern Voli- eren mit exotischen Vögeln, und Möpse (7) als ten die Ballons auch auf den Muster- tüchern junger Damen in adligen und bereits gehobenen Bürgerfamilien. Mariette Leuck 22 09’2017 23
1950 V O N LE S E RN F Ü R LES ER DE WÉNGERTS- Jean Braquet SCHLEEK D éi Zäit war et esou: D’Leit waren nach aarm awer frou. Et huet nach u villes gefeelt, Joseph Versall mee d’Wonne vum Krich si geheelt. E Schleek begéint engem Kiewerlek zu Réimech op der Muselbréck. O uni Auto hu mer gelieft, nach no anere Saache gestrieft. Och ouni Auto war een net veruecht, „A wouhi leefs de da sou séier“, ‘t huet kee geduecht, du hues et net wäit bruecht. freet de Schleek dat Krabbeldéier. „Ma du Fuerwëtz, ech maache grad D en Auto war nach net wéi haut eng Plo. Mer si gefuer mat Zuch, Tram a Vëlo. Hunn an der Uertschaft gebraucht eis Been, meng deeglech Gesondheets-Promenad, e séchert Mëttel, och bei Schnéi, Äis a Reen. déi féiert mech laanscht d’Bech-Maacher Kierch Den Dokter braucht net ze son: bis Schwéidsbeng op den Hommelsbierg.“ „Dir musst iech bewegen, méi gon!“ „Ma“, sot de Schleek, „dee Wee ass wäit, mä fir d’Gesondheet huelen ech mer Zäit S chnéi am Wanter war normal. Dobäi war et oft ganz kal. Kënnt es haut e bëssen erof, an ech well mech gären dir uschléissen, dann ass dat gläich eng Katastroph. da kënne mer de Wee zu zwee genéissen.“ „Oh“, sot de Kiewerlek, „du bass ze lues, E ch hat emol e puer Schung, wou ënner de Suele stung, an de Gummi agravéiert: well iers du däin Haische riicht gesat hues, „3.000 km garantéiert“. sinn ech längst schonn um hallwe Wee, also gëtt dat näischt mat eis zwee.“ V ill Problemer waren net bekannt: eng Kéier ze séier gerannt, Gëft, Ozonlach, saure Reen, „’t ass gutt“, sot de Schleek, a scho gläich drop Gestank, all Dag Stau, futtis Beem. krabbelt de Kiewerlek duerch d’Wéngerten erop, mä e koum net virun a gouf esou béis, well iwwerall louche kleng Steng an de Féiss. H uet ee missen iwwer d‘Strooss, war ee sech selwer iwwerlooss. Keen Zebra, keng gréng, giel, rout Lut, Géint Mëtteg ukomm huet e sengen Aen net getraut, keen hannert dem Steier, dee getut. hei souz schonn de Schleek, deen säin Iesse verdaut. E war iwwerrascht a ganz verstéiert: D u hei, du do, bleifs de wuel stoen, oder maach virun, du däerfs goen. Et konnt ee goen zu Fouss souguer, „Dass esou eppes grad mir passéiert. ouni ze ginn iwwerfuer, Dat do ass wierklech net ze verstoen, a frëscher Loft an enger halwer Stonn, dat huet sech net normal zougedroen.“ vum Lampertsbierg op d’Gare. Dat bréngs de haut net méi ronn, Sou huet de Kiewerlek sech opgereegt, oft emol net mat denger Kar. de Schleek awer huet keng Minn beweegt. Hie wénkt dem Kiewerlek dach roueg ze sinn, M er hate keng Televisioun, an och kee Stereotoun. Eng Zeitung hat zéng Säiten. fir him dëse gudde Rot dann ze ginn: „Du muss“, sot hien, „ëmmer schleime kënnen, Wat waren dat nach Zäiten! wien nëmme krabbelt, bleift laang ënnen.“ 24 09’2017 25
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