Fortbildungsprogramm der SGP Programme de formation continue de la SSP

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Informations / Hinweise                                                    Vol. 13   No. 1     2002        44

Fortbildungsprogramm der SGP
Programme de formation continue de la SSP

Im Herbst 1999 hat sich die grosse Mehr-    Durant l’automne 1999, une large majori-         • Les détails de la nouvelle ordonnance
heit der Titelträger «Kinder- und Jugend-   té des porteurs du titre de spécialiste en         sur la formation continue figurent
medizin FMH» in einer Urabstimmung für      pédiatrie s’est exprimée lors d’une vota-          dans les pages d’introduction du
das neue For tbildungsprogramm (FBP)        tion générale en faveur du nouveau pro-            carnet de formation continue.
ausgesprochen. Das neue FBP ist somit       gramme de formation continue (PFC). Ce
ab dem 1. Januar 2000 in Kraft getreten.    nouveau PFC est entré ainsi en vigueur
                                            dès le 1er janvier 2000.
Das Wichtigste soll als Memento hier
nochmals kurz dargestellt werden:           Les points les plus importants de ce
• Eine dokumentierte Fortbildung von        programme sont résumés à nouveau
   80 Stunden/Jahr wird für alle Titel-     dans le mémento ci-dessous:
   Trägerinnen und -Träger obligatorisch.   • Une formation continue documentée
   Diese wird aus zwei Teilen zusammen-        obligatoire de 80 heures par an est
   gesetzt:                                    exigée pour tous les porteurs et
   – 30 Stunden/Jahr Selbststudium             porteuses du titre FMH. Celle-ci se
   – 50 Stunden/Jahr dokumentierte             répartit en deux catégories:
       Fortbildung                             – 30 heures/an d’étude individuelle
• Diese Anforderungen sollen in einem          – 50 heures/an de formation
   5-Jahres-Zyklus erfüllt werden1.                continue documentée
• Jede/r Pädiaterin/Pädiater soll ihre/     • Ces exigences doivent être remplies
   seine Fortbildung gemäss ihren/sei-         au cours de cycles de 5 ans.1
   nen Bedürfnissen selbst planen,          • Chaque pédiatre doit planifier
   d. h., es wird keine fachspezifische        sa formation continue selon ses
   Stundenzahl vorgeschrieben.                 besoins, c’est-à-dire qu’il n’y a
• Die Dokumentation besuchter Fortbil-         pas de prescription d’un nombre
   dungen beruht auf Selbstdeklaration         spécifique d’heures dans des
   im Fortbildungsheft («Milchbüchlein»).      domaines particuliers.
   Dieses wurde bereits den Urabstim-       • La documentation se fait par le
   mungsvorlagen beigelegt. Neubestel-         report personnel dans un cahier
   lungen via Sekretariat der SGP, Post-       des heures de formation continue
   fach, 3000 Bern 25, oder via SGP-           suivies. Ce cahier de formation
   Homepage (http://www.sgp.hin.ch).           continue a été annexé aux
• Die Details sind im Fortbildungsheft         documents accompagnant la votation
   auf den einleitenden Seiten beschrie-       générale. Il peut être commandé à
   ben.                                        nouveau au secrétariat de la SSP,
                                               case postale, 3000 Berne 25 ou
                                               imprimé depuis le site internet de
1
    400 Stunden.                               la SSP: http://www.ssp.hin.ch
Fortbildungskommission
der SGP                                                                                      Commission de formation continue
                                            1
                                                400 heures.                                  de la SSP
Informations / Hinweise                                                                          Vol. 13   No. 1     2002         45

Prestations cliniques et de formation
dans les hôpitaux universitaires de pédiatrie de Bâle, Berne, Genève, Lausanne et Zurich
ainsi que dans les hôpitaux de pédiatrie d’Aarau, Lucerne, St-Gall en 2001

Les huit hôpitaux pour enfants et adoles-                        le nombre de pédiatres installés spécia-          Prestations de formation
cents mentionnés ci-dessus (catégorie A                          lisés dans les domaines mentionnés, on            (pédiatrie générale, spécialisée
selon classification FMH) forment un ré-                         constate que – contrairement à ce qui             et formations approfondies)
seau bien réparti en Suisse sur le plan                          existe comme prestations correspondan-            (voir aussi site FMH: www.fmh.ch)
géographique, qui est complété par des                           tes pour l’adulte – la grande majorité des
établissements pédiatriques régionaux                            prestations spécialisées pour les enfants         Les huit hôpitaux de catégorie A assument
(catégories B et C).                                             et les adolescents, qu’elles soient hos-          une grande partie de la formation en pé-
                                                                 pitalières ou ambulatoires, sont concen-          diatrie, définie comme médecine de l’en-
Ce document a comme premier but d’infor-                         trées dans les hôpitaux pédiatriques. Cet-        fant et de l’adolescent au niveau suisse
mer sur l’état actuel des prestations clini-                     te organisation se justifie vu la taille de       comme au niveau européen. Par consé-
ques et de formation. Les critères qui doi-                      la population concernée et permet la con-         quent, la plupart des postes de formation
vent être remplis pour offrir aux patients                       centration de plateaux médico-techniques          (voir tableau pour le nombre) sont réser-
pédiatriques des soins optimaux dans un                          per formants; elle est défendable sur le          vés pour la formation en pédiatrie généra-
environnement approprié pour chaque ca-                          plan économique. Parmi les pédiatres spé-         le et un nombre restreint, variable selon
tégorie d’âge du nouveau-né jusqu’à l’ado-                       cialisés pratiquant en cabinet et, dans cer-      les besoins, pour les formations spéciali-
lescence correspondent à ceux retenus                            taines régions, les spécialistes de méde-         sées et les médecins généralistes. Pour
dans la «Charte de l’enfant hospitalisé»1                        cine adulte disposant d’une expérience            la plupart des formations spécialisées, un
qui sert de référence pour la définition de                      clinique avec les enfants, la plupart ont         complément de formation dans de grands
l’environnement hospitalier approprié et                         une activité de consultant dans un hôpital        centres à l’étranger est indispensable.
que tous les hôpitaux mentionnés ci-des-                         pédiatrique pour l’exercice de leur spé-
sus remplissent. De plus, il devrait à l’ave-                    cialité. La collaboration existante avec les      Afin de permettre aux futurs pédiatres de
nir servir à faciliter la formation de réseaux                   spécialistes d’adultes en milieu hospita-         compléter leur formation dans les hôpi-
régionaux pour la formation post-graduée                         lier est déjà largement basée sur le con-         taux périphériques, des réseaux de forma-
en pédiatrie, la planification de prestations                    cept que le spécialiste vient vers l’enfant       tion se sont déjà formés partiellement en
multidisciplinaires hautement spécialisées                       plutôt que d’exposer l’enfant à une hos-          Suisse romande et dans la région de Zu-
au niveau national et la planification de la                     pitalisation dans des services d’adultes.         rich; l’extension de tels réseaux à d’autres
relève. L’enseignement pré-gradué et la                          Ce concept devrait devenir la règle par-          régions est souhaitable.
recherche ne sont pas mentionnés ici, ils                        tout où c’est possible. Certains hôpitaux
feront l’objet d’un document à part.                             ont édicté des règles à ce sujet.                 Note explicative
                                                                                                                   pour les tableaux 1 et 2
Les prestations cliniques hospitalières                          Au cours des vingt dernières années, on
et ambulatoires et leur organisation                             observe dans les hôpitaux pour enfants            Le nombre de candidats indique le nombre
                                                                 un mouvement des soins hospitaliers vers          de médecins en formation, il n’est pas iden-
Le tableau ci-joint montre les prestations                       des soins ambulatoires, ce qui représen-          tique avec le nombre de postes de méde-
cliniques de pédiatrie générale, spéciali-                       te un avantage certain pour les patients.         cins. Le nombre de médecins ayant ter-
sée et interdisciplinaire ainsi que les ré-                      La durée moyenne de séjour a diminué de           miné la formation varie fortement d’un
seaux de soins avec d’autres spécialités                         façon importante et la prise en charge spé-       établissement à l’autre. Selon les indica-
qui sont disponibles. En prenant en compte                       cialisée et multidisciplinaire en ambula-         tions de la SSP, le nombre de candidats
                                                                 toire s’est fortement développée.                 ayant réussi le diplôme de spécialiste en
1
    Association suisse l’enfant et l’hôpital, Secrétariat cen-                                                     pédiatrie suffit tout juste pour couvrir les
    tral, Landvogt Waser-Strasse 70, 8405 Winter thur,
    tél./fax 01 481 63 30.                                                                                         besoins en pédiatres installés (H. Haldi,
Informations / Hinweise   Vol. 13   No. 1   2002   46

Tableau 1:
SSP – Section
hospitalière:
Résumé
des prestations
cliniques et nombre
de canditat(e)s
en formation
post-graduée
Informations / Hinweise                                                        Vol. 13   No. 1     2002          47

A. Bubenhofer, Paediatrica 1999, Vol. 9,        soins interdisciplinaires, une grande par-       Conclusion
No. 1, p. 22–27). De plus, il y a un man-       tie des disciplines mentionnées, notam-
que de spécialistes qualifiés dans les hô-      ment celles qui sont impliquées pour un          Ce document présente les prestations cli-
pitaux pédiatriques. En ce qui concerne         grand nombre de patients, sont intégrées         niques et de formation des huit hôpitaux
les prestations hautement spécialisées,         dans le même bâtiment en tant que clini-         pédiatriques telles qu’elles existent en
la collaboration entre les huit hôpitaux per-   que ou division indépendante.                    2001. Il représente une base pour l’exten-
met d’offrir aux enfants de toutes les ré-                                                       sion de réseaux de formation déjà exis-
gions l’accès aux prestations d’un centre                                                        tants et pour la planification future de pres-
hautement spécialisé. Pour les réseaux de                                                        tations nouvelles hautement spécialisées.

Tableau 2
Informations / Hinweise                                                                     Vol. 13   No. 1     2002          48

Klinische Dienstleistungen und Weiterbildung
an den fünf Universitäts-Kinderspitälern Basel, Bern, Genf, Lausanne und Zürich sowie an den
Kinderspitälern Aarau, Luzern und St. Gallen 2002

Die acht oben erwähnten Kinderspitäler                    se werden diese Leistungen in Zusammen-             Leistungen in Weiterbildung
(Kategorie A nach Klassifikation FMH) sind                arbeit mit anderen Disziplinen erbracht.            (alIgemeine Pädiatrie, Weiterbildung
in der Schweiz geographisch gut verteilt.                 Es gibt nur wenige pädiatrische Spezialis-          zum Spezialisten und Schwerpunkte)
Ihre Leistungen werden durch diejenigen                   ten, die in einer Privatpraxis tätig sind,          (siehe auch Website FMH: www.fmh.ch)
der regionalen Kinderspitäler ergänzt (Ka-                so dass der grösste Anteil spezialisierter
tegorie B und C).                                         Leistungen, seien es ambulante oder sta-            Die acht A-Kinderspitäler erbringen einen
                                                          tionäre, von den Kinderspitälern erbracht           Grossteil der Leistungen zur Weiterbildung
Das vorliegende Dokument informiert über                  wird. Die Organisation dieser spezialisier-         in Pädiatrie, die in der Schweiz wie auch
die Leistungen im klinischen Bereich so-                  ten Leistungen unterscheidet sich somit             in Europa als «Kinder- und Jugendmedizin»
wie über die Weiterbildungsmöglichkeiten                  signifikant von derjenigen für erwachse-            definiert ist. Logischerweise sind die meis-
in diesen Spitälern. Die Kriterien, die erfüllt           ne Patienten, für die auch ausserhalb der           ten WeiterbildungssteIlen für die alIgemei-
werden müssen, um den pädiatrischen Pa-                   Spitäler ein grosses Angebot existiert. Sie         ne Pädiatrie reser viert und nur eine den
tienten optimale Pflege für jede Altersstu-               ist durch die relativ kleine Zahl pädiatrischer     Bedürfnissen angepasste kleine Zahl für
fe, vom Neugeborenen bis zum Adoleszen-                   Patienten, die solche Leistungen erfordern,         die Weiterbildung zum Spezialisten für ei-
ten, anzubieten, sind in der «Charta für                  gerechtfer tigt, erlaubt die Konzentration          nen Schwerpunkt oder für die AlIgemein-
Kinder im Spital»1) festgehalten. Dieses                  von kindgerechten medizinisch-technischen           mediziner. Für die meisten Spezialisten ist
Dokument ist massgebend für die Defini-                   Einrichtungen und ist ökonomisch logisch.           eine zusätzliche Weiterbildung in einem
tion der adäquaten Spitalgestaltung; alle                 Die wenigen spezialisierten praktizieren-           ausländischen Zentrum unerlässlich.
oben stehenden Spitäler erfüllen diese Kri-               den Kinderärzte üben ihre Spezialistentä-           Um den zukünftigen Kinderärzten die Or-
terien.                                                   tigkeit meist in Teilzeit an einem Spital           ganisation ihrer Weiterbildung zu erIeich-
                                                          aus. Die Zusammenarbeit mit Erwachse-               tern, sind regional bereits gewisse Vernet-
Zusätzlich soll der vorliegende Text in Zu-               nen-Spezialisten, die über klinische Kom-           zungen entstanden, wie zum Beispiel in der
kunft als Basis für die Bildung regionaler                petenzen für Kinder verfügen, ist bereits           weIschen Schweiz und der Region Zürich;
Weiterbildungsnetzwerke, für die Planung                  weitgehend so organisiert, dass der Spe-            die Ausdehnung solcher Vernetzungen ist
hochspezialisierter multidisziplinärer Leis-              zialist zum Kind kommt, um die Hospitali-           sicher wünschenswert.
tungen auf nationalem Niveau und die Nach-                sation von Kindern in Abteilungen für Er-
wuchsplanung dienen. Forschung und Leh-                   wachsene zu vermeiden. Dieses Konzept               Ergänzung zu TabeIlen 1 und 2
re werden hier nicht angesprochen; sie                    soll überall zum Tragen kommen; gewis-
werden später in einem separaten Doku-                    se Spitäler ver fügen bereits über entspre-         Die Anzahl Kandidaten entspricht der An-
ment diskutiert.                                          chende Richtlinien.                                 zahl Ärzte, die die Weiterbildung noch nicht
                                                                                                              abgeschlossen haben. Sie ist nicht identisch
Organisation der stationären                              Im Laufe der letzten zwanzig Jahre wurde            mit der Gesamtzahl der SteIlen. Der Anteil
und ambulanten DienstIeistungen                           in den Kinderspitälern eine weitgehende             der Ärzte in Weiterbildung bezogen auf die
                                                          Verlagerung von der stationären zur am-             GesamtsteIlenzahl variiert von Spital zu Spi-
Aus der beiliegenden TabeIle sind klini-                  bulanten Betreuung angestrebt und er-               tal. Nach Angaben der SGP reicht die An-
sche DienstIeistungen in allgemeiner und                  reicht, was für die Patienten eindeutig von         zahl der Absolventen des FacharztdipIoms
spezialisierter Pädiatrie sowie multidiszip-              Vorteil ist. Die mittIere Hospitalisations-         zurzeit nur knapp aus, um den Bedarf in der
linäre DienstIeistungen ersichtlich; teilwei-             dauer ist massiv gesunken und die spe-              Praxis abzudecken (H. Haldi, A. Bubenhofer,
                                                          zialisierte, zum Teil multidisziplinäre Be-         Paediatrica 1999, Vol. 9, No. 1, S. 22–27).
1)
     Schweiz. Verband Kind und Spital, Geschäftsstelle,   treuung hat sich stark entwickeIt.                  Zudem besteht an den Kinderspitälern ein
     Landvogt Waser-Strasse 70, 8405 Winterthur, Tel./
     Fax 01 481 63 30.                                                                                        Mangel an spezialisierten Fachärzten.
Informations / Hinweise   Vol. 13   No. 1   2002   49

Tabelle 1:
SGP – Sektion
Klinik: Überblick
über Dienst-
leistungen und
Anzahl der
Weiterbildungs-
kandidatinnen/
-kandidaten
Informations / Hinweise                                                      Vol. 13   No. 1     2002         50

Für die hochspezialisierten, interdiszipli-   Was die kinderspezifischen Vernetzungen          Zusammenfassung
nären Angebote ist anzufügen, dass die        anbelangt, sind diejenigen Disziplinen, die
Zusammenarbeit zwischen den acht Spi-         eine grosse Anzahl Patienten betreuen, in        Dieses Dokument fasst die DienstIeistun-
tälern jedem Patienten bei Bedar f den        der Regel im selben Gebäude als eigene           gen und die Weiterbildungsangebote der
Zugang zu diesen Leistungen ermöglicht.       Klinik oder Abteilung integriert.                acht Kinderspitäler der Kategorie A zusam-
                                                                                               men und steIlt damit die Basis für eine
                                                                                               Ausdehnung von bereits bestehenden Ver-
                                                                                               netzungen sowie für die Planung von neuen
                                                                                               hochspezialisierten Leistungen dar.

Tabelle 2
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